• Les vins pour les fêtes...
    Chaque année, les vins les plus délicats sont de mise sur les bonnes tables du monde entier. Plutôt que de conseiller tel ou tel vin j'ai recherché sur le net des informations qui allaient vous permettre de mieux connaître les vins que vous allez boire cette année. Pour bien connaître il faut savoir et j'ai fait appel à un spécialiste de mes relations qui m'a envoyé tout une documentation précise sur le sujet. Bernard Burtschy est un grand journaliste du vin, chroniqueur à Gault et Millau pendant de longues années, il est maintenant pigiste au figaro et a écrit de nombreux livres et autres sur les terroirs de la France. C'est aussi le leader en France des foires au vin qu'il a lancé depuis plus de vingt ans avec certaines grandes enseignes commerciales. Ma question fut simple, quel approche doit on avoir cette année sur le vin et comment savoir si ce qu'on achète est bon. Lui voit le retour des vins liquoreux, toujours le champagne qui reste la grande star des fêtes. Voici donc quelques condensés de sa pensée pour mieux encore vous servir. Merci Bernard
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  • La cuisine en Argentine:
    Elle est aussi pauvre que beaucoup en Argentine. 
    L'argentin vit en autarcie et les seules choses qu’il sait, il les apprends des gens venus d’ailleurs. L’Argentin ne voyage pas ou peu, donc il n’apprends rien mais pense souvent posséder le savoir. L'argentin aime les stars, il est très people.<o:p></o:p>

    Sur la cuisine , chaque jour les argentins me disent qu’ils ont une des meilleures cuisine du monde. Beaucoup se prennent pour El bulli qui est leur dieu mais ils ne savent pas dans leur ensemble faire des œufs sur le plat ou monter une mayonnaise.
     
    Les écoles de cuisine pullulent dans les grandes villes, mais les cours sont fait par des profs qui ne savent rien ou presque, faute d’avoir appris.Leur cuisine tourne sur une centaine de plats maximum, 18000 en france en comparaison.<o:p></o:p>
    Il n’y a qu’à lire ce que dit Wikipédia sur cette cuisine, 4 malheureuses lignes. Heureusement quand même elle mérite un peu plus, mais il faut au moins vivre ici quelques années pour la découvrir.<o:p></o:p>
    Les Argentins sont bien sûr amateurs de viandes et apprécient aussi quelque fois gibiers et poissons .<o:p></o:p>
    La population est issue, pour une grande partie d'immigrants venus en particulier d'Europe. 
    Il faut donc s'attendre à retrouver dans la cuisine régionale un amalgame de produits venus d'ailleurs, mais souvent Italien de Sicile ou Calabrais, mais aussi allemands ou chinois.
    Crêpes calabraises
    La cuisine d'argentine est renommée pour ses asados, ce sont des viandes cuites à la braise sur un immense barbecue, grillades, viandes rouges , saucisses, boudins, abats, mais toujours généreusement servie.Une statistique  de la santé du gouvernement publiait la semaine dernière que les argentins mangent pas jour 800 grammes de viande chacun....la moyenne mondiale des pays dit civilisés est de 150 grammes....<o:p></o:p>
    Il s'agit généralement de viande de bœuf.<o:p></o:p>
    Chimichuri
    Le chimichuri est la sauce nationale que l'on trouve dans toutes les maisons. ce n'est pas mauvais et accompagne bien les viandes ou certains poissons.
    Les viandes ou les poissons sont aussi parfois accompagnées de purée de calabaza un curcubitacé orange ou de patates douces.<o:p></o:p>
    Raremant de légumes, peu de fruits, quelques salades vertes et tranches de tomates peu assisonnées.
    Le poisson tourne autour, de dorades, saumon, truites, merlus, raies rarement, lotte, pejerrey un local, et tout est congelé depuis 6 mois. Il existe aussi la linguado une espèce de limande sole.<o:p></o:p>
    linguado
    Les poissonneries sont peu achalandées. Seul le quartier chinois du barrio Norte de Buenos-Ayres offre une marchandise fraîche acceptable et souvent de qualité.
    En Terre de Feu, le plat traditionnel est la centolla  qui est une araignée de mer de plus d’un mètre cinquante de développé.Fraîche elle est délicieuse.<o:p></o:p>
    On trouve quelques moules, de type espagnol mer méditerranée, de très bonnes huîtres qui viennent de Bahia blanca, quelques noix de coquilles saint jacques congelés. 4500 kilomètres de côte aucun poissons frais même en bord de mer. Tout est congelé, même souvent les huîtres ou le saumon fumé.<o:p></o:p>
    Saumon en fin de vie
    Parmi les plats typiques on trouve le provoleta, morceau de fromage cuit au gril, l'empanada farci de bœuf de carne, de poulet  le pollo, de maïs le choclo ou de jambon et fromage jamón y queso.<o:p></o:p>
    Provoleta grillée
    Autres plats: <o:p></o:p>
        - Parilla ou Entrecôte grillée<o:p></o:p>
    - Carbonara en Zapallo<o:p></o:p>

    - Empanadas rissoles ou chaussons farcis
     <o:p></o:p>
    Pour les desserts :<o:p></o:p>

    Les Argentins sont aussi friands de dulce de léché une sorte de<o:p></o:p>

    confiture de lait, et rivalisent avec les Italiens pour les glaces et les<o:p></o:p>

    pizzas.<o:p></o:p>
    Dulcé de léché

    Les alfajores  sont des petits gâteaux au dulce de léché enrobés de<o:p></o:p>

    sucre glace ou de chocolat.<o:p></o:p>
    Alfajores
    La boisson nationale argentine est le maté ou yerba maté, une infusion que les argentins boivent à toute heure de la journée. 
    Le mot mate désigne également la calebasse qui sert de récipient à l'infusion.<o:p></o:p>
    On boit le maté à l’aide d’une grande paille en métal avec un filtre au bout appelée la bombilla.<o:p></o:p>
    On y boit aussi du licuado, une boisson à base de lait et de fruits, principalement à la banane, à la pêche.*<o:p></o:p>
    On nous rabâche des glaces d’argentine, 
    mais un récent reportage d’une chaîne américaine a fait un reportage sur leurs fabrications et ce fut plutôt déconcertant et personne cette fois ne pourra nier les images qui furent tournées dans des établissements réputées ici.

    Les poubelles sont une horreur, et le soir les cartoneros envahissent la ville en passant leur nuit à fouiller dans nos restes quotidiens. Les routes sont souvent de piètre qualité sauf  les grandes artères, les beaux monuments, les coins à touristes où tout est clean. La misère se voit surtout en balieues sous un amoncellement de sacs poubelles cachés parfois par de beaux massifs fleuris mais ils existent en périphérie des favellas locales ou la sécurité n'est pas ou mal assurée.<o:p></o:p>
    Certes l’argentine a de merveilleux paysages et même des merveilles et chaque jour qui passe, un environnement néfaste détruit souvent un peu plus les dons que la nature leur a laissés. 
    J’ai donc beaucoup de mal à faire un sujet sur un pays ou j’avais pensé qu’il était à l’avant garde du futur et de l’art de vivre, un peu comme si Buenos-Aires était le Changaï des pays latins.
    Plus de deux ans m’auront fait déchanter et je le regrette avec sincérité car ce pays mérite beaucoup mieux que ce que les hommes ou les femmes en ont faits.
    Pour en revenir à la cuisine d'Argentine, ce pays n’a pas la culture du temps comme la chine, l'Afrique du nord, le Pérou donc n’a pas d’histoire antique. Seuls les pays qui ont cette descendance et ses traditions ont une cuisine de base, ses us et ses coutûmes. Seulement dans le nord ouest, dans la province de Salta près des pays comme la Bolivie, le Pérou, on retrouve trace de vieilles civilisation et d’une culture gastronomique qui existe chez chacun de ses voisins. 
    C’est un grand bassin limité par des frontières administratives qui n’existaient pas dans le passé, ceci expliquant cela.
    Salta la montagne aux 7 couleurs
    A l’ouest tout au long de la cordilière des Andes s’étend sur des centaines de kilomètres des vignes, même en altitude. Le vin Argentin se veut réputé. Il est une de leur fierté. C’est légitime, quoique personnellement je suis plus pour des vins d'allégeance, plus léger et sans bois. Je préfère les vins floraux.Mais leurs évolutions organoleptiques des dernières années laissent rêveur. Dans vingt ans ils auront des vins de garde ce qui changera le paysage mondial du vin, comme ont su le faire les sud africains et à condition de respecter les normes internationales.
    Les terres à vigne sont à bas prix. Elles ont fait le bonheur des riches viticulteurs du monde entier. Les locaux ont collé avec réussite à cet engouement. Mais comme c’est loin d’être aujourd’hui des vins de garde…Il faut donc vendre vite et bien…<o:p></o:p>
    La gastronomie n’a pas encore suivit l’évolution du vin, même si Mendoza reste encore la ville ou on mange le mieux en Argentine.<o:p></o:p>
    En comparaison des tables françaises étoilées les grandes tables d’Argentine se situent au niveau d’un 3 fourchettes Michelin, je n’ai pas dit 3 macarons, Non simplement 3 fourchettes... Ils rivalisent avec le décor qui est souvent très beau mais la cuisine est pauvre…
    Pauvre à mourir de chagrin...


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  • La cuisine en Argentine:
    Elle est aussi pauvre que beaucoup en Argentine. 
    L'argentin vit en autarcie et les seules choses qu’il sait, il les apprends des gens venus d’ailleurs. L’Argentin ne voyage pas ou peu, donc il n’apprends rien mais pense souvent posséder le savoir. L'argentin aime les stars, il est très people.<o:p></o:p>

    Sur la cuisine , chaque jour les argentins me disent qu’ils ont une des meilleures cuisine du monde. Beaucoup se prennent pour El bulli qui est leur dieu mais ils ne savent pas dans leur ensemble faire des œufs sur le plat ou monter une mayonnaise.
     
    Les écoles de cuisine pullulent dans les grandes villes, mais les cours sont fait par des profs qui ne savent rien ou presque, faute d’avoir appris.Leur cuisine tourne sur une centaine de plats maximum, 18000 en france en comparaison.<o:p></o:p>
    Il n’y a qu’à lire ce que dit Wikipédia sur cette cuisine, 4 malheureuses lignes. Heureusement quand même elle mérite un peu plus, mais il faut au moins vivre ici quelques années pour la découvrir.<o:p></o:p>
    Les Argentins sont bien sûr amateurs de viandes et apprécient aussi quelque fois gibiers et poissons .<o:p></o:p>
    La population est issue, pour une grande partie d'immigrants venus en particulier d'Europe. 
    Il faut donc s'attendre à retrouver dans la cuisine régionale un amalgame de produits venus d'ailleurs, mais souvent Italien de Sicile ou Calabrais, mais aussi allemands ou chinois.
    Crêpes calabraises
    La cuisine d'argentine est renommée pour ses asados, ce sont des viandes cuites à la braise sur un immense barbecue, grillades, viandes rouges , saucisses, boudins, abats, mais toujours généreusement servie.Une statistique  de la santé du gouvernement publiait la semaine dernière que les argentins mangent pas jour 800 grammes de viande chacun....la moyenne mondiale des pays dit civilisés est de 150 grammes....<o:p></o:p>
    Il s'agit généralement de viande de bœuf.<o:p></o:p>
    Chimichuri
    Le chimichuri est la sauce nationale que l'on trouve dans toutes les maisons. ce n'est pas mauvais et accompagne bien les viandes ou certains poissons.
    Les viandes ou les poissons sont aussi parfois accompagnées de purée de calabaza un curcubitacé orange ou de patates douces.<o:p></o:p>
    Raremant de légumes, peu de fruits, quelques salades vertes et tranches de tomates peu assisonnées.
    Le poisson tourne autour, de dorades, saumon, truites, merlus, raies rarement, lotte, pejerrey un local, et tout est congelé depuis 6 mois. Il existe aussi la linguado une espèce de limande sole.<o:p></o:p>
    linguado
    Les poissonneries sont peu achalandées. Seul le quartier chinois du barrio Norte de Buenos-Ayres offre une marchandise fraîche acceptable et souvent de qualité.
    En Terre de Feu, le plat traditionnel est la centolla  qui est une araignée de mer de plus d’un mètre cinquante de développé.Fraîche elle est délicieuse.<o:p></o:p>
    On trouve quelques moules, de type espagnol mer méditerranée, de très bonnes huîtres qui viennent de Bahia blanca, quelques noix de coquilles saint jacques congelés. 4500 kilomètres de côte aucun poissons frais même en bord de mer. Tout est congelé, même souvent les huîtres ou le saumon fumé.<o:p></o:p>
    Saumon en fin de vie
    Parmi les plats typiques on trouve le provoleta, morceau de fromage cuit au gril, l'empanada farci de bœuf de carne, de poulet  le pollo, de maïs le choclo ou de jambon et fromage jamón y queso.<o:p></o:p>
    Provoleta grillée
    Autres plats: <o:p></o:p>
        - Parilla ou Entrecôte grillée<o:p></o:p>
    - Carbonara en Zapallo<o:p></o:p>

    - Empanadas rissoles ou chaussons farcis
     <o:p></o:p>
    Pour les desserts :<o:p></o:p>

    Les Argentins sont aussi friands de dulce de léché une sorte de<o:p></o:p>

    confiture de lait, et rivalisent avec les Italiens pour les glaces et les<o:p></o:p>

    pizzas.<o:p></o:p>
    Dulcé de léché

    Les alfajores  sont des petits gâteaux au dulce de léché enrobés de<o:p></o:p>

    sucre glace ou de chocolat.<o:p></o:p>
    Alfajores
    La boisson nationale argentine est le maté ou yerba maté, une infusion que les argentins boivent à toute heure de la journée. 
    Le mot mate désigne également la calebasse qui sert de récipient à l'infusion.<o:p></o:p>
    On boit le maté à l’aide d’une grande paille en métal avec un filtre au bout appelée la bombilla.<o:p></o:p>
    On y boit aussi du licuado, une boisson à base de lait et de fruits, principalement à la banane, à la pêche.*<o:p></o:p>
    On nous rabâche des glaces d’argentine, 
    mais un récent reportage d’une chaîne américaine a fait un reportage sur leurs fabrications et ce fut plutôt déconcertant et personne cette fois ne pourra nier les images qui furent tournées dans des établissements réputées ici.

    Les poubelles sont une horreur, et le soir les cartoneros envahissent la ville en passant leur nuit à fouiller dans nos restes quotidiens. Les routes sont souvent de piètre qualité sauf  les grandes artères, les beaux monuments, les coins à touristes où tout est clean. La misère se voit surtout en balieues sous un amoncellement de sacs poubelles cachés parfois par de beaux massifs fleuris mais ils existent en périphérie des favellas locales ou la sécurité n'est pas ou mal assurée.<o:p></o:p>
    Certes l’argentine a de merveilleux paysages et même des merveilles et chaque jour qui passe, un environnement néfaste détruit souvent un peu plus les dons que la nature leur a laissés. 
    J’ai donc beaucoup de mal à faire un sujet sur un pays ou j’avais pensé qu’il était à l’avant garde du futur et de l’art de vivre, un peu comme si Buenos-Aires était le Changaï des pays latins.
    Plus de deux ans m’auront fait déchanter et je le regrette avec sincérité car ce pays mérite beaucoup mieux que ce que les hommes ou les femmes en ont faits.
    Pour en revenir à la cuisine d'Argentine, ce pays n’a pas la culture du temps comme la chine, l'Afrique du nord, le Pérou donc n’a pas d’histoire antique. Seuls les pays qui ont cette descendance et ses traditions ont une cuisine de base, ses us et ses coutûmes. Seulement dans le nord ouest, dans la province de Salta près des pays comme la Bolivie, le Pérou, on retrouve trace de vieilles civilisation et d’une culture gastronomique qui existe chez chacun de ses voisins. 
    C’est un grand bassin limité par des frontières administratives qui n’existaient pas dans le passé, ceci expliquant cela.
    Salta la montagne aux 7 couleurs
    A l’ouest tout au long de la cordilière des Andes s’étend sur des centaines de kilomètres des vignes, même en altitude. Le vin Argentin se veut réputé. Il est une de leur fierté. C’est légitime, quoique personnellement je suis plus pour des vins d'allégeance, plus léger et sans bois. Je préfère les vins floraux.Mais leurs évolutions organoleptiques des dernières années laissent rêveur. Dans vingt ans ils auront des vins de garde ce qui changera le paysage mondial du vin, comme ont su le faire les sud africains et à condition de respecter les normes internationales.
    Les terres à vigne sont à bas prix. Elles ont fait le bonheur des riches viticulteurs du monde entier. Les locaux ont collé avec réussite à cet engouement. Mais comme c’est loin d’être aujourd’hui des vins de garde…Il faut donc vendre vite et bien…<o:p></o:p>
    La gastronomie n’a pas encore suivit l’évolution du vin, même si Mendoza reste encore la ville ou on mange le mieux en Argentine.<o:p></o:p>
    En comparaison des tables françaises étoilées les grandes tables d’Argentine se situent au niveau d’un 3 fourchettes Michelin, je n’ai pas dit 3 macarons, Non simplement 3 fourchettes... Ils rivalisent avec le décor qui est souvent très beau mais la cuisine est pauvre…
    Pauvre à mourir de chagrin...


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  • Et oui vous ne rêvez pas, c'est comme ça là-bas, mais ne vous méprenez pas le chien lui n'est pas à vendre.

    Cuisine bolivienne<o:p></o:p>

     Plats Pricipaux

     
    Elle comporte de nombreux plats à base de céréales, patates et piments.
    Plats<o:p></o:p>
    §                     Ají de papalisa : plat de Cochabamba à base de pommes de terre, de viande, d'oignons. Cochabamba est la quatrième ville de bolivie avec 800 000 ha. Ses habitants sont surnomés los cochabambinos.<o:p></o:p>
    §                     Marraquetas, sarnitas, bollos, cuñapés<o:p></o:p>
    §                     Ají de lengua : langue de bœuf et piments.<o:p></o:p>
    §                     Anticuchos : brochettes de cœur de bœuf et piments.L<o:p>e chich-kebab andin n’est pas tout à fait comme celui du Maghreb. Les morceaux de viande grillés ne sont en fait que les morceaux du cœur de bovin.</o:p>
    §                     Chairo : soupe de La Paz.<o:p></o:p>
    §                     Chicharrones : <o:p> morceaux de porc ou de poulet, cuits dans un bain d’huile, et que l’on accompagne de “mote”, gros grains de maïs blanc.</o:p>

     
    Le chuño, la moraya ou la tunta désignent des spécialités des Andes centrales à base de pommes de terre déshydratées jusqu'à la lyophilisation par un cycle d'expositions au soleil et au gel et de foulages. À chaque cycle les tubercules perdent de l'eau. C'est la manière traditionnelle de conserver et stocker les pommes de terre pendant de longues périodes, parfois des années.
    Ces produits tiennent une grande place dans l'alimentation indigène, et plus généralement de la gastronomie des régions de production. Actuellement, le chuño est produit et consommé régulièrement au nord-ouest de l'Argentine, dans l'altiplano bolivien, au nord du Chili, et dans les régions andines et côtières du Pérou.
    En Argentine et au Chili, on appelle également chuño l'amidon qui s'obtient en moulant les pommes de terre, par décantation des grains d'amidon qui flottent dans le jus. En Argentine cet amidon est utilisé pour réaliser des desserts semblables à du flan.
    Ces préparations sont également utilisées pour donner de la consistance à la soupe et ajouter des notes de saveur. On peut aussi les manger avec du fromage.
    §                      <o:p></o:p>
    Empanada Saltena sur étoffe traditionnelle bolivienne faite main.
    §                     Empanada salteña : Patisserie salée fourré à la viande  de boeuf ou poulet, patates, olives, œufs et aux oignons.<o:p></o:p>
    §                     Fricassé : avec du porc et du maïs.<o:p></o:p>
    §                     Lechon al horno : cochon de lait rôti<o:p></o:p>
    §                     Montado de lomo : œufs frits sur bifteck<o:p></o:p>
    §                     Pacumutu : brochettes de viande.Le <o:p>Pacumutu  est une spécialité de Santa Cruz. Le pacumutu est une longue brochette de viande tendre qui vous fera oublier celles des restaurants grecs.</o:p>
    §                     Parillada : morceaux de viande et abats grillés sur de petits barbecues de table.<o:p></o:p>
    §                     Picante de pollo ou <o:p>Picante mixto: C' est une  spécialité de Sucre. Un peu de poulet, un peu de viande de porc, un peu de “charkekan”. Les vieilles recettes des grand-mères de Sucre vous feront vider une bouteille d’eau en quelques secondes. Mais il est des plaisirs masochistes que l’on ne peut éviter.</o:p>
    Surubi poisson en liberté de plus de deux mètres de long.
    Poisson très carnivore à la chair blanche fine et délicieuse.
    §                     Piqué macho de viande de Surubí à Cochabamba : avec piments.
    Le <o:p>Pique Macho : c’est très simple. Des morceaux de carré de rumsteck ou de poisson grillés, des frites, des tomates et des piments rouges. </o:p>
    <o:p>Un des plats de Cochabamba, la capitale gastronomique de la Bolivie !</o:p>
    §          Sajta de pollo : poulet et piments.<o:p></o:p>
    <o:p>Sajta de pollo est une première étape dans la découverte des plats épicés boliviens. Ce “picante de pollo” est un mélange de goûts neutre avec une base de pommes de terre, de fraîcheur (la zarza : oignons râpés et tomates), avec un peu de fromage, le tout baigné d’une sauce d'“aji amarillo” qui donne la cohésion et le piquant.</o:p>
    Plato paceño : d’une simplicité monacale. Un steak, du maïs cuit à la vapeur et du fromage “collana” fondant
    Silpancho : pour quelques bolivianos, goûtez cette version quechua de la milanaise. Où ? Au Palacio del Silpancho, à Cochabamba.
    Tamales : à Santa Cruz et ailleurs (on parle alors de “humintas”), les végétariens seront comblés par ce chausson de maïs ou de manioc sucré-salé, accompagné d’une bonne tasse de café camba à Santa Cruz évidemment !.
    Chorizos chuquisaqueños : Spécialité régionale, à déguster au restaurant de l’aéroport de Sucre, ou dans le traditionnel “Las Bajos” de la Ville Blanche des Amériques.
    Saice : une spécialité de Tarija. Un plat piquant mais pas trop.

    Trucha : la truite du lac Titicaca est un mets de gourmet. Goûtez-la dans les grands hôtels de La Paz, au restaurant Khunu du quartier d’Obrajes à La Paz ou, encore mieux, dans la région du lac. 
    Le pejerrey est délicieux aussi. 
    Mais le surubi de l’Amazonie est sans doute le plus succulent des poissons de la planète excepté le fugu, naturellement !.
    Masaco ou Masaccio: revenons dans l’Oriente. Encore un gâteau à base de fromage menonita, de manioc et de maïs, à consommer chaud de préférence.
    Colitas de cordero : à découvrir dans quelques restaurants de la ville d’Oruro et de La Paz.
    Rostro asado : 
    La tête d’agneau que tout amateur de cuisine bolivienne se doit de connaître.
    Il existe bien d’autres plats régionaux, tels  le charkekan, la sucacolla, ainsi que les diverses
    spécialités que l’on prépare pour Noël (la picana), la fête des morts ou autres événements. 
    Enfin, sachez que la viande bolivienne (celle de Santa Cruz) peut être aussi bonne que
    l’argentine, et ne craignez pas d’abuser des churrasquerias et des parrilladas 
    sauf si vous avez un taux de cholestérol anormalement élevé….
    Les sauces
    La llaj’wa est une sauce rouge à base de tomates, de piments rouges et aromatisée avec une herbe spéciale, la kirkiña ou la wäkataya. C’est délicieux, même si on la mange avec un bout de marraqueta. 
    C’est la salsa nationale de la Bolivie.
    Les Desserts
    A La Paz, les chocolats Breick, les glaces à la cannelle de la Plaza San Pedro face à l’église, les dimanches ou les glaces de chez Frigo, près du stade de Miraflores. 
    Glace à la Cannelle
    A Cochabamba, les pâtes d’amande Tila, les viennoiseries du café Zurich, avenue San Martin. 
    A Sucre, les chocolats artisanaux de chez Taboada ou Para Ti, les délicieuses glaces viennoises du parc Bolívar. 
    Viennoiseries
    A Tarija, las sopaipillas, les galettes de Tarija, las pepitas de leche, sans oublier la aloja, boisson de céréales sucrées absolument délicieuse, que l’on trouve près du cimetière et dans les petits magasins de quartier. 
    Galette de Tarija
    Pépitas de léché
    A Santa Cruz, les fruits tropicaux, le jus de fruits de chez Cabrera, les figues déshydratées que l’on vend dans la rue. 
    Les fruits et les jus de fruits dans absolument tous les marchés de Bolivie.
    Les Boissons
    Las cervezas ou les bières
    Chaque ville ici à sa propre bière et sa propre fabrication personnalisée. 
    Pacena à la Paz, 
    Ducal à Santa-Cruz, 
    Taquina à Cochabamba,
     
    Potosina à Potosi, 
    Huari à Oruro.
     
    Il y a aussi la bière Astra à Tarija, 
    et les bières Surena à Sucre.
    Il faut avoir que les meilleures bières d'Amérique latine sont en Bolivie.
    Autres boissons ou bebidas
    Goûtez les cocktails préparés avec le singani, grapa bolivienne comme le Chuflay et le Yungueño. 
    Chuflay
    Les vins Concepcion commencent à talonner en qualité 
    les vins chiliens et argentins. 
    Nous avons été agréablement surpris.

    Tisane de coca. 
    Après quelques abus festifs ou alcooliques ou pour atténuer 
    le mal d’altitude, buvez cette tisane à base de la fameuse feuille. 
    Abusez des jus de fruits dans tous les marchés de 
    Bolivie ou au kiosque Cabrera, à Santa Cruz de la Sierra. 
    Pour le petit déjeuner ou le goûter, buvez l’api, 
    boisson sucrée très chaude que l’on accompagne 
    d’un “pastel” (empanada).

    A Cochabamba, essayez la chicha, la fameuse boisson 
    alcoolisée à base de maïs, dont le secret de fabrication 
    est aussi pittoresque que son effet sur les fonctions motrices.
    Comme je vous l'écrivais plus haut, La Bolivie est le pays 
    d’Amérique latine où l’on trouve les meilleures mousses. 
    Le tiercé gagnant est Huari, Potosína et Pacena. 
    Attention toutefois, il est parfois très difficile de rester 
    actif après une douzaine de bières comme c’est la norme ici,
     surtout en altitude !

    Eau. 
    Ne buvez pas celle de robinet, préférez les eaux minérales
     “La Cabaña”, “Vital” ou “Cristal”, ou la très bonne 
    “Viscachani” gazeuse (la non gazeuse n’est pas terrible). 
    Toujours parmi les boissons gazeuses, 
    essayez la papaya “Salvietti”. 
    je ne ferai pas de pub aux autres, et surtout 
    pas à celle qui contient effectivement les controversées 
    feuilles de coca, et ne veut pas l’admettre 
    en dépit de son nom.
    Café Boliviano
    Ici, pour terminer en beauté notre menu, 
    c'est le café des Yungas, probablement 
    le meilleur café du monde, comme le dit, 
    de façon exagérée, la publicité du “gringo”. 
    Mais il est vrai que le café des Yungas, 
    l'arabica produit de façon artisanale par l’ethnie noire
    de Bolivie, les “negritos sambos” des collines 
    des Yungas est vraiment délicieux. 
    Sinon, il y a toujours la tisane de coca, 
    pour mieux digérer un repas gargantuesque, 
    et dont les feuilles viennent aussi des Yungas.

    Grains de café arabica verts donc pas mûrs mais en dessous 
    bien rouge et donc qui vont être cueillis.
    Ce tour d’horizon, non exhaustif, de la gastronomie 
    bolivienne est dominé par la présence des céréales, 
    des pommes de terre et de la viande. 
    Cependant, en milieu urbain, on consomme volontiers 
    de la salade en entrée. On trouve du lait frais 
    dans les marchés et supermarchés, ainsi que du yaourt. 
    Une fois de plus, les mauvaises langues vont dire qu’en 
    Bolivie, on ne mange pas pour vivre mais on vit pour manger !
    En ce qui concerne la cuisine internationale, les villes de La Paz, 
    Cochabamba et Santa Cruz ont tout pour satisfaire 
    les palais les plus exigeants. 
    Et, à quelques exceptions près, les prix des restaurants chic 
    ne sont pas du tout prohibitifs. 
    Dans chacune des villes d'Amérique latine , nous tentons 
    de consacrer quelques lignes à ce type de restaurants.
    En formation, ils sont passés directement à l'âge de pierre 
    à la cuisine fusion type international, pourquoi pas!!!

    Si, à votre retour, vous désirez tenter des expériences 
    culinaires, nous vous conseillons d’acheter le livre 
    La Cocina en Bolivia, à la couverture en aguayo rouge et bleu. 
    C’est la Bible de la cuisine bolivienne.
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  • Et oui vous ne rêvez pas, c'est comme ça là-bas, mais ne vous méprenez pas le chien lui n'est pas à vendre.

    Cuisine bolivienne<o:p></o:p>

     Plats Pricipaux

     
    Elle comporte de nombreux plats à base de céréales, patates et piments.
    Plats<o:p></o:p>
    §                     Ají de papalisa : plat de Cochabamba à base de pommes de terre, de viande, d'oignons. Cochabamba est la quatrième ville de bolivie avec 800 000 ha. Ses habitants sont surnomés los cochabambinos.<o:p></o:p>
    §                     Marraquetas, sarnitas, bollos, cuñapés<o:p></o:p>
    §                     Ají de lengua : langue de bœuf et piments.<o:p></o:p>
    §                     Anticuchos : brochettes de cœur de bœuf et piments.L<o:p>e chich-kebab andin n’est pas tout à fait comme celui du Maghreb. Les morceaux de viande grillés ne sont en fait que les morceaux du cœur de bovin.</o:p>
    §                     Chairo : soupe de La Paz.<o:p></o:p>
    §                     Chicharrones : <o:p> morceaux de porc ou de poulet, cuits dans un bain d’huile, et que l’on accompagne de “mote”, gros grains de maïs blanc.</o:p>

     
    Le chuño, la moraya ou la tunta désignent des spécialités des Andes centrales à base de pommes de terre déshydratées jusqu'à la lyophilisation par un cycle d'expositions au soleil et au gel et de foulages. À chaque cycle les tubercules perdent de l'eau. C'est la manière traditionnelle de conserver et stocker les pommes de terre pendant de longues périodes, parfois des années.
    Ces produits tiennent une grande place dans l'alimentation indigène, et plus généralement de la gastronomie des régions de production. Actuellement, le chuño est produit et consommé régulièrement au nord-ouest de l'Argentine, dans l'altiplano bolivien, au nord du Chili, et dans les régions andines et côtières du Pérou.
    En Argentine et au Chili, on appelle également chuño l'amidon qui s'obtient en moulant les pommes de terre, par décantation des grains d'amidon qui flottent dans le jus. En Argentine cet amidon est utilisé pour réaliser des desserts semblables à du flan.
    Ces préparations sont également utilisées pour donner de la consistance à la soupe et ajouter des notes de saveur. On peut aussi les manger avec du fromage.
    §                      <o:p></o:p>
    Empanada Saltena sur étoffe traditionnelle bolivienne faite main.
    §                     Empanada salteña : Patisserie salée fourré à la viande  de boeuf ou poulet, patates, olives, œufs et aux oignons.<o:p></o:p>
    §                     Fricassé : avec du porc et du maïs.<o:p></o:p>
    §                     Lechon al horno : cochon de lait rôti<o:p></o:p>
    §                     Montado de lomo : œufs frits sur bifteck<o:p></o:p>
    §                     Pacumutu : brochettes de viande.Le <o:p>Pacumutu  est une spécialité de Santa Cruz. Le pacumutu est une longue brochette de viande tendre qui vous fera oublier celles des restaurants grecs.</o:p>
    §                     Parillada : morceaux de viande et abats grillés sur de petits barbecues de table.<o:p></o:p>
    §                     Picante de pollo ou <o:p>Picante mixto: C' est une  spécialité de Sucre. Un peu de poulet, un peu de viande de porc, un peu de “charkekan”. Les vieilles recettes des grand-mères de Sucre vous feront vider une bouteille d’eau en quelques secondes. Mais il est des plaisirs masochistes que l’on ne peut éviter.</o:p>
    Surubi poisson en liberté de plus de deux mètres de long.
    Poisson très carnivore à la chair blanche fine et délicieuse.
    §                     Piqué macho de viande de Surubí à Cochabamba : avec piments.
    Le <o:p>Pique Macho : c’est très simple. Des morceaux de carré de rumsteck ou de poisson grillés, des frites, des tomates et des piments rouges. </o:p>
    <o:p>Un des plats de Cochabamba, la capitale gastronomique de la Bolivie !</o:p>
    §          Sajta de pollo : poulet et piments.<o:p></o:p>
    <o:p>Sajta de pollo est une première étape dans la découverte des plats épicés boliviens. Ce “picante de pollo” est un mélange de goûts neutre avec une base de pommes de terre, de fraîcheur (la zarza : oignons râpés et tomates), avec un peu de fromage, le tout baigné d’une sauce d'“aji amarillo” qui donne la cohésion et le piquant.</o:p>
    Plato paceño : d’une simplicité monacale. Un steak, du maïs cuit à la vapeur et du fromage “collana” fondant
    Silpancho : pour quelques bolivianos, goûtez cette version quechua de la milanaise. Où ? Au Palacio del Silpancho, à Cochabamba.
    Tamales : à Santa Cruz et ailleurs (on parle alors de “humintas”), les végétariens seront comblés par ce chausson de maïs ou de manioc sucré-salé, accompagné d’une bonne tasse de café camba à Santa Cruz évidemment !.
    Chorizos chuquisaqueños : Spécialité régionale, à déguster au restaurant de l’aéroport de Sucre, ou dans le traditionnel “Las Bajos” de la Ville Blanche des Amériques.
    Saice : une spécialité de Tarija. Un plat piquant mais pas trop.

    Trucha : la truite du lac Titicaca est un mets de gourmet. Goûtez-la dans les grands hôtels de La Paz, au restaurant Khunu du quartier d’Obrajes à La Paz ou, encore mieux, dans la région du lac. 
    Le pejerrey est délicieux aussi. 
    Mais le surubi de l’Amazonie est sans doute le plus succulent des poissons de la planète excepté le fugu, naturellement !.
    Masaco ou Masaccio: revenons dans l’Oriente. Encore un gâteau à base de fromage menonita, de manioc et de maïs, à consommer chaud de préférence.
    Colitas de cordero : à découvrir dans quelques restaurants de la ville d’Oruro et de La Paz.
    Rostro asado : 
    La tête d’agneau que tout amateur de cuisine bolivienne se doit de connaître.
    Il existe bien d’autres plats régionaux, tels  le charkekan, la sucacolla, ainsi que les diverses
    spécialités que l’on prépare pour Noël (la picana), la fête des morts ou autres événements. 
    Enfin, sachez que la viande bolivienne (celle de Santa Cruz) peut être aussi bonne que
    l’argentine, et ne craignez pas d’abuser des churrasquerias et des parrilladas 
    sauf si vous avez un taux de cholestérol anormalement élevé….
    Les sauces
    La llaj’wa est une sauce rouge à base de tomates, de piments rouges et aromatisée avec une herbe spéciale, la kirkiña ou la wäkataya. C’est délicieux, même si on la mange avec un bout de marraqueta. 
    C’est la salsa nationale de la Bolivie.
    Les Desserts
    A La Paz, les chocolats Breick, les glaces à la cannelle de la Plaza San Pedro face à l’église, les dimanches ou les glaces de chez Frigo, près du stade de Miraflores. 
    Glace à la Cannelle
    A Cochabamba, les pâtes d’amande Tila, les viennoiseries du café Zurich, avenue San Martin. 
    A Sucre, les chocolats artisanaux de chez Taboada ou Para Ti, les délicieuses glaces viennoises du parc Bolívar. 
    Viennoiseries
    A Tarija, las sopaipillas, les galettes de Tarija, las pepitas de leche, sans oublier la aloja, boisson de céréales sucrées absolument délicieuse, que l’on trouve près du cimetière et dans les petits magasins de quartier. 
    Galette de Tarija
    Pépitas de léché
    A Santa Cruz, les fruits tropicaux, le jus de fruits de chez Cabrera, les figues déshydratées que l’on vend dans la rue. 
    Les fruits et les jus de fruits dans absolument tous les marchés de Bolivie.
    Les Boissons
    Las cervezas ou les bières
    Chaque ville ici à sa propre bière et sa propre fabrication personnalisée. 
    Pacena à la Paz, 
    Ducal à Santa-Cruz, 
    Taquina à Cochabamba,
     
    Potosina à Potosi, 
    Huari à Oruro.
     
    Il y a aussi la bière Astra à Tarija, 
    et les bières Surena à Sucre.
    Il faut avoir que les meilleures bières d'Amérique latine sont en Bolivie.
    Autres boissons ou bebidas
    Goûtez les cocktails préparés avec le singani, grapa bolivienne comme le Chuflay et le Yungueño. 
    Chuflay
    Les vins Concepcion commencent à talonner en qualité 
    les vins chiliens et argentins. 
    Nous avons été agréablement surpris.

    Tisane de coca. 
    Après quelques abus festifs ou alcooliques ou pour atténuer 
    le mal d’altitude, buvez cette tisane à base de la fameuse feuille. 
    Abusez des jus de fruits dans tous les marchés de 
    Bolivie ou au kiosque Cabrera, à Santa Cruz de la Sierra. 
    Pour le petit déjeuner ou le goûter, buvez l’api, 
    boisson sucrée très chaude que l’on accompagne 
    d’un “pastel” (empanada).

    A Cochabamba, essayez la chicha, la fameuse boisson 
    alcoolisée à base de maïs, dont le secret de fabrication 
    est aussi pittoresque que son effet sur les fonctions motrices.
    Comme je vous l'écrivais plus haut, La Bolivie est le pays 
    d’Amérique latine où l’on trouve les meilleures mousses. 
    Le tiercé gagnant est Huari, Potosína et Pacena. 
    Attention toutefois, il est parfois très difficile de rester 
    actif après une douzaine de bières comme c’est la norme ici,
     surtout en altitude !

    Eau. 
    Ne buvez pas celle de robinet, préférez les eaux minérales
     “La Cabaña”, “Vital” ou “Cristal”, ou la très bonne 
    “Viscachani” gazeuse (la non gazeuse n’est pas terrible). 
    Toujours parmi les boissons gazeuses, 
    essayez la papaya “Salvietti”. 
    je ne ferai pas de pub aux autres, et surtout 
    pas à celle qui contient effectivement les controversées 
    feuilles de coca, et ne veut pas l’admettre 
    en dépit de son nom.
    Café Boliviano
    Ici, pour terminer en beauté notre menu, 
    c'est le café des Yungas, probablement 
    le meilleur café du monde, comme le dit, 
    de façon exagérée, la publicité du “gringo”. 
    Mais il est vrai que le café des Yungas, 
    l'arabica produit de façon artisanale par l’ethnie noire
    de Bolivie, les “negritos sambos” des collines 
    des Yungas est vraiment délicieux. 
    Sinon, il y a toujours la tisane de coca, 
    pour mieux digérer un repas gargantuesque, 
    et dont les feuilles viennent aussi des Yungas.

    Grains de café arabica verts donc pas mûrs mais en dessous 
    bien rouge et donc qui vont être cueillis.
    Ce tour d’horizon, non exhaustif, de la gastronomie 
    bolivienne est dominé par la présence des céréales, 
    des pommes de terre et de la viande. 
    Cependant, en milieu urbain, on consomme volontiers 
    de la salade en entrée. On trouve du lait frais 
    dans les marchés et supermarchés, ainsi que du yaourt. 
    Une fois de plus, les mauvaises langues vont dire qu’en 
    Bolivie, on ne mange pas pour vivre mais on vit pour manger !
    En ce qui concerne la cuisine internationale, les villes de La Paz, 
    Cochabamba et Santa Cruz ont tout pour satisfaire 
    les palais les plus exigeants. 
    Et, à quelques exceptions près, les prix des restaurants chic 
    ne sont pas du tout prohibitifs. 
    Dans chacune des villes d'Amérique latine , nous tentons 
    de consacrer quelques lignes à ce type de restaurants.
    En formation, ils sont passés directement à l'âge de pierre 
    à la cuisine fusion type international, pourquoi pas!!!

    Si, à votre retour, vous désirez tenter des expériences 
    culinaires, nous vous conseillons d’acheter le livre 
    La Cocina en Bolivia, à la couverture en aguayo rouge et bleu. 
    C’est la Bible de la cuisine bolivienne.
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