• Recette de Macarons au café
    pour 6 personnes<o:p></o:p>

    Temps de préparation: 30 minutes

    Temps de cuisson: 20 minutes

    Difficulté: Très facile<o:p></o:p>
    Budget: Bon marché<o:p></o:p>

    Ingrédients pour la Recette de macarons au café<o:p></o:p>
    350 grammes de sucre glace,<o:p></o:p>
    120 grammes de chocolat noir,<o:p></o:p>
    250 grammes de poudre d'amande,<o:p></o:p>
    120 grammes de crème liquide,<o:p></o:p>
    6 blancs d'oeufs très frais,<o:p></o:p>
    20 grammes de miel,<o:p></o:p>
    150 grammes de sucre semoule,<o:p></o:p>
    10 grammes de café instantané<o:p></o:p>
    5 grammes d'extrait de café.
    <o:p></o:p>

    Préparation pour la Recette de Macarons au café<o:p></o:p>
    Avec un robot à lame, réduire le sucre glace et la poudre d'amande en poudre très fine.<o:p></o:p>
    Les tamiser.<o:p></o:p>
    Monter les blancs en neige.<o:p></o:p>
    Les serrer avec 150 grammes de sucre glace.<o:p></o:p>
    Incorporer à la maryse le mélange aux amandes et l'extrait de café.<o:p></o:p>
    A l'aide d'une corne en plastique ou d'une maryse "macaroniser" la préparation.<o:p></o:p>
    On rabat délicatement la préparation sur elle même en prenant l'ensemble de la masse, l'appareil doit devenir moelleux et brillant et réaliser un ruban.<o:p></o:p>
    Avec une poche à douille, dresser les macarons sur un tapis de cuisson.<o:p></o:p>
    Laisser les macarons croûter 15 minutes à température ambiante.<o:p></o:p>
    Puis, les cuire 15 à 20 minutes dans un four à 160°C.<o:p></o:p>

    Réaliser la ganache :<o:p></o:p>
    Mettre la crème à bouillir avec le miel.<o:p></o:p>
    Verser sur le chocolat concassé et le café instantané.<o:p></o:p>
    Bien mélanger avec un fouet.<o:p></o:p>
    Laisser prendre à consistance.<o:p></o:p>
    Puis remplir une poche avec cette préparation.<o:p></o:p>
    Coller les macarons deux à deux avec la ganache.<o:p></o:p>


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  • Avec du citron, du saumon, des crevettes ou encore en guacamole, l’avocat s’invite facilement dans notre quotidien. Et c’est tant mieux puisque c’est un fruit bon marché plein de vertus ! Constipation, cholestérol, peau sèche, cataracte…<o:p></o:p>
    7 raisons de ne plus s’en passer !<o:p></o:p>




    Un coupe faim naturel
    Plus la peine de supprimer l’avocat de votre alimentation parce que vous surveillez votre ligne ! Même si on sait qu’il est gras, l’avocat contient des fibres naturelles qui permettent d’être rassasié* plus rapidement. Il est également riche en acide oléique, un corps gras qui active l’impression de satiété dans le cerveau. Bref, un vrai aliment minceur !<o:p></o:p>
    En pratique : 
    "Quand on suit un régime,  on peut manger un demi avocat par jour avec un filet de jus de citron, sans ajouter de matières grasses (mayonnaise ou vinaigrette)" conseille Gwénola Lestrohan nutritionniste. Par ailleurs, comme un demi avocat apporte l'équivalent d'une bonne cuillère à soupe d'huile , il est conseillé de  se limiter à 1 cuillère à soupe d'huile dans la journée.


    Pour en finir avec la constipation !
    Parce qu'il contient beaucoup de fibres alimentaires (6,7g pour 100g de chair), l'avocat peut faciliter le transit en cas de constipation. Une étude américaine a d'ailleurs démontré que les fibres insolubles (non dissoutes dans l'eau) présentes notamment dans l'avocat avaient la capacité d'augmenter les selles sans agresser l’intestin (comme elles ne sont pas digérées).<o:p></o:p>
    En pratique : <o:p></o:p>
    "La quantité recommandée est de 30 grammes de fibres par jour, mais en variant leur origine (fruit, légume, céréales completes). L'avocat ne doit pas être consommé 5 fois par jour" explique Hélène Poux-Aubouin nutritionniste.


    L’avocat fait baisser le taux de cholestérol
    Des scientifiques australiens* ont démontré qu’une alimentation enrichie en avocat avait permis de faire baisser le taux de LDL de cholestérol (le "mauvais") sans toucher au HDL (le "bon") de femmes âgées de 37 à 58 ans. L’avocat contient en fait des bonnes graisses, appelées "acides gras mono insaturés" qui ont un rôle positif dans la prévention du cholestérol et des maladies cardiovasculaires.<o:p></o:p>
    En pratique : <o:p></o:p>
    En cas de cholestérol, "il est possible de manger de l'avocat plusieurs fois  par semaine, et même tous les jours si l'on veut à raison d'une moitié par jour. En parallèle, il faut avoir une alimentation équilibrée et pas trop riche en lipides" conseille la nutritionniste Gwénola Lestrohan.


    Un hydratant naturel
    Vous avez la peau sèche ? Oubliez vos crèmes quotidiennes... et misez sur l’avocat ! Ces graisses ont une action émolliente et renforcent les membranes des cellules épidermiques. Sans oublier qu’il contient de la vitamine E, reconnue pour ses effets anti-âge ! 
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    En pratique : <o:p></o:p>
    Ecraser un avocat en purée et l’appliquer sur la peau du visage comme un masque.  Ou appliquer de l’huile d’avocat matin et soir.


    L’avocat protège la vue
    Véritable mine d’antioxydants, l’avocat est un des fruits qui contient la plus grande quantité de lutéine. Ce pigment caroténoïde est reconnu pour protéger de la dégénérescence maculaire liée à l’âge* (ou DMLA), un trouble visuel pouvant être responsable de cataracte.<o:p></o:p>
    En pratique : <o:p></o:p>
    N'hésitez pas à mettre l'avocat dans vos menus, même plusieurs fois par semaine !


    De l’avocat contre le cancer de la prostate
    Parce qu’il contient des caroténoïdes (la lutéine et la zéaxanthine), l’avocat diminuerait le risque de cancer de la prostate. Par ailleurs, des chercheurs américains ont constaté qu’il pouvait inhiber le développement de cellules du cancer prostatique grâce à ses matières grasses**. Ces dernières participent à l’absorption des caroténoides dans l’organisme.<o:p></o:p>
    En pratique : <o:p></o:p>
    N'hésitez pas à ajouter l'avocat à votre alimentation quotidienne !

    Plaisir des yeux et du goût

    L’avocat peut faire baisser le taux de diabète
    L’avocat est une importante source de fibres utiles pour les personnes atteintes de diabète de type 2, notamment des fibres solubles. Visqueuses lorsqu’elles sont dans notre sang, elles permettent de ralentir le taux de glucose dans l’intestin grêle pour mieux contrôler la glycémie*.<o:p></o:p>
    En pratique : <o:p></o:p>
    Si vous êtes diabétique (type 2) vous pouvez intégrer l’avocat dans votre alimentation plusieurs fois par semaine.  “Dans la mesure où il contient très peu de glucides et beaucoup de fibres, il a un index glycémique faible et ne fait pas monter le taux de glucose dans le sang " explique la nutritionniste Gwénola Lestrohan.<o:p></o:p>
    Publié avec l'aimable accord verbal de  Bénédicte Demmer, rédactrice santé et validé par Gwénola Lestrohan et Hélène Poux- Aubouin, nutritionnistes le Jeudi 29 Novembre 2012 : 00h00<o:p></o:p>








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  • Intérêt nutritionnel :

    Peu calorique. Affichant 22 calories aux 100g, l’aubergine est un des légumes les moins caloriques. Elle est particulièrement intéressante dans le cadre d'un régime amaigrissant puisqu’elle est riche en pectine, une fibre rassasiante.

    Diurétique. L’aubergine contient une quantité intéressante de potassium ce qui lui confère des bienfaits légèrement diurétiques.



    Anti cholestérol :

     Des études réalisées aux Etats-Unis et en Autriche ont montré que l’aubergine était capable de limiter l’augmentation des lipides et du cholestérol sanguin, augmentation qui suit habituellement l’absorption de corps gras et d’aliments riches en graisse. Le bienfait anti-cholestérol de l’aubergine pourrait être attribuable à sa teneur en pectine, une fibre particulière qui gélifie dans l’intestin, capturant alors les molécules de cholestérol.



    Son histoire :

    Originaire de l'Inde, l’aubergine était déjà cultivée en Chine 4 siècles avant notre ère. Ce sont les navigateurs arabes qui l’introduisirent dans le bassin méditerranéen. Au XIe siècle, Avicenne en parle dans ses traités de médecine en la nommant "al betigenn", d’où son appellation espagnole "alberengena" et la dérivation française "aubergine".
    Elle était cultivée en Espagne au Moyen-Age, on en connaissait alors au moins quatre variétés différentes. Elle s'est répandue dans le reste de l’Europe vers le XVe siècle, d’abord en Italie et dans le sud de la France, avant d’atteindre l’Allemagne puis la Grande-Bretagne.

    Famille : 
    Solanacées.



    Sa production :

    L’aubergine reste aujourd’hui typique de la culture culinaire du Midi. Plus de la moitié des aubergines cultivées en France proviennent du Midi (Bouches-du-Rhône et Vaucluse essentiellement). Le Sud-Ouest assurant le reste de la production nationale. Les plantations se font généralement sous abris ce qui permet aux récoltes de s’échelonner de mars à novembre, avec un maximum de la production entre juillet et septembre. Les pays méditerranéens (Espagne et Italie) complètent l’approvisionnement en hiver et au début du printemps. L’aubergine est ainsi disponible toute l’année, avec des prix particulièrement attractifs en été et au début de l’automne.



    Saison :
    L’aubergine est un légume de plein été (juin à août).



    Conseils d’achats et d’utilisation :
    L’aubergine doit être achetée bien fraîche. Elle est alors ferme et gonflée, avec une peau intacte, tendue, brillante, d’une belle couleur violet sombre ou noire (ou exceptionnellement blanche pour certaines variétés moins courantes). Conservée trop longtemps, elle devient terne, sa peau se plisse, et surtout sa chair se ramollit et devient moins digeste. La chair des petites aubergines est fondante, douce, généralement dépourvue d’amertume, et ses pépins sont moins nombreux. Les plus grosses aubergines peuvent être mises à dégorger avec du sel.
    L’aubergine peut se cuisiner à la vapeur ou à l’étuvée, et éventuellement réduite en purée. Additionnée d’une pointe d’ail et d’un soupçon d’huile d’olive, elle affirme son appartenance à la diète méditerranéenne, réputée particulièrement bénéfique pour la santé.


    Recettes :


                                                         Aubergines farcies à la bolognaise



                                                                Gratin d’aubergines allégé


                                                                  Pizza tomates aubergines


                                                                   Aubergines au parmesan
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    Anti-cancer, bon pour la circulation sanguine, anti-diabète... Très apprécié de nos grands-mères, l’oignon est l'allié incontournable de votre santé. Voici comment profiter de ses vertus, sans pour autant avoir mauvaise haleine !<o:p></o:p>

    Des vertus contre les cancers digestifs<o:p></o:p>
    L’oignon a des effets préventifs reconnus contre certains cancers et pourrait même freiner la progression des cellules cancéreuses.<o:p></o:p>
    D’après plusieurs études 1 et 2, l’oignon aurait un effet protecteur contre les cancer de l’estomac et du tube digestif. On le soupçonne également d’avoir les mêmes effets sur d’autres cancers comme ceux du larynx, de l'œsophage ou de la prostate, même si les résultats sont plus incertains.

    D'où viennent les vertus de l'oignon contre les cancers ? <o:p></o:p>
    C’est aux anti-oxydants qu’il contient (anthocyanines et quercétine) que l’on attribue l’effet anti cancer de l’oignon.<o:p></o:p>
    D’autre part, une étude française, réalisée sur des rats atteints de cancer, a démontré que l’extrait d’oignon pouvait réduire la prolifération des cellules cancéreuses. En plus de l’effet préventif, l’oignon pourrait aussi avoir un effet curatif. Des études sont encore en cours pour déterminer les tenants et les aboutissants de ces hypothèses.
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    Comment le consommer ? <o:p></o:p>
    Difficile de consommer de l'oignon en grande quantité, c'est un accompagnement fort en goût. Pour optimiser ses atouts santé :<o:p></o:p>
    - Sachez que les oignons blancs contiennent moins d’anti-oxydants que les variétés rouges et jaunes.<o:p></o:p>
    - Consommez-le avec d’autres denrées réputées également riches en anti-oxydants : fruits et légumes colorés principalement.<o:p></o:p>
    - Intégrez-le à votre alimentation quotidienne, cru ou cuit, mais veillez à ne pas le cuisiner avec trop de matières grasses.



    Des vertus pour les artères ?
    Bien que moins puissant que l’ail, l'oignon contient des anti-agrégants plaquettaires naturels, ce qui signifie qu’il aide le sang à mieux circuler.<o:p></o:p>
    Une étude britannique a observé un échantillon de sujets consommant quotidiennement une soupe à l’oignon. Elle a conclu que l’agrégation plaquettaire était diminuée. Les résultats des études sont contradictoires et leur majeure partie a été réalisée in vitro ou sur l’animal, mais les travaux sont encourageants !


    D'où viennent les vertus anti-agrégantes supposées de l'oignon ?  
    Ces effets seraient dus à l’action cumulée de ses anti-oxydants et des composés sulfurés ce sont eux qui piquent les yeux ! Comme l’explique le Dr Arnauld Cocaul, médecin nutritionniste, “l’oignon contient aussi des omégas 3 qui réduisent le cholestérol, et du potassium, qui élimine l’excès de sel dans l’organisme, ce qui contribue à protéger le cœur et les artères !”<o:p></o:p>


    Comment le consommer ? <o:p></o:p>
    Si l'on conseillait autrefois de “croquer dans un oignon au petit déjeuner”, ce n'est plus tout à fait d'usage. Mais vous pouvez en agrémenter vos plats et salades au quotidien. Consommez-le de préférence cru, pour conserver la majorité de ses anti-oxydants.



    L’oignon a des vertus contre le diabète
    L’oignon pourrait être un bon aliment pour les diabétiques. On conseille parfois de ne pas trop en consommer, car il a un taux important de glucides. Mais l’oignon pourrait aider à réduire le taux de triglycérides dans le sang, effet particulièrement intéressant lorsque l’insuline ne fait pas son travail en particulier chez les personnes en surpoids.<o:p></o:p>

    D'où viendraient les vertus de l'oignon contre le diabète ? 
    L’oignon tiendrait ses effets d’une substance appelée glucokinine. Il existe plusieurs hypothèses. Pour certains scientifiques, elle réduit le taux de sucre dans le sang. Pour d'autres, elle stimule le pancréas, qui produit les substances nécessaires à la régulation du taux de glucose.<o:p></o:p>
    Parallèlement, les qualités de l’oignon contre les problèmes cardio-vasculaires seraient un atout supplémentaire pour les personnes souffrant de diabète de type 2, particulièrement sensibles à ces pathologies.<o:p></o:p>
      


    Oignon est votre allié minceur !
    L’oignon est un aliment à intégrer à votre alimentation si vous surveillez votre ligne. En premier lieu, il est chargé de fibres : qu’il soit cru ou cuit, les fibres de l’oignon gonflent dans votre système digestif et réduisent le sentiment de faim.<o:p></o:p>
    Il aurait aussi des effets diurétiques permettant une meilleure élimination. Enfin, il pourrait aider à réduire le taux de triglycérides dans le sang. Les triglycérides sont des graisses stockées dans les tissus adipeux : en excès, ils viennent donc s'accumuler dans les fesses, le ventre...


    Comment l’utiliser ?
     <o:p></o:p>
    Le plus prudent est de demander l’avis de votre médecin. Il sera le plus à même de vous dire si vous devez ou non laisser une place à l’oignon dans votre alimentation et comment le consommer.



    Comment le consommer ? <o:p></o:p>
    Blanc, rouge, jaune, cru, ou cuit... Faites-vous plaisir ! A condition de ne pas abuser de la matière grasse.


    Des vertus contre le cholestérol
    L’oignon a des vertus anti-cholestérol ! "Cette qualité vient des anti-oxydants et des omégas 3 qu’il contient, dont l’effet anti-cholestérol n’est plus à prouver", comme l’explique le Dr Arnaud Cocaul, médecin nutritionniste.<o:p></o:p>

    D'où viennent les vertus anti-cholestérol de l'oignon ? 
    Il pourrait aider à faire baisser le taux de triglycérides dans le sanggrâce à l'action des Omégas 3. Les triglycérides sont les graisses que le corps utilise comme énergie. On ignore encore le lien de corrélation entre les triglycérides et le cholestérol. On sait néanmoins que “lorsque le niveau de triglycérides augmente, le niveau de bon cholestérol baisse, alors que le mauvais cholestérol se densifie pour devenir plus nocif et participer à boucher les artères”, explique le Dr Cocaul.<o:p></o:p>

    Comment le consommer ? <o:p></o:p>
    Pour les anti-oxydants, préférez les oignons rouges ou jaunes, qui en contiennent plus. Vous pouvez les consommer crus en salade, ou cuits, à condition de faire attention au mode de cuisson : trop de matière grasse ne fera aucun bien à votre cholestérol ! Ils restent cependant plus efficaces crus : ils perdent un peu de leurs anti-oxydants à la cuisson.<o:p></o:p>
    Aussi, l’oignon n’est pas un alicament bénéfique en tant que tel. Il est bon pour votre santé à condition de le consommer dans le cadre d’une alimentation variée et équilibrée pleine de fruits et de légumes, eux aussi riches en anti-oxydants !



    Oignon : un anti-bactérien et anti-inflammatoire ?
    De nombreuses recettes de grand-mères préconisent l’oignon comme arme hygiénique... Il aurait des effets anti-bactériens et anti-inflammatoires, protecteurs et curatifs. Une rondelle d’oignon est souvent préconisée sur les furoncles pour en faire sortir l’infection. La sagesse populaire le conseille aussi en traitement des otites, des maux de gorges, ou encore pour soulager les piqures d’insectes...<o:p></o:p>

    D'où viendraient ses vertus ? 
    Aucune étude scientifique n’étaye ces vertus, mais comme l’explique le Dr Arnaud Cocaul, médecin nutritionniste, ces bienfaits pourraient être dus aux omégas 3 qu’il contient et aux effet anti-inflammatoires qu’on leur attribue. Ces effets n’ayant pas été prouvés, demandez toujours conseil à votre médecin avant l'utilisation d'un remède de grand-mère.


    Comment le consommer ?
    Blanc, rouge, jaune... lequel choisir ?

    Les oignons blancs : 
    Sur les étals d’avril à septembre, il sont récoltés avant leur maturité complète. Ils ne se conservent pas très longtemps mais sont délicieux en salade. Ils contiennent moins d’anti-oxydants que les autres variétés, mais sont riches en fibres. On les trouve aussi de petite taille, il sont alors généralement vendus en botte. Les feuilles vertes sont un gage de fraîcheur. Conservez-les au frais et évitez de les garder plus d’une semaine.<o:p></o:p>


    Les oignons jaunes : 
    Grand classique du genre, les oignons jaunes sont sur les étals toute l’année et se conservent parfaitement si on les garde au frais et au sec. Les oignons jaunes sont ceux qui conviennent le mieux à la cuisson et qui sont le plus indigestes si vous les consommez crus. Plus ou moins gros, il en existe plusieurs variétés plus ou moins adaptées à ce que vous voudrez cuisiner. N’hésitez pas à demander conseil à votre maraîcher.<o:p></o:p>

    Les oignons rouges : 
    Normalement disponibles au printemps, on peut aujourd’hui en trouver toute l’année sur les étals grâce à l’importation. Les oignons rouges sont les plus riches en anti-oxydants, préférez donc les consommer crus pour en tirer le meilleur parti. De fait, ils sont plus fades et moins sucrés que les oignons jaunes une fois cuits.


    Gare à la digestion...
    L’oignon peut parfois poser des problèmes de digestion Parmi les effets indésirables identifiés : les ballonnement, les douleurs abdominales, les troubles du transit et les flatulences.<o:p></o:p>
    L’oignon est un aliment dit fermentescible, ce qui signifie que sa digestion peut déclencher un processus de fermentation qui perturbe le transit des personnes sensibles (syndrome de l'intestin irritable).<o:p></o:p>
    La tolérance de l’oignon reste un facteur individuel. Il vous faut donc voir quel est votre seuil de tolérance. Ne vous privez pas pour autant ! Veillez simplement à votre consommation si vous savez que l’oignon vous sera difficile à digérer. Si vous observez des effets digestifs indésirables, essayer de diminuer votre consommation ou de changer de variété. Aussi, les oignons se digèrent plus facilement cuits que crus.



    Astuce pour ne plus pleurer quand vous lavez des oignons
    Pourquoi l’oignon nous fait-il pleurer ? <o:p></o:p>
    Lorsqu’on le coupe, ses cellules libèrent une enzyme que l’on appelle alliinase. Une réaction chimique se produit alors au contact de l’air et l’enzyme se transforme en un gaz très volatil. Cette substance sulfurée se transforme, au contact du liquide lacrymal, en acide sulfurique à très faible dose. C’est cet acide, très irritant, qui nous brûle les yeux et c’est pour s’en défendre que notre organisme sécrète plus de larmes.<o:p></o:p>


    Comment faire.<o:p></o:p>
    - Vous pouvez faire un sort à votre oignon sous l’eau : ainsi les substances restent dans l’eau et n’arrivent pas jusqu’à vos yeux. 
    - Vous pouvez aussi essayer de mettre l’oignon au congélateur quelques minutes avant de le découper : le froid freine la réaction enzymatique et laisse un petit sursis à vos larmes !
    - Ou, si vous n’avez pas peur du ridicule, vous pouvez utiliser des lunettes de piscine. Mais méfiez vous, aérez la pièce, car les substances sont volatiles et pourraient bien vous surprendre une fois que vous aurez enlevé vos lunettes !<o:p></o:p>
    Enfin, pour le hacher, agissez rapidement et optez pour une lame lisse et bien tranchante : cela évite de déchirer les cellules de l’oignon et diminue la quantité de substance libérée.


    Dans le futur : 
    En 2008, un biologiste néo-zélandais annonçait qu’il était à deux doigts de créer une espèce d’oignons qui ne feraient pas pleurer, Mais cet oignon magique n’est pas encore sur le marché...


    Comment garder une haleine fraîche ?
    On réfléchit souvent à deux fois avant de consommer des oignons crus, même quand on aime beaucoup ça.<o:p></o:p>
    Une fois le repas fini, il est difficile de faire oublier qu'on en a mangé : l’oignon donne mauvaise haleine.<o:p></o:p>
    Il est cependant facile de contrer ces effets. Pour cela, il suffit de garder en mémoire les aliments qui vous aideront à vous débarrasser des substances sulfurées responsables de la mauvaise haleine. Persil, banane et kiwi en font partie.<o:p></o:p>
    Après avoir mangé de l’ail ou de l’oignon, mâchez un peu de persil frais : efficacité garantie.<o:p></o:p>
    Sources<o:p></o:p>
    Remerciements au Docteur Arnaud Cocaul pour sa patiente, sa disponibilité, son expertise et sa sympathie.<o:p></o:p>
    Les Aliments Qui Guérissent, Sophie Lacoste, Leduc Editions, 2008
    Ma Pharmacie Naturelle, Dr Yves Donadieu, Robert Laffont, 2008
    Les 100 Meilleurs Aliments pour Votre Santé et pour la Planète, Dr Laurent Chevalier, Fayard 2009<o:p></o:p>



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  • Soupe de poisson et poulet
    pour 6 personnes<o:p></o:p>

    Temps de préparation: 20 minutes<o:p></o:p>

    Temps de cuisson: 20 minutes

    Difficulté: Très facile

    Budget: Bon marché<o:p></o:p>

    Ingrédients pour la Recette de Soupe de poivron et poulet<o:p></o:p>

    - 300 grammes de blanc de poulet,
    - 1 poivron rouge,
    - 1 demi-concombre,
    - 1 boîte de maïs en boîte,
    - 1 demi-cuillère à café de curry en poudre,
    - 1 cuillère café de fond de volaille,
    - 10 grammes de ciboulette
    - 1,5 l d'eau fraîche,<o:p></o:p>

    - Sel fin de cuisine.

    Préparation de la Recette de Soupe de poivron et poulet<o:p></o:p>

    Verser l'eau dans la casserole.
    La saupoudrer avec 1 cuillère à soupe de fond de volaille.
    Couper le blanc de poulet en lanières.
    Faire cuire dans l'eau à feu moyen.
    Enlever la tige du poivron.<o:p></o:p>
    Couper le poivron dans le sens de la longueur.<o:p></o:p>
    Enlever les parties blanches et les graines.<o:p></o:p>
    Les couper en petits carrés<o:p></o:p>
    Peler le concombre.<o:p></o:p>
    Le couper en deux parties.<o:p></o:p>
    Enlever les graines de l'intérieur.<o:p></o:p>
    Le couper en lamelles.
    <o:p></o:p>
    Ajouter les dés de poivron et les lamelles de concombre au poulet.<o:p></o:p>
    Rincer le maïs à l'eau, 
    Bien l'égoutter.<o:p></o:p>
    Puis, le verser dans le potage.<o:p></o:p>
    Tout saupoudrer de curry.<o:p></o:p>
    Saler et poivrer.<o:p></o:p>
    Bien mélanger.<o:p></o:p>
    Porter à ébullition.<o:p></o:p>
    Laisser cuire 10 minutes à petits bouillons.<o:p></o:p>
    Laver et ciseler la ciboulette.
    La parsemer sur la soupe.<o:p></o:p>
    La servir bien chaude.<o:p></o:p>







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