• Quelques règles à connaître pour savoir mieux distinguer les bons grains :
    1. Les variétés, tu étudieras.
    Les précisions inscrites sur les boîtes de caviar, Osciètre, Béluga, Baeri… correspondent aux différentes variétés d’esturgeons.
    Trois sont sauvages : le Béluga, l’Osciètre et le Sevruga.
    Viennent ensuite les esturgeons d’élevage, comme le Baeri, élevé notamment en Aquitaine, ou l’Acipenser Transmontanus, d’origine américaine, élevé en Californie mais aussi en Italie.<o:p></o:p>
    2. Le caviar russe, tu oublieras.
    * Depuis trois ans, il est impossible d’importer du caviar sauvage provenant de Russie, en raison de la raréfaction dramatique des esturgeons sauvages. Il faut également savoir que, pour 2006, seul le caviar Beluga du Danube est autorisé à la vente. Il n’y aura donc pas de Béluga de la Caspienne cette année.<o:p></o:p>
    3. Aux apparences, tu ne te fieras pas.
    *S’il est vrai qu’on achète avec l’oeil, les grains doivent bien se détacher, rester ronds, être brillants, ne pas s’écraser en huile. La couleur et la grosseur ne suffisent pas à désigner un bon caviar. Il existe une très large palette de couleurs, qui doivent être nettes, allant du gris clair au noir, en passant le doré ou le vert de gris. Elles n’influent pas du tout sur le goût, mais plutôt sur l’idée qu’on s’en fait.<o:p></o:p>
    4. Le caviar d’élevage, tu ne bouderas pas.
    La qualité du caviar d’élevage, issu de poissons d’eau douce, a fait un grand bond ces dernières années. Il y a encore 4-5 ans, on lui reprochait un arrière goût de vase et de fréquents problèmes d’oxydation.
    Aujourd’hui, on en trouve d’excellents en Europe, notamment en Aquitaine ou l’on élève la variété Baeri.
    L’ Italie, l’Espagne, la Bulgarie se sont également lancées dans l’élevage.
    Les États-Unis, Israël et bientôt la Chine sont également dans la course.<o:p></o:p>
    5. Goûter avant d’acheter, tu tenteras.
    Difficile d’entrer tranquillement dans une boutique et de demander à ouvrir et goûter plusieurs boîtes, avant de se faire son choix.
    C’est pourtant ce qu’il faudrait faire, tant les goûts varient entre caviar sauvage et d’élevage, entre Béluga et Osciètre, entre telle ou telle provenance et même entre deux boîtes censées être identiques et conditionnées dans le même atelier, à partir d’une même variété et le même jour.
    Comme on ne peut pas toujours tester, il faut faire confiance aux bonnes maisons, qui regoûtent, resélectionnent et reconditionnent le meilleur de leurs achats.<o:p></o:p>
    6. L’air et la lumière, tu éviteras.
    Produits frais par excellence, les œufs d’esturgeons s’oxydent facilement, donc supportent mal le contact avec l’air et la lumière. D’où l’importance d’acheter des boîtes parfaitement hermétiques et de consommer très rapidement le caviar après ouverture.<o:p></o:p>
    7. À la fraîcheur, tu veilleras.
    La qualité du caviar dépend aussi des conditions de conservation. Conditionnés en boîte hermétique le jour même de la pêche, les œufs doivent être acheminés et conservés à -2°C.
    Pour la dégustation, en revanche, mieux vaut « chambrer » le caviar, entre 10 et 14°C pour apprécier pleinement sa structure et ses arômes.<o:p></o:p>
    8. La cuillère en métal, tu banniras.
    Pour prélever délicatement les grains, la cuillère en nacre garde la faveur des connaisseurs parce qu’elle n’altère pas le goût des oeufs, contrairement aux cuillères en métal.
    Au pire, se rabattre sur une cuillère en bois ou en corne.<o:p></o:p>
    9. L’eau, tu préféreras.
    Lors d’une première dégustation, ou lorsqu’on goûte un caviar en magasin, mieux vaut rester à l’eau pour apprécier toutes ses subtilités gustatives.
    Ensuite, rien n’empêche de marier le caviar à une vodka délicate, un champagne vineux ou un grand bourgogne blanc.<o:p></o:p>
    10. Sur la quantité, tu ne complexeras pas.
    Compte tenu des prix de vente, acheter une boîte de 30 grammes n’est pas déshonorant, même si le vendeur vous assure qu’il faut 50 grammes pour se faire plaisir.
    Quelques grains de folie suffisent à l’ivresse.
    <o:p></o:p>
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  • Recette d'une entrée d'origine portugaise

    • Préparation: 50 minutes
    • Cuisson: 25 minutes
    • Difficulté: Facile
    • Coût: Pas cher
    • Recette pour 4 personnesGras

    Ingrédients de la Recette de Pasteis de bacalhau

    • 250 grammes de morue,
    • 200 grammes de pommes de terre,
    • 4 oeufs extra frais,
    • 1 Oignon jaune,
    • 2 cuillères à soupe de persil haché,
    • 2 pincées de noix de muscade,
    • 4 pincées de sel fin de cuisine,
    • 2 pincées de poivre noir en grains moulus au moulin,
    • 50 cl d'huile de friture.


    Réalisation de la Recette de Pasteis de bacalhau

    1. Faire dessaler la morue pendant un jour ou deux dans de l'eau.
    2. La changer de temps en temps.
    3. Cuire la morue.
    4. Lui retirer la peau et les arêtes.
    5. Puis, l'effiler.
    6. Prendre une casserole.
    7. Y cuire les pommes de terres dans de l'eau salée,
    8. Puis, les éplucher.
    9. Les faire en purée.
    10. Dans un grand saladier mélanger la morue effilée avec la purée de pommes de terre , le persil et l'oignon préalablement coupé en petits morceaux, le sel et la pincée de noix de muscade.
    11. Ajouter les oeufs en petit à petit.
    12. Bien mélanger de manière à obtenir un ensemble bien homogène.
    13. Façonner les beignets à l'aide de deux cuillères.
    14. Faire frire les beignets quelques minutes dans la friteuse de manière à ce qu'ils soient bien dorés.
    15. Extraire l'huile avec un papier absorbant.
    16. Les manger froids ou chauds.
    17. Les accompagner d'un jus de citron bio.
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  • C'est une recette de petits gâteaux


    • Temps de préparation : 70 minutes
    • Temps de cuisson : 35 minutes
    • Difficulté: Facile
    • Coût: Pas cher
    • Recette pour 8 personnes

    Ingrédients pour la Recette des Petits bisous aux abricots

    Pour environ 40 pièces 
    • 1 boîte de lait concentré sucré,
    • 2 jaunes d'oeufs extra frais,
    • 1 cuillère à soupe de beurre,
    • 200 grammes d'abricots secs,
    • 100 grammes de noix de coco râpée,
    • 50 caissettes de 35 mm.

    Réalisation de la Recette des Petits bisous aux abricots

    1. Prendre une casserole
    2. Y verser le lait concentré sucré, le beurre, 80 grammes de noix de coco râpée.
    3. Passer les jaunes d'oeufs dans une passoire, sans les presser.
    4. Il faut empêcher l'entrée de la pellicule qui donne le goût fort d'oeuf.
    5. En mélangeant en permanence, faire cuire à feu doux jusqu'à ce que la pâte soit décollée du fond de la casserole.
    6. Déposer la pâte sur une assiette beurrée.
    7. Laisser refroidir.
    8. Couper les abricots en deux.
    9. Les faire cuire à la vapeur jusqu'à qu'ils soient moelleux.
    10. Ouvrir les abricots à l'aide d'un couteau, en laissant un coté plus ouvert.
    11. Avec l'aide d'une cuillère à thé, modeler la pâte en forme de petite poire.
    12. Faire coller l'abricot à la pâte.
    13. Laisser sa partie plus ouverte vers la base de la poire.
    14. Passer seulement la pâte dans la noix de coco qui reste.
    15. Disposer les petits bisous dans les caissettes.


    Les conseils de Pierre.

    Pour finir ... Variante 

    • On peut aussi faire des petites boules de pâte.
    • Puis, les passer dans la noix de coco.
    • Ajouter un clou de girofle, ce qui donne un parfum spécial.
    • On peut aussi remplacer les abricots par des prunes sèches.
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  • N'oubliez que www.pierremarchesseau-chefentoque.blogspot.com appartient à une galaxie de blogs et de sites qui sont là pour vous servir et vous aider à mieux appréhender le monde culinaire.
    www.recettes-et-terroirs.com, un site de 39900 recette de toutes les cuisines du monde.
    Il y a aussi la description des produits par pays et en France par régions et par départements.
    D'autres rubriques viennent compléter l'ensemble des titres,le mieux étant d'aller les consulter.
    www.recettes-et-sante.blogspot.com, un site sur les conseils sur la santé alimentaire
    www.gastronome.blogspot.com, un site réservé à la jeunesse qui aime le monde culinaire.
    Nous avons également 2 sites en espagnol :
    www.recetasfrancesas.blogspot.fr
    www.reposteriafrancesas.blogspot.fr

    Cuisiner c'est transformer des matières d'une façon ou d'une autre, c'est à dire utiliser une matière que la nature à conçu.
    Cette nature met à notre disposition des règles pour le faire. Elle permet de les cuire, de les mélanger, de les associés en respectant certaines règles.
    - Règles de choix
    - Règles d'achat et de saison
    - Règles d'assaisonnement
    - Règle de coloration
    - Règles de saison
    - Règles de goût
    - Règles de cuissons qui sont multiples et peuvent se conjuguer ensembles
    - Règles de température
    - Règle de congélation
    - Règles de décongélation
    - Règles de décongélation
    - Règles de conservation à l'air
    - Règles de conservation au froid positif
    - Règles d'accompagnement
    - Règle de l'équilibre alimentaire
    - Règles d'éducation

    Ces règles feront que votre repas sera réussi mais surtout que l'équilibre alimentaire sera respecté.

    Point de départ
    • Une alimentation équilibrée est une adaptation équilibrée entre les différents nutriments : lipides, glucides et protides.<o:p></o:p>
    • Mais c'est aussi un apport suffisant en vitamines et en oligo-éléments.<o:p></o:p>
    • C'est aussi une répartition harmonieuse de la ration alimentaire au cours de la journée.<o:p></o:p>
    • Et enfin, c'est une alimentation suffisante en quantité, mais pas excessive.<o:p></o:p>
    Bref, une alimentation équilibrée, c'est une alimentation raisonnable et variée.<o:p></o:p>

    Le rythme des repas
    • Il est conseillé d'avoir 3 vrais repas par jour, et si possible un goûter vers 16-17 heures.<o:p></o:p>
    • Le petit déjeuner doit être pris le matin, de préférence en prenant son temps. Cela signifie se lever suffisamment tôt pour avoir suffisamment de temps avant d'aller travailler.<o:p></o:p>
    • Le déjeuner. Il faut de préférence qu'il n'y ait pas plus de 4 heures entre le petit déjeuner et le déjeuner, mais cela dépend grandement de la composition du petit déjeuner. Cela évite les coups de fatigue en fin de matinée.<o:p></o:p>
    • Vers 16h ou 17 h, mais pas plus tard, le goûter. C'est plus important qu'il y paraît, car ce goûter vous permettra de limiter la quantité d'aliments pris le soir. Il permet de se recharger en sucres rapides, sucres immédiatement disponibles comme le pain, les fruits, parfois une pâtisserie ou des biscuits, le chocolat, etc. avant le dîner.<o:p></o:p>
    • Le repas du soir : pris à 21 h au maximum, il doit être (contrairement à nos habitudes) être assez léger, puisque les dépenses énergétiques seront faibles avant le coucher.
    La quantité
    • D'une manière générale, il faut essayer de manger au petit déjeuner le quart de la ration alimentaire de la journée. Les anglais ont un très bon système, le breakfast, qui comme son nom l'indique "casse" rapidement la faim Il permet surtout de se charger en calories immédiatement disponibles au cours de la journée.<o:p></o:p>
    • Au déjeuner, éviter les aliments lourds, très gras, qui entraîneront une baisse de la vigilance durant la digestion.<o:p></o:p>
    • Le goûter doit être très léger, avec des sucres rapides (fruits, chocolat, boisson sucrée...)<o:p></o:p>
    • Il vaut mieux que le repas du soir soit léger. En effet, les calories emmagasinées lors du repas du soir ne vont pas être utilisées puisqu'on dort et que l'organisme ne dépense pratiquement rien durant cette période. Résultat : elles sont stockées sous forme de graisses. 

    L'Equilibre

    Il existe 7 familles d'aliments qui apportent chacune plus ou moins de  glucides, lipides et protides.<o:p></o:p>
    • Le groupe "Viande, poisson, oeuf" : il contient des protéines animales, du fer, des vitamines, en particulier du groupe B. Attention aux viandes grasses, mouton, agneau, certaines parties du boeuf et du porc, qui contiennent souvent des graisses cachées . Le mieux est de limiter la viande à trois fois par semaine.<o:p></o:p>
    • Le groupe du lait et des produits laitiers ils apportent des protéines animales, du calcium, de la vitamine A dans les plus gras, de la vitamine B. Ils sont riches en graisses et donc doivent être consommés avec modération. On peut en manger tous les jours, en variant les types de laitages. Chez les enfants et les femmes après la ménopause, ils sont très importants en raison de leurs apports en calcium.<o:p></o:p>
    • Le groupe des "Céréales et féculents" : il s'agit de glucides lents contenant de l'amidon, de protéines végétales, de fibres qui aident au transit, et de vitamines B. On peut en consommer tous les jours et à tous les repas.<o:p></o:p>
    • Le groupe des "Fruits et légumes" : ils contiennent des minéraux, de la vitamine C, de la vitamine K pour les légumes verts à feuilles, des protéines végétales et des fibres. On doit manger au moins 5 portions de fruits ou légumes par jour, jusqu'à 10 dans l'idéal.<o:p></o:p>
    • Le groupe des "Corps gras" beurre, margarine, huile : ils contiennent des lipides, des vitamines A, D et E. Leur consommation doit être limitée.<o:p></o:p>
    • Le groupe des "Produits sucrés" : ce sont des sucres rapides qui ont un goût sucré et qui délivrent une énergie immédiate. Ils sont à proscrire ou à consommer de façon très limitée chez les diabétiques ; une alimentation équilibrée doit en comporter une faible proportion.<o:p></o:p>
    • Le groupe des "Boissons" : l'eau contenue dans les boissons y compris l'alcool est la finalité de toute apport liquide. Les boissons autres vin, alcool, soda...apportent en plus de l'eau, des sucres rapides en grande quantité. C'est l'un des facteurs importants d'obésité . Ce sont donc des aliments à consommer avec beaucoup de modération.
    Prévention
    • Les bonnes habitudes se prennent dès l'enfance. Les mauvaises habitudes sont d'autant plus difficiles à corriger qu'elles sont anciennes et familiales.<o:p></o:p>
    • La prévention consiste donc dans des bonnes habitudes alimentaires, et ceci dès l'enfance.<o:p></o:p>
    • Par la suite, la compréhension de la composition des aliments (rapports glucides et lipides en particulier) permettront de respecter des règles alimentaires simples.<o:p></o:p>
    • S'arrêter de manger quand on sent que l'appétit est presque satisfait. La règle de sortir de table en ayant un tout petit peu faim, est très utile : en effet, une fois passé le discret inconfort de n'avoir pas mangé à sa faim, la satiété vient. Cela vaut tous les régimes amaigrissants.
    Les clefs d'une bonne alimentation
    • Variété : manger de tout pour ne risquer aucun déficit en vitamines ou oligo-éléments. La variété des aliments, permet à chacun de choisir selon ses goûts, son budget et ses besoins (besoins occasionnels, choix nutritionnels conseillés ou situation pathologique).<o:p></o:p>
    • Modération : manger en quantité raisonnable pour limiter les apports inutiles.<o:p></o:p>
    • Plaisir et convivialité : le repas est un moment de calme, de convivialité et de plaisir. C'est un moment à privilégier.<o:p></o:p>
    • Mieux choisir ses aliments et mieux les répartir : aucune famille d'aliments, ne réalise à elle seule un équilibre parfait. Il faut donc les varier.<o:p></o:p>
    • Ne pas prendre l'habitude de sauter un repas: c'est mauvais pour l'équilibre alimentaire, difficile pour le système digestif, et risqué pour le maintien du poids.<o:p></o:p>
    • Manger lentement, au calme, en mastiquant bien, et en parlant avec les convives : cela permet de faire un repas en une demi-heure. La sensation de satiété viendra avec beaucoup moins de nourriture qu'en mangeant lentement.
    Exemple de repas
    • Une règle conçue par le Dr Creff, un précurseur en diététique du sport, est très pratique à mémoriser pour tout le monde: GPL = 421, soit pour un repas complet: 4 portions de glucides différentes, sucre, crudité, cuidité, féculent, 2 portions de protides (origine animale et laitière), un portion de lipides (divisé entre graisse constitutionnelle des aliments et assaisonnement). Si cela vous fait trop ou que vous n'avez pas le temps de faire un repas complet dans la journée, visez au moins ce but sur la journée<o:p></o:p>
    • Petit déjeuner : fruits ou jus de fruits (G); pain ou céréales; beurre ou confiture (G); thé ou café ; lait ou fromage ( P+L), pour bien démarrer la journée et éviter les grignotages dans la matinée. Attention au café trop fort ! Le café ou le thé trop fort, surtout s'il est accompagné de sucres rapides (confiture, sucre, pâtisseries...) provoque une sécrétion importante d'insuline par le pancréas,et donc un risque d' hypoglycémie vers 11 heures du matin.<o:p></o:p>
    • Déjeuner : une entrée avec des crudités faiblement assaisonnées (G+ 1/2L)), un plat en évitant absolument les sauces (P+G), des sucres lents (pommes de terre, pâtes, etc.=G) ou des légumes cuits (G), un petit morceau de fromage (P+1/2L) et un fruit (G).<o:p></o:p>
    • Dîner légèrement : les calories du soir se stockent plus facilement
    Répartition
    • Faire une plus large place au poisson et à la volaille, moins gras et riches en oméga 3 ; au pain, aux produits céréaliers (riz, pâtes, semoule) idéalement dans leur forme complète et aux légumes secs ; aux fruits et légumes frais (en conserve ou surgelés).<o:p></o:p>
    • Réduire les frites, les charcuteries grasses, les pâtisseries, les boissons sucrées et alcoolisées.<o:p></o:p>
    • Proscrire le grignotage, et en particulier proscrire les barres chocolatées, les biscuits apéritif, et les viennoiseries).<o:p></o:p>
    • Eviter les "fast-food". Rythme maximum : 1 fois par semaine.
    La cuisine

    Le minimum utile pour avoir la variété suffisante pour des apports complets :<o:p></o:p>
    • Un plat avec"viande, poisson, oeuf" par jour, en ne prenant de la viande que 3 fois par semaine.<o:p></o:p>
    • Un produit laitier à chaque repas (lait nature, fromage ou yaourt ...).<o:p></o:p>
    • Une crudité à chaque repas (légume cru, râpé, en salade ou un fruit).<o:p></o:p>
    • Un plat de légumes cuits par jour (midi ou soir, en fonction du dîner).<o:p></o:p>
    • Un plat de féculents par jour (midi ou soir,en fonction du déjeuner).<o:p></o:p>
    • Du pain à l'autre repas.<o:p></o:p>
    • Du sel avec modération : salez normalement la nourriture, mais ne mettez pas la salière à table.<o:p></o:p>
    • De l'eau à volonté. Accessoirement, et pour le plaisir, 1 à 2 verres de vin au repas.<o:p></o:p>
    • Le beurre : sur les tartines du petit déjeuner et sur les légumes cuits, c'est tout.<o:p></o:p>
    • De l'huile pour la cuisson et l'assaisonnement, en quantité modérée. préférez l'huile d'olive et de colza, ou les mélanges de 4 graines.

    Rôle des composants des aliments
    • Protéines : elles servent à bâtir les muscles, le coeur, le sang, le cerveau, et finalement toutes les cellules des organes.<o:p></o:p>
    • Lipides : ou graisses elles servent de réserve d'énergie pour l'activité musculaire et la lutte contre le froid. Elles participent à la protection et la constitution des cellules du cerveau. Comprennent plusieurs types d'acides gras, à équilibrer pour une meilleure protection cardio-vasculaire. Il ne faut pas abuser du beurre et des fromages gras, des viandes et charcuteries grasses, des frites, des viennoiseries...
    • Cholestérol: Il est en partie fabriqué par l'organisme, et en partie apporté par les aliments. Il est indispensable à la vie des cellules et à la synthèse d'hormones, mais son excès dans le sang sous la forme qui sera stockée sur les parois est un facteur de risques cardio-vasculaire .
    • Glucides : c'est la source d'énergie immédiatement utilisable pour l'effort musculaire et l'activité cérébrale. Il y a deux types de glucides faciles à repérer : les "rapides" ont un goût sucré, il ne faut pas abuser ; et les "lents" (amidon) qui n'ont pas de goût sucré et vont être assimilés lentement, qu'il faut consommer.<o:p></o:p>
    • Calcium: c'est le constituant principal de l'os. Il est indispensable pour la croissance, la solidité et l'entretien du squelette. Son apport est fondamental dès l'enfance pour garantir un capital osseux et éviter l'ostéoropose  à l'âge adulte.<o:p></o:p>
    • Fer : élément capital de constitution de l'hémoglobine dans les globules rouges qui transportent l'oxygène .<o:p></o:p>
    • Le magnésium sert à la régulation de l'équilibre nerveux et musculaire et du rythme cardiaque.<o:p></o:p>
    • Sodium: règle la répartition de l'eau dans l'organisme et le volume du sang ; joue un rôle essentiel dans la contraction musculaire, dont le cœur. Doit parfois être limité, sur prescription médicale, dans certaines hypertensions, maladies cardiaques ou rénales.<o:p></o:p>
    • Vitamine A : protection de la vue, croissance, anti-oxydante. Se présente sous forme de carotène dans les fruits et légumes colorés.<o:p></o:p>
    • Vitamines B : Bl et B6 : protection du système nerveux, B2 : croissance, B9 et B12 : anti-anémiques. Toutes aident à la bonne assimilation des nutriments.
    • Vitamines C: absorption du fer, croissance, résistance aux infections, anti-oxydante.
    • Vitamines D: En partie fabriquée par l'organisme sous l'effet du soleil, en partie apportée par les produits animaux; son rôle est important dans le métabolisme osseux mais aussi pour beaucoup d'autres fonctions de l'organisme.<o:p></o:p>
    • Vitamine E : anti-oxydante, action contre le vieillissement des tissus.<o:p></o:p>
    • Fibres : anti-constipation : issues principalement des produits céréaliers et des légumes; freinent l'absorption du cholestérol : issues principalement des fruits et légumes.<o:p></o:p>
    • Eau : Pour l'hydratation des cellules, transport des nutriments, élimination des déchets.<o:p></o:p>

    Maintenant que vous avez compris que cuisiner c'est aussi la meilleure façon de se nourrir,
    vous avez aussi compris que cuisiner c'est réussir sa nutrition et son équilibre tout court. L'important c'est de comprendre que l'on ne cuisine pas que pour soi, mais aussi pour nourrir sa famille et ses enfants qui subiront toute leur vie ce que vous aurez mis dans leur assiette. Le bon comme le mauvais.
    le goût est une éducation d'abord, puis une habitude qui devient comme une drogue et persistera tout au long de votre vie.
    Si vous n'apprenez pas un goût à un enfant, la mémoire ne le reconnaîtra pas donc ne le réclamera pas.
    Le goût, c'est d'abord une mémoire qui retient les différentes choses ingurgitées. Elle les classes et agira par comparaison instantanée lorsque l'occasion de le faire se présentera. 

    En fonction de vos besoins et vos sensations certains seront plus prisées que d'autres, elle aura donc tendances à les rechercher et les mettra en évidence permanente dans une case du cerveau et de sa mémoire visuelle, olfactive, sensuelle et gustative. Le cerveau et les sens seront donc en permanence aux aguets tous les jours et nuits de votre vie.


    Nous allons donc avoir à apprendre:
    - Le fonctionnement des sens gustatifs
    - Le fonctionnement des sens olfactifs
    - le fonctionnement des sens auditifs
    - Fonctionnement des sens visuels
    - Le fonctionnement des sens sensitifs

    Chacun de ses fonctionnements du système sensorielle à ses lois et chacun d'entre nous ce doit de les connaître.

    Pour bien cuisiner, ils sont indispensable aux lois que la nature à défini pour savoir cuisiner.

    Chacun s'il est parisien pourra découvrir nos cours, notre cuisine, découvrir à partir du 15 septembre les réalités de ce que nous diffusons grâce à l'ouverture en plein paris près de la Bastille notre nouvelle école de cuisine ou l'enseignement de la cuisine se fera à partir de l'équilibre alimentaire, la basse cuisson et le respect de la bonne matière.

    Renseignements, réponse assurée :
    pmarchesseau@gmail.com



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  • Recette pour 12 personnes

    Temps de préparation : 110 minutes
    Temps de cuisson : 100 minutes
    Difficulté: Facile
    Coût : Pas onéreux


    Ingrédients de la Recette du Quindim

    - 3 tasses de sucre semoule,
    - 1 tasse d'eau chaude,
    - 2 cuillères à soupe de beurre fondu,
    - 12 jaunes d'œufs,
    - 3 œufs extra frais,
    - 1 tasse de noix de coco râpée,
    - Beurre,
    - Sucre semoule,
    - Cerises confites,

    Réalisation de la Recette du Quindim

    A feu moyen, mélanger le sucre et l'eau, pendant 10 minutes, jusqu'à obtention d'une consistance semblable au miel.
    Laisser tiédir.
    Ajouter le beurre, les jaunes d'oeuf, les oeufs et enfin la noix de coco râpée (fraîche de préférence).
    Bien mélanger et verser dans un moule beurré.
    Enfourner et cuire au bain-marie dans l'eau déjà en ébullition, pendant 1h30.
    Pour finir ...
    Décorer avec un peu de noix de coco râpée et les cerises confites.
    Servir très frais.
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