• Le Symbolisme du pain et du sel<o:p></o:p>


    Perdue dans le désert ou la foule, à quoi sert une pensée libre, sinon à espérer ou à mourir !<o:p></o:p>




    Parmi les éléments d'un cabinet de réflexion, le profane reconnaît une coupelle de sel ainsi qu’ un crouton de pain. Ce soir là, le profane n’y goûtera pas. J’y consens, maintenant, symboliquement.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>


     <o:p></o:p>


    SEL<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Au commencement était le sel ! L’histoire du sel se confond avec celle des civilisations humaines. Cette substance vitale  a probablement joué un rôle majeur dans la longue émergence de l’espèce humaine. La vie n’a-t-elle pas pris naissance dans le milieu salé qu’est l’océan ?<u1:p></u1:p><o:p></o:p>



     <u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Le sel prend une place prépondérante après la révolution néolithique. L’homme se sédentarise, la démographie galope, les pratiques sociales s’intensifient.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

     <u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Autour du village apparaisssent l’agriculture et l’élevage. Au fil du temps une véritable culture du sel prend jour.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>


    Ce minéral est un véritable joyau :<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Source de travail par ses divers moyens d’extraction, de commerces et d’échanges par sa valeur marchande, de conflits par les convoitises inhérentes et il acquiert rapidement une valeur de monnaie marchande en Asie, en Afrique, dans l’empire romain.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>


     <u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    On parlait à l’époque romaine de voie salée comme on parlera plus tard de routes de la soie ou de routes de l’or. Il a permis l’essor démographique de l’Europe du XIIIème puis a assuré la survie de la population pendant le sombre XIVème. Mais son origine comme monnaie date au moins des phéniciens. <u1:p></u1:p><o:p></o:p>


     <u1:p></u1:p><o:p></o:p>


    Salaisons et hareng saur furent pain béni pour la survie du peuple !<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Etymologiquement, le nom de sel dériverait de salarium 

    qui signifie : solde. 


    Solde du légionnaire romain payé en partie en sel. 

    Mais, les grecs n'étaient pas en reste non plus.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>



    Tout travail mérite salaire. 

    Tout travail mérite son pesant de sel.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Çà vaut son pesant de sel<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

     <u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Chaque augmentation de salaire nous ramène à cette petite coupelle emplie de sel, à ce cabinet de réflexion, passage obligé, nous devons avoir toujours à l’esprit ce symbole.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>


     <u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Cet élément nourrit  légendes et coutumes. Les traditions sémitiques en général  et la tradition juive en particulier font du sel un symbole majeur.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

     <u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Il est le symbole de l’Alliance de Dieu  avec son peuple. 

    «  Tu n’omettras  jamais le sel de l’Alliance de ton Dieu 

    sur ton offrande »



     <u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Si tu  avais vécu à cette époque biblique.  peut-être aurais-tu eu la joie,  comme nourrisson, de sentir ton petit corps  frictionner de sel et d’huile en espoir de santé et protection. 


    Cette tradition toujours existante chez les Bédouins.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

     <u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Le sel est donc symbole d’alliance, de fidélité  mais il marque aussi le sens de l’accueil, de l’hospitalité. 




    En signe d’amitié, les bédouins s’offrent un petit morceau de pain saupoudré de sel .<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Nous nous attendrions peut-être à une verre d’eau fraîche ! Permettez –moi une réflexion.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

     <u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Faut-il voir dans ce geste un enseignement : Nous nous manquerions à ce que avons et non pas à ce qui nous fait défaut !<u1:p></u1:p><o:p></o:p>



     <u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    « Vous êtes le sel de la terre, Ayez ce sel en vous même » nous dit le Nouveau testament. Le sel fut présent dans la liturgie catholique romaine jusqu’en 1969 à travers les rites baptismaux.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>


     <u1:p></u1:p><o:p></o:p>


    Faut-il considérer que cette disparition soit un appauvrissement culturel ?<u1:p></u1:p><o:p></o:p>


    Quoi qu’il en soit, de même qu’on ne souffle plus sur l’enfant pour en chasser le diable, on ne met plus de sel sur la langue en lui disant : « reçois le sel de la sagesse, qu’il  te garde dans
    la Grâce de dieu pour la vie éternelle »
    <u1:p></u1:p>
    <o:p></o:p>

    Le sel s’est dissout dans le latin !<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Dans les traditions celtiques, on faisait placer sur le corps du défunt une assiette où brûlait une bougie enfoncée dans du sel, ceci en gage de résurrection.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>


     <u1:p></u1:p><o:p></o:p>


    Chez les alchimistes, le mot sel désigne le Pb quand c’est le sel de saturne, l’étain quand c’est le sel de Jupiter  enfin le mercure pour le sel fleuri.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>



    Ce n’est qu’au XVIIème siècle que la notion de sel se précisa en tant que minéral .<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

     <u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Heureuse coïncidence, Le sel c'est du chlorure de sodium cristallisé dans le système cubique. 

    Il représenterait la partie stable de l’ être, l’essence de la personnalité, la force vive,  

    la stabilité, l’unité !




    <o:p>C'est du chlorure de sodium ou sel marin. On l'extrait soit du sol, soit des marais salants. Il existe sous forme de roche. Le sel gemme est incolore lorsqu'il est pur. Il est très soluble dans l'eau et possède une saveur salée caractéristique. Les sel gemme que l'on trouve sous forme de roche, c'est déposé dans des lagunes aujourd'hui disparues. Les gissements doivent leur conservation à une enveloppe protectrice de marnes ou d'argiles imperméables.</o:p>


    <o:p>Ce minéral porte aussi en lui l’ambivalence. Ainsi il marque la mort chez les Romains. Renverser le sel était de mauvais augure, rappelant cette légende selon laquelle Carthage fut recouverte de sel pour être punie et stérilisée à jamais. </o:p>

     <u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Te souviens tu de ces anciennes compositions d’histoire où notre instituteur nous cuisinait sur la gabelle la, T.S.A. : taxe à la saveur ajoutée qui nous faisait déjà goûter du bout des lèvres le sel de l’injustice dont le peuple fut victime.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>



    Inspecteurs ramasseurs de la gabelle<u1:p></u1:p><o:p></o:p>


    Nous sommes tous tendus, voire hypertendus. Ce n’est pas la faute à Rousseau  ni à Voltaire mais au sel, facteur d’équilibre ou de déséquilibre physiologique. 

    Tout n’est qu’un savant dosage !<u1:p></u1:p><o:p></o:p>


    Mozart, ce génie de la musique est né à Salzbourg … ville du sel ! 


    Tout est dosage fait de notes,  de paroles et de bien d'autres choses encore….<u1:p></u1:p><o:p></o:p>



    Le sel sans le savoir n’en manque point…<u1:p></u1:p><o:p></o:p>


    Le Pain autre symbolique unie




    Revenons à notre croûton de pain qui se fait aussi avec du sel.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Le pain parcourt notre histoire à travers ses bons ou mauvais mots, ses slogans publicitaires ou politiques.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Du pain et des jeux hurle la plèbe cathodique !<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Ils n’ont plus de pain, qu’on leur donne de la brioche nous disait Marie Antoinette.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Le pain, la paix et la Liberté dira le Grand Architecte de l’univers…<u1:p></u1:p><o:p></o:p>



    Le pain, la paix et la liberté


    Du pain, du vin et du boursin nous dit la publicité.



    Bon comme le pain nous dit la morale chrétienne<u1:p></u1:p><o:p></o:p>




    Pain de  fesse dit le souteneur… 



    A ne pas confondre avec pain de messe !<u1:p></u1:p><o:p></o:p>



    Le pain est présent autant dans le monde profane que dans notre rituel et reste comme le sel, indissociable de la vie de l’humanité.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>




    Ainsi fut-il très tôt symbole de la pauvreté terrestre et de la peine associée au travail. 

    «  C’est à la sueur de ton front….. »<u1:p></u1:p><o:p></o:p>



    Le pain apparait dans l’Egypte très ancienne. Des peintures relevées sur des tombeaux égyptiens nous expliquent la technique complète de sa fabrication.

     


    Auparavant, les hommes mangeaient des pâtes  non levées. En fait, la période pendant laquelle l’homme eut recours au pain actuel est extrêmement courte.



    L’apparition du pain actuel fut sans doute le fruit du hasard et de l’observation. Inventer la culture, sélectionner les céréales, discerner les denrées panifiables, maîtriser le feu, inventer la mouture, fabriquer du levain en reproduisant des phénomènes naturels de fermentation observée  par hasard.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

      

    La culture judéo chrétienne est pétrie dans le pain :

    « En souvenir de ce jour , on ne mangera pas le pain levé et durant la Pâque pendant 7 jours on mangera des azymes  »<u1:p></u1:p><o:p></o:p>



    « Partage ton pain avec celui qui a faim  »<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    «  Prenez et mangez car ceci est mon corps »<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Christianisme : religion du pain. Jésus est né à Bethléem : maison du pain <u1:p></u1:p><o:p></o:p>

     « Je suis le pain de la vie »<u1:p></u1:p><o:p></o:p>


    Elément de connaissance dans sa fabrication, le pain  est pour l’initié symbole de Connaissances.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Le pain est le fruit du travail de l’Homme et de la chaleur du four. Tout comme l’initié est le fruit de l’introspection du profane dans le creuset, l’athanor du cabinet de réflexion ce lieu d’isolement.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>



    Ce pain objet de mutation passant du matériel au symbolique, 

    au spirituel par les quatre éléments :<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Terre : farine et four<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Eau : comme liant de dilution<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Air : fermentation du levain<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Feu : cuisson<o:p></o:p>



    Le pain du cabinet de réflexion contient tous les espoirs initiatiques assurant ainsi la transition entre la vie profane au sein de la terre, première étape de l’initiation,  symbolique de mort et la vie de l’initié. Comme  ce grain de blé qui meurt en terre pour renaître et se lever.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>



    « Que ce pain que nous rompons réconforte notre corps et éveille notre intelligence  »  rappelle certains rituels .°.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>


    Ceux de nous apporte ici un peu de son blé, de sa sueur, de son levain , de son sel pour créer sa pâte idéale dont un philosophe disait qu’elle devait être un merveilleux équilibre de forces qui refusent et de forces qui acceptent , une parfaite synthèse de résistance et de souplesse.



    imprimer le documentImprimer l'article sur  la Symbolique du pain et du sel

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire

  • Comment faire sauter les crêpes

    Fqire squtFaire satuer les crêpes

    Le plus rigolo quand on prépare les crêpes, c'est de faire les faire sauter dans la poêle ! Exercice un peu délicat, sauf si on a le bon matériel et les bonnes astuces.

    Le bon matériel pour faire des crêpes :

    La crépière        Spatule        Rateau

    La crêpière : c'est une poêle un peu particulière car les bords sont très bas. Elle est au diamètre de la crêpe parfaite et surtout elle est anti-adhésive, ce qui permet à la crêpe de bien glisser, élément essentiel pour la retourner.

    La spatule : sorte de grande cuillère en bois, on l'utilise pour décoller les bords de la crêpe avant de la retourner.

    Le petit râteau : c'est le matériel du vrai pro de la crêpe ! Il permet de bien répartir la pâte à crêpe sur toute la surface de la poêle.

    Les bonnes astuces pour une crêpe parfaite :

    Astuce n°1 : des crêpes parfaites, sont des crêpes qui ne collent pas à la cuisson. Pour cela on incorpore une cuillère à soupe de beurre fondu directement dans la pâte.
    Astuce n°2 : toujours graisser la poêle avant et après chaque crêpe. 
    Astuce n°3 : attendre que la poêle soit bien chaude pour y verser la pâte à crêpe.

    Saute, saute petite crêpe !

    Dès que les bords de la crêpe sont cuits, il faut les décoller à la spatule. Puis agiter la poêle légèrement jusqu'à ce que la crêpe se détache totalement de la poêle. 
    Prêt pour le salto ? Alors on place la crêpe sur le bord de la poêle, en la laissant dépasser un peu, et hop ! D'un petit coup sec du poignet, la crêpe fait le grand saut ! Mais n'oublie pas de la rattraper et de l'autre côté pour continuer la cuisson ! 

       
    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  • La chandeleur

                                               



    Le 2 février, c’est la Chandeleur, appelée aussi la Fête des Chandelles. Tous les ans, la tradition veut que l’on cuisine plein de délicieuses crêpes à déguster avec famille et copains. 
    Mais d’où vient cette bonne tradition ? Pour le découvrir, voici plein d’infos dans notre mini-dossier spécial. Et n’oublie pas de faire sauter tes crêpes !

    La Chandeleur, autrefois "Chandeleuse", se fête le 2 février, soit 40 jours après Noël. Son nom vient du mot "chandelle".

    A l’origine

    A l’époque des Romains, il s’agissait d’une fête en l’honneur du dieu Pan. Toute la nuit, les croyants parcouraient les rues de Rome en agitant des flambeaux. 

    En 472, le pape Gélase 1er décide de christianiser cette fête qui deviendra la célébration de la présentation de Jésus au temple. 

    On organise alors des processions aux chandelles le jour de la Chandeleur, selon une technique précise. 

    Chaque croyant doit récupérer un cierge à l’église et le ramener chez lui en faisant bien attention à le garder allumé. 

    Un dicton de Franche-Comté dit d’ailleurs :

    Celui qui la rapporte chez lui allumée
    Pour sûr ne mourra pas dans l’année

    Ce cierge béni est censé avoir d’autres pouvoirs. On dit que quelques gouttes de sa cire versée sur des œufs à couver en assurent une bonne éclosion. 

    Et aussi que sa flamme protège de la foudre si on l’allume pendant l’orage.

    Entre temps, une autre tradition a vu le jour 

    Celle des crêpes. Cette tradition se rapporte à un mythe lointain selon lequel si on ne faisait pas de crêpes le jour de la chandeleur, le blé serait carié pour l’année. 

    Crêpes

     

    On dit d’ailleurs :

    Si point ne veut de blé charbonneux
    Mange des crêpes à la Chandeleur

    D’ailleurs, en faisant les crêpes, il faut respecter une autre coutume, celle de la pièce d’or. En effet, les paysans faisaient sauter la première crêpe avec la main droite tout en tenant une pièce d’or dans la main gauche. Ensuite, la pièce d’or était enroulée dans la crêpe avant d’être portée en procession par toute la famille jusque dans la chambre où on la déposait en haut de l’armoire jusqu’à l’année suivante. On récupérait alors les débris de la crêpe de l’an passé pour donner la pièce d’or au premier pauvre venu. 
    Si tous ces rites étaient respectés, la famille était assurée d’avoir de l’argent toute l’année.

    CrêpesCelui qui retourne sa crêpe avec adresse, qui ne la laisse pas tomber à terre 
    ou qui ne la rattrape pas sous la forme navrante de quelque linge fripé, 
    celui-là aura du bonheur jusqu'à la Chandeleur prochaine

    Aujourd’hui, les processions aux chandelles et autres rites n’existent plus mais on a conservé la tradition des crêpes et les commerçants participent en offrant, dès la fin du mois de janvier, qui un pot de confiture pour l’achat d’une crêpière, qui une crêpière pour l’achat d’un paquet de farine ‘spécial crêpes’.

     

    Enfin, n’oublions pas les croyances liées à la météo. 

    En de nombreux pays, on croit que le jour de la Chandeleur, un ours sort de sa tanière. Si la température est douce et qu’il voit le soleil, il retourne vite reprendre son hibernage, car il sait que le beau temps ne durera pas. Un proverbe dans le Calendrier des bons laboureurs en 1628 disait :

    Si fait beau et luit Chandeleur
    Six semaines se cache l'ours

    Un autre proverbe français dit :

    Si le deuxième de février
    Le soleil apparaît entier
    L'ours étonné de sa lumière
    Se va mettre en sa tanière
    Et l'homme ménager prend soin
    De faire resserrer son foin
    Car l'hiver tout ainsi que l'ours
    Séjourne encore quarante jours


    Dans d'autres pays c'est la marmotte qui sort. Si elle voit son ombre, cela signifie qu'il y a du soleil, alors elle retourne vite continuer à hiberner car elle sait que l'hiver va encore durer.

    Marmotte

    En effet :

    Soleil de la Chandeleur
    Annonce hiver et malheur

    Mais quoi qu’il arrive : qu'en ce 2 février il fasse beau, froid, pluvieux ou neigeux, n'hésitez surtout pas à confectionner quelques crêpes. 
    En dépit des proverbes et dictons, vous passerez un agréable moment autant à les faire qu'à les déguster !!

    D’autres proverbes sur la Chandeleur

    Dossier Doctissimo et Pierre Marchesseau, merci à eux
    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  • La Recette de la pâte à crêpes Express

     

    Crêpes Express 

    Cette Recette de pâte à crêpes Express est : 
    pour 6/8 personnes. 

    Une recette de pâte à crêpes express rapide et très facile pour faire rapidement des crêpes. Cette recette de pâte à crêpes ne demande aucun temps d'attente ou de repos. Elle peut être utilisée immédiatement. Son secret est simple, il ne tient qu'à l'air.<o:p></o:p> 

    Préparation: 20 minutes 
    Cuissson: 3 minutes par crêpes 

    Les apports de l'activité de la recette de la pâte à crêpes express :<o:p></o:p>

    • Préparer les crêpes pour la chandeleur, le mardi-gras ou un repas crêpes.
    • Compter et mesurer

    Fournitures pour la Recette de la pâte à crêpes express :

    <o:p></o:p>

    • 250 grammes de farine,<o:p></o:p>
    • 3 œufs entiers très frais,<o:p></o:p>
    • 1/2 paquet de levure,<o:p></o:p>
    • 1 pincée de sel,<o:p></o:p>
    • 1/2 litre de lait,
    • 3 cuillères à soupe d'eau,
    • 1 saladier,
    • 1 petit bol
    • Un fouet électrique,
    • Une poêle anti-adhésive<o:p></o:p>

    Réalisation de la recette de la pâte à crêpes express<o:p></o:p>

    Le temps d'attente est remplacé par un peu de levure et beauc

    oup d'air

    . La pâte à crêpes est battue au fouet électrique pour l'aérer et la "gonfler" d'air.

    Selon son âge aidez votre enfant à :

    • Mettre la farine dans le saladier ou un grand bol et ajouter la levur e.<o:p></o:p>

    • Casser les œufs un par un dans un petit bol et les verser dans le saladier.

     

     

    • Ajouter une pincée de sel.<o:p></o:p>

    • Mélanger la pâte à crêpes avec un fouet.

    • Ajouter progressivement le lait pour délayer la pâte. Terminer au fouet éle ctrique. Le batteur électrique permet d'aérer lapâte à crêpes et de la gonfler d'air.<o:p></o:p>

    • Faire chauffer la poêle huilée ou beurrée selon les goûts.<o:p></o:p>
    • Verser la valeur d'une petite louche de pâte à crêpes et tourner la poêle pour répartir la pâte sur toute la surface de la poêle. Les bulles d'air donneront de la légèreté aux crêpes.<o:p></o:p>

     

    • Dès les que les bords commencent à dorer et à sécher, la retourner.<o:p></o:p>

    • Cuire l'autre côté puis empiler les crêpes dans un plat.<o:p></o:p>

    Cette recette de pâte à Crêpes Express vous est proposée par: 

    http://pmarchesseau.com.ar 

     

    imprimer le documentImprimer la recette de pâte à crêpes Express 

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire



  • Comment perdre du poids après les fêtes<o:p></o:p>



    Moment de réjouissances et d’allégresses, les fêtes peuvent entraîner une prise de poids et laisser de mauvais souvenirs.  Après quelques jours de fois gras de dinde farcie et autres bûches glacées, combien se plaignent d’avoir pris des kilos ! 



    Quelques rappels sur la perte de poids ne pourront faire de mal à personne.<o:p></o:p>

     Lors des fêtes, on oublie les restrictions alimentaires. 


    Chacun consomme ce qu’il veut sans tenir compte des conséquences sur l’organisme. 


    Pour retrouver votre silhouette, il va falloir adopter certaines habitudes alimentaires.<o:p></o:p>




    Celles-ci sont d’autant plus importantes qu’elles vous aideront à maigrir naturellement. Aussi, il va falloir être patient car vous n’allez pas vous affiner du jour au lendemain. Ce n’est que progressivement que vous parviendrez à chasser les kilos superflus.<o:p></o:p>

    Première attitude à adopter : boire beaucoup d’eau<o:p></o:p>



    L’eau peut vous aider à perdre du poids facilement : à la fois en vous hydratant et en régulant votre appétit. C’est pourquoi il est conseillé de boire régulièrement en cas de régime. Cela vous permettra d’éliminer les déchets qui se trouvent dans l’organisme et notamment les toxines.<o:p></o:p>

    Buvez de l’eau, mais aussi des jus de fruits, tisanes et soupes. Ils ravitaillent l’organisme en vitamines et en minéraux, surtout dans le cas des jus de fruits. Pensez également au thé vert qui à l’avantage de ne pas faire travailler votre système digestif entre les repas.<o:p></o:p>

    Deuxième attitude : bien mâcher les aliments et manger lentement<o:p></o:p>


    Il faut prendre le temps de bien mastiquer les aliments : vous faciliterez la digestion et profiterez pleinement de ce qu’ils peuvent vous apporter.<o:p></o:p>

    Pour les mêmes raisons, évitez de manger trop vite. Cela complique inutilement la digestion et vous pousse à avaler davantage que ce que réclame votre appétit. 

    Prenez plutôt le temps de manger et concentrez-vous sur ce que vous faites : Le fait de penser à ce que l’on va avaler active certaines parties du cerveau, qui seront plus réactives et pourront prévenir le corps qu’il n’a pas besoin d’absorber plus de nourriture.<o:p></o:p>


    C’est ce qui explique que l’on puisse, par exemple, grignoter devant un écran sans se rendre compte que l’on n’a pas réellement faim.<o:p></o:p>


    Troisième attitude : la pratique d’une activité sportive<o:p></o:p>



    Les habitudes à prendre ne sont pas seulement d’ordre alimentaire : l’activité physique a son rôle à jouer. En fonction de votre emploi du temps, il faudra choisir trois jours dans la semaine durant lesquels vous ferez des exercices physiques d’au moins 40 min.<o:p></o:p>

    Certains sports peuvent vous aider à perdre plus rapidement du poids. Des sports qui ne sont pas forcément difficiles à pratiquer : citons -entre autres- la natation, le cyclisme et la gymnastique.<o:p></o:p>

    À éviter<o:p></o:p>

    Certains comportements alimentaires doivent être bannis : ils ne favorisent pas la perte de poids et, à l’inverse, augmentent par la suite le risque de reprendre des kilos. 

    Lire l’article sur l’effet yoyo.<o:p></o:p>



    Tout d’abord, il faut oublier les régimes trop sévères, trop stricts et trop contraignants. Perdre beaucoup de poids en peu de temps peut paraître séduisant, mais ce n’est jamais une bonne idée. 

    D’abord parce que cela va avoir des effets sur votre santé et ensuite parce qu’il y a toutes les chances que vous repreniez du poids aussitôt que le régime sera fini.<o:p></o:p>


    Avant de commencer un régime, pensez donc à demander l’avis de votre médecin.


    Le jeûne n’est pas non plus la meilleure des solutions pendant cette période. Outre les carences, vous risquez de donner de mauvaises habitudes à votre organisme.<o:p></o:p>


    Certains aliments doivent être bannis de votre quotidien pendant un bon bout de temps : Il s’agit des aliments trop riches en graisses ou en sucres et des fritures. 

    Évitez l’alcool et essayez de réduire votre consommation de sel pour ne pas avoir trop faim au cours de la journée.<o:p></o:p>


    Votre ennemi n°1 est le grignotage, suivi de près par les desserts trop riches en sucres et en graisses.




     Et pour éviter de succomber au « picorage entre les repas », vous pouvez prendre une collation. 

    Mais prenez avant tout l’habitude d’absorber des repas suffisants pour « tenir » toute la journée.<o:p></o:p>

    Un peu de volonté et une bonne organisation devraient vous permettre de faire disparaître l’effet des fêtes. 


    La motivation est souvent la meilleure des choses...

    Un dernier conseil toutefois : notez tout ce que vous mangez, sans exception dans un carnet. 

    Cela suffit souvent à donner un regard critique sur soi-même et à résister à la tentation.<o:p></o:p>

    Connaissez-vous l'effet " YOYO" ?


    La plupart des “régimes miracles ” vous obligent à réaliser une importante restriction calorique, voire même de supprimer certains aliments essentiels de votre alimentation. 


    Ceci pour obliger votre corps à puiser dans ses réserves énergétiques, et particulièrement dans les ressources adipeuses “les graisses”. 


    Ces méthodes paraissent évidentes…



    Si notre corps subit un déficit calorique, après quelques jours, il s’adapte et limite ses dépenses, notamment en stoppant d’entretenir la masse musculaire. 


    Les muscles sont les tissus les plus actifs du corps humain, ils dépensent les calories que nous brulons chaque jour. 


    Ainsi, moins de muscles signifient plus de calories excédentaires disponibles. De plus, le corps modifie son schéma habituel de fonctionnement en renforçant sa capacité à stocker les graisses, afin de constituer des réserves stratégiques par peur d’en manquer.<o:p></o:p>

    Après une à deux semaines de progrès rapides, la perte de poids connaîtra un coup d’arrêt brutal et définitif. Finalement, ce qui devait se traduire par une fonte des graisses se transforme en un ralentissement du métabolisme provoquant : fatigue et énervement et pire encore par une accumulation des tissus graisseux.<o:p></o:p>


    Cet état de fatigue morale et physique risque, de plus, de vous pousser vers tous les aliments à votre portée. Le régime trop épuisant, vous jetez l’éponge et reprenez une alimentation plus riche, c’est déjà trop tard ! 


    Un métabolisme très bas vous dirigera vers la reprise de kilos supplémentaires. Non seulement vous regagnerez ceux que vous avez perdus, mais vous en amasserez quelques-uns de plus.

     Vous connnaissez désormais  le classique du « yoyo » ses limites mais surtout ses risques.....<o:p></o:p>


     Bon courage !

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire