• Une ville un peu froide, austère, ayant tourné le dos à son passé maritime pour se consacrer sans nuances à la modernité et ses technologies de pointe.

    C’était oublier que, si la ville est effectivement un peu tout cela, elle a su aussi conserver de très nombreux souvenirs, notamment architecturaux, de son passé colonial.  Ainsi, son centre-ville tortueux et romantique est plus proche du Vieux Continent que nulle autre ville des Etats-Unis. 

    Passé présent. Présent futur. 
    Boston ne renie rien et ose tout. Celle qui fut un fleuron du puritanisme dans la Nouvelle-Angleterre du XVIIe siècle ne se dépare pas du charme du Vieux Continent.<o:p></o:p>

    Hatt Off...<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Des casquettes alignées sur un étalage portant le « B » de Boston. Photo clin d’œil d’une ville fière d’elle-même et de ses valeurs ($).<o:p></o:p>

    Les Vieux pieux...<o:p></o:p>


    Sur les quais, ces pieux de bois nous renvoient à une page désormais tournée de l'histoire de Boston, mais semblent toujours défier la ville neuve et son insolente modernité.

    Oxymore Urbain...









    A tous les coins de rue, on assiste à la confrontation pacifique du passé et du présent.
    Cette image, où les immeubles modernes se juxtaposent aux bâtiments anciens, illustre cet oxymore urbain.<o:p></o:p>

    La porte rouge...










    Le drapeau des Etats-Unis flotte au portail de cette maison bostonienne à la porte rouge. Sans l’omniprésente Stars and Strips, la célèbre bannière étoilée, l’Amérique<o:p></o:p>
    ne serait pas l’Amérique. Témoignage d’un patriotisme tapageur mais sincère.<o:p></o:p>

    Lollipop...<o:p></o:p>









    Ce panneau d’informations à destination des touristes est en forme de sucette. Une douceur exclusivement bostonienne !

    Gate toward the future...

     <o:p></o:p>








    Proche des quais et des vestiges des siècles passés de la ville coloniale, ce grand porche nous fait entrer de plain-pied dans le troisième millénaire.<o:p></o:p>

    Le repos des Grands Anciens...  









    Créé en 1660, le Granary Burying Ground est l'un des plus vieux cimetière de Boston. 



    Bien qu'il ne compte que 2 345 tombes, on estime que 5 000 personnes y reposent. 

    L'espoir est à la fenêtre...

     <o:p></o:p>








    Rêve d’hier, réalité d’aujourd’hui. Si l’espoir a vu ses couleurs se délaver un peu, celles du cliché continuent de claquer !

    Beacon Hill...



    Îlot résidentiel très apprécié des Bostoniens aisés, Beacon Hill a gardé intact tout le charme de ses origines européennes.<o:p></o:p>

    Bastion abolitionniste...


    Le quartier de Beacon Hill, dont les bâtiments en briques rouges rappellent la vieille Angleterre, fut autrefois un bastion abolitionniste. Sur Joy Street, on peut y voir la plus ancienne église noire des Etats-Unis, l'African Meeting House.<o:p></o:p>

    Chasse aux sorcières...


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  • Une ville un peu froide, austère, ayant tourné le dos à son passé maritime pour se consacrer sans nuances à la modernité et ses technologies de pointe.

    C’était oublier que, si la ville est effectivement un peu tout cela, elle a su aussi conserver de très nombreux souvenirs, notamment architecturaux, de son passé colonial.  Ainsi, son centre-ville tortueux et romantique est plus proche du Vieux Continent que nulle autre ville des Etats-Unis. 

    Passé présent. Présent futur. 
    Boston ne renie rien et ose tout. Celle qui fut un fleuron du puritanisme dans la Nouvelle-Angleterre du XVIIe siècle ne se dépare pas du charme du Vieux Continent.<o:p></o:p>

    Hatt Off...<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Des casquettes alignées sur un étalage portant le « B » de Boston. Photo clin d’œil d’une ville fière d’elle-même et de ses valeurs ($).<o:p></o:p>

    Les Vieux pieux...<o:p></o:p>


    Sur les quais, ces pieux de bois nous renvoient à une page désormais tournée de l'histoire de Boston, mais semblent toujours défier la ville neuve et son insolente modernité.

    Oxymore Urbain...









    A tous les coins de rue, on assiste à la confrontation pacifique du passé et du présent.
    Cette image, où les immeubles modernes se juxtaposent aux bâtiments anciens, illustre cet oxymore urbain.<o:p></o:p>

    La porte rouge...










    Le drapeau des Etats-Unis flotte au portail de cette maison bostonienne à la porte rouge. Sans l’omniprésente Stars and Strips, la célèbre bannière étoilée, l’Amérique<o:p></o:p>
    ne serait pas l’Amérique. Témoignage d’un patriotisme tapageur mais sincère.<o:p></o:p>

    Lollipop...<o:p></o:p>









    Ce panneau d’informations à destination des touristes est en forme de sucette. Une douceur exclusivement bostonienne !

    Gate toward the future...

     <o:p></o:p>








    Proche des quais et des vestiges des siècles passés de la ville coloniale, ce grand porche nous fait entrer de plain-pied dans le troisième millénaire.<o:p></o:p>

    Le repos des Grands Anciens...  









    Créé en 1660, le Granary Burying Ground est l'un des plus vieux cimetière de Boston. 



    Bien qu'il ne compte que 2 345 tombes, on estime que 5 000 personnes y reposent. 

    L'espoir est à la fenêtre...

     <o:p></o:p>








    Rêve d’hier, réalité d’aujourd’hui. Si l’espoir a vu ses couleurs se délaver un peu, celles du cliché continuent de claquer !

    Beacon Hill...



    Îlot résidentiel très apprécié des Bostoniens aisés, Beacon Hill a gardé intact tout le charme de ses origines européennes.<o:p></o:p>

    Bastion abolitionniste...


    Le quartier de Beacon Hill, dont les bâtiments en briques rouges rappellent la vieille Angleterre, fut autrefois un bastion abolitionniste. Sur Joy Street, on peut y voir la plus ancienne église noire des Etats-Unis, l'African Meeting House.<o:p></o:p>

    Chasse aux sorcières...


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  • Notre voyage commence par la pointe orientale de Madère. 
    Un paysage désertique s’offre à nous.
     Ici se trouve l’unique plage de sable naturelle de l’île.












    Le col de l’Encumeada constitue le point culminant (1007 m) de la 
    route qui relie la côte sud au nord de l’île. 
    Le paysage, composé de pics vertigineux et de cultures en terrasses, 


    me rappelle celui des Andes.










    A bord d’un catamaran, nous approchons de Funchal, la capitale de 
    Madère. 
    La ville forme un amphithéâtre aux pieds des montagnes.












    Nous nous baladons sur le front de mer quand nous tombons sur une 
    petite place tranquille où s’élève la cathédrale de Funchal.












    Le marché de Funchal regorge de fruits et de légumes éclatants, 
    de fleurs colorées et de poissons ragoûtants, notamment d’espadas, 
    des sortes d’anguilles très consommées à Madère.












    En car, nous nous rendons à Curral das Freiras, « l’étable des nonnes », 
    un village retranché où les religieuses se cachaient lors de l’invasion 
    des pirates.










    Nous empruntons le téléphérique pour nous rendre à Monte, un village 
    qui surplombe Funchal. 
    Nous redescendons en traîneau. 

    Sensations garanties !











    Nous visitons les chais de l’une des plus grandes familles de vin 
    de Madère, les Blandy.
    L’occasion de déguster un cru de mon année de naissance, 1948. 
    Mes papilles s’en souviennent encore !












    Le vin de Madère est doux et sucré. Il vieillit trois mois en fût d’acajou 
    sous les toits (par plus de 30° !). 
    On coupe ensuite les meilleurs crus à l’alcool de vin pour en stopper 
    la fermentation. 
    Le vin est enfin transvasé dans des barriques en chêne où il vieillira, 
    au minimum 20 ans pour les grands vins.













    Sao Lourenço, situé à la pointe sud-est de Madère, est une terre battue
    par les vents. 
    Ses paysages aux couleurs contrastées nous coupent le souffle.













    Descente mémorable en VTT du Pico de Arieiro, la troisième montagne 
    de l’île (1810 m) : des paysages spectaculaires et une chute
     vertigineuse dans un virage !
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  • Notre voyage commence par la pointe orientale de Madère. 
    Un paysage désertique s’offre à nous.
     Ici se trouve l’unique plage de sable naturelle de l’île.












    Le col de l’Encumeada constitue le point culminant (1007 m) de la 
    route qui relie la côte sud au nord de l’île. 
    Le paysage, composé de pics vertigineux et de cultures en terrasses, 


    me rappelle celui des Andes.










    A bord d’un catamaran, nous approchons de Funchal, la capitale de 
    Madère. 
    La ville forme un amphithéâtre aux pieds des montagnes.












    Nous nous baladons sur le front de mer quand nous tombons sur une 
    petite place tranquille où s’élève la cathédrale de Funchal.












    Le marché de Funchal regorge de fruits et de légumes éclatants, 
    de fleurs colorées et de poissons ragoûtants, notamment d’espadas, 
    des sortes d’anguilles très consommées à Madère.












    En car, nous nous rendons à Curral das Freiras, « l’étable des nonnes », 
    un village retranché où les religieuses se cachaient lors de l’invasion 
    des pirates.










    Nous empruntons le téléphérique pour nous rendre à Monte, un village 
    qui surplombe Funchal. 
    Nous redescendons en traîneau. 

    Sensations garanties !











    Nous visitons les chais de l’une des plus grandes familles de vin 
    de Madère, les Blandy.
    L’occasion de déguster un cru de mon année de naissance, 1948. 
    Mes papilles s’en souviennent encore !












    Le vin de Madère est doux et sucré. Il vieillit trois mois en fût d’acajou 
    sous les toits (par plus de 30° !). 
    On coupe ensuite les meilleurs crus à l’alcool de vin pour en stopper 
    la fermentation. 
    Le vin est enfin transvasé dans des barriques en chêne où il vieillira, 
    au minimum 20 ans pour les grands vins.













    Sao Lourenço, situé à la pointe sud-est de Madère, est une terre battue
    par les vents. 
    Ses paysages aux couleurs contrastées nous coupent le souffle.













    Descente mémorable en VTT du Pico de Arieiro, la troisième montagne 
    de l’île (1810 m) : des paysages spectaculaires et une chute
     vertigineuse dans un virage !
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  • Une immense mer de toits rouges 
    et variés...
    Après une belle ascension, on mérite enfin des 
    panoramas exceptionnels sur les toits rouges de 
    Lisbonne, encore un grand moment de plaisir. 
    Au centre, on peut apercevoir l’« Elevatore » unique 
    en son genre, l'ascenseur de Santa Justa, connu sous 
    le nom de Elevador do Carmo. 
    On retrouve également l’église Igreja de Carmo.











    Lisbonne un dédale de petites rues 
    et d'escaliers enchevêtrés.
    Au cœur du quartier ancien du Chiado se trouvent ces 
    quelques escaliers. 
    Comme en beaucoup d’autres endroits de Lisbonne, 
    loin de l’agitation, ce lieu calme et reposant où se balader 
    est un véritable régal.











    La sentinelle gardienne de Lisbonne 
    est toujours en place sur les bords du Tage.
    La tour de Bélem servait de sentinelle pour défendre 
    Lisbonne dès l’entrée de la ville via le Tage. 
    Le temps est lourd et pluvieux, donnant un air grave 
    à la souveraine du fleuve.











    Pagnol et César n'aurait pas renié 
    cette partie ce carte.
    Nous nous promenions dans un parc, dans les environs 
    du jardin botanique. 
    Ce groupe de joueurs de cartes a attiré mon attention : 
    j’ai eu envie de les « immortaliser », car ils me 
    rappelleraient toujours l’ambiance de ce lieu, à la fois 
    convivial et nonchalant.











    Le Christ roi de l'autre côté du Tage 
    n'en perd pas une miette.
    Une vue de Lisbonne depuis l’autre rive du fleuve en 
    traversant le pont du 25 avril.
    On passe le Tage, et on se retrouve aux pieds du 
    Cristo Rei, ou le Christ Roi.











    Quand les deux célébrités de la ville 
    se croisent...
    La Cathédrale (« Se ») de Lisbonne, majestueuse, et le 
    fameux tram 28, qui fait tout le tour de la ville,
    deux célébrités de Lisbonne.











    Ce n'est pas Versailles mais il y a de 
    l'originalité dans les mélanges.
    J’ai tout de suite été séduit par cette vieille église 
    surgissant derrière d’autres bâtiments plus modernes, 
    depuis la place Pedro V. 
    La statue en premier plan semble veiller sur cette architecture 
    composite aux mariages originaux.











    Rien à craindre sous l'oeil avisé 
    du Christ Rei.

    Lisbonne, comme baignée par le Tage. 
    Au loin à gauche, le « Cristo Rei » semble offrir sa 
    bienveillance à la ville. Le pont du 25 avril, immense, 
    est long de plus de deux kilomètres.












    De vieilles rues, le spectacle est 
    partout même aux fenêtres.
    Ici rien n'a changer depuis 50 ans, c'est le pittoresque 
    de ce quartier qui représente bien ce que fut Lisbonne 
    autrefois.
    Ah, ce vieux quartier d’Alfama, et ses ruelles ! 
    Un lieu quasi magique 
    où il fait bon se promener dans une ambiance qui 
    reste toujours la même

    .








    De quoi ce rafraîchir dans la chaleur de Lisbonne.
    La fontaine Rossio a un air tout particulier en ce temps 
    automnal.
    Une belle lumière et cette fontaine rafraîchissante qui 
    resplendit devant une belle façade. 
    Un pigeon semble avoir voulu partager mon coup 
    de foudre.











    Le Parc des nations, une ouverture 
    sur le futur.
    Il était temps de faire quelque chose, le Parc des Nations 
    montre un tout autre visage de la ville. 
    C’est une Lisbonne ultra moderne qui surgit, avec des 
    buildings impressionnants. 
    C’est ici que s’est tenue l’exposition universelle de 1998.













    Côté Baroque plutôt sympa.
    En sortant de la ville, nous rejoignons Pena et Sintra.
    Un palais extraordinaire, baroque et coloré, attire les 
    foules à Sintra. 
    Il en faut de la patience pour y parvenir enfin. 
    Le roi Ferdinand II fit construire ce palace au milieu 
    du XIXe siècle.

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