• Recette de Ragoût de fèvettes au lard


    Pour 4 personnes<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Préparation :      20 minutes<o:p></o:p>

    Cuisson :               30 minutes<o:p></o:p>

    Difficulté :            Moyenne<o:p></o:p>

    Coût :                      Moyen<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Ragoût de fèvettes au lard.


    - 4,5 kg de fèves fraîches ou 800 grammes de fèves 

     écossées,

    - 1 petite botte d’oignons nouveaux,

    - 2 gousses d’ail,

    - 300 grammes de lardons,

    - 1 verre de vin blanc,

    - 1 brin de thym frais

    - 10 cl d’huile d’olive,

    - Sel fin de cuisine,

    - Poivre noir  tellichery.


    Préparation de la Recette de Ragoût de 

    fèvettes au lard. 

     <o:p></o:p>

    Préparation des ingrédients :


    - Écosser les fèves.


    - Les faire cuire 2 minutes à l’eau bouillante.


    - Retirer les peaux blanches après avoir rafraîchi 
    les fèves à l’eau glacée.


    - Eplucher les oignons et l’ail.


    - Hacher l’ail finement

    Préparation
     :


    - Dans une sauteuse, faire revenir sans les colorer 
    les oignons et les lardons.


    - Ajouter les fèves, l’ail, le vin blanc, le thym.


    - Saler et poivrer.


    - Laisser cuire à couvert et à feu doux 30 minutes
    100 degrés TH 3

    Les Conseils de Pierre.<o:p></o:p>

    Vin conseillé : <o:p></o:p>

    - Un Côtes de Provence.



    Cette Recette de Ragoût de fèvettes au lard 
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    au lard.
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  • Bol de fèvettes

    Originaire de Perse et d'Afrique, la fève, de son nom latin Vicia faba, remonte à la plus haute Antiquité égyptienne. 

    Des graines de fèves ont en effet été retrouvées dans des tombes datant de plus de 2000 ans av. J.-C. 

    Les Phéniciens en étaient friands, ils les accommodaient avec de l'échalote.

    La fève désigne à la fois le nom d’une plante, que l’on cultive pour ses graines, et le nom de ses graines, qui se consomment fraîches ou sèches. 

    Il semble qu’elle soit cultivée depuis le néolithique, qui est la période préhistorique au cours de laquelle s’est développée l’agriculture. 

    Aliment originaire du Moyen-Orient, la culture de la fève s’est ensuite répandue en Europe, en Afrique et en Orient.

    La fève était à l’Antiquité et au Moyen Age un légume de base de l’alimentation, comme l’est aujourd’hui la pomme de terre, par exemple. On lui a même attribué des vertus médicinales, contre la gale et les ulcères notamment.

    Elle servait de jeton de vote pour désigner le roi du banquet lors des saturnales. 

    La fève de la galette des rois de lEpiphanie prolonge cette coutume, mais la graine a été remplacée par une figurine.

    La fève une graine chargée d'histoire...


    Légume commun chez les Grecs, la fève aurait incidemment provoqué la mort de Pythagore! 

    Il aurait eu si peu de goût pour cette graine verte qu'il aurait préféré, dit-on, être capturé par ses ennemis que prendre la fuite en traversant un champ de fève…

    Les Romains, eux, nourrissaient leurs gladiateurs avant le combat de fèves réduites en bouillie.

    Lors des célèbres Saturnales, les fêtes romaines, les fèves servaient de jetons pour désigner le roi du banquet. 

    C'est de là que viendrait la coutume de la fève dans la galette des rois, avant qu'elle ne soit remplacée par des figurines.

    Très à la mode en France au moyen-âge, la fève fut à l'origine du fameux cassoulet.

    La fève fait partie du groupe botanique des vesces, plantes de la famille des légumineuses

    Son nom scientifique est Vicia Faba.

    C'est une plante herbacée robuste, qui peut atteindre 1 mètre de hauteur

    Le fruit contient des graines, qui sont de forme ovale et aplatie, et qui ont une peau épaisse. 

    C’est une plante annuelle à fleurs blanches, dont les gousses, qui contiennent les graines, sont vertes, puis deviennent noires avec la maturation.

    La fève se développe particulièrement bien avec des températures de 20°C. 

    Elle est produite de mars à juillet et peut être récoltée à trois stades de maturité : 

    Les fèves précoces sont récoltées semi-immatures et elles peuvent être consommées crues. 

    Les fèves consommées fraîches mais cuites sont récoltées au trois quart de leur développement. 

    Enfin, les fèves qui seront séchées sont récoltées plus tardivement.

    La Fève en gastronomie...


    On consomme la fève fraîche ou sèche, crue ou cuite. 

    Il faut compter environ 400 grammes de fèves par convive.

    La fève fraîche peut être consommée crue, mais il faut dans ce cas retirer sa peau épaisse. 

    On dit alors qu’on la mange à la mode corse, ou provençale

    La févette, qui est une petite fève, se consomme tout particulièrement de cette manière. 

    On mange les fèves vertes à la "croque-au-sel", c'est-à-dire crues, accompagnées de sel et parfois de beurre. 

    Mûres, on les cuit rapidement à l’eau bouillante, après avoir enlevé la pellicule blanche qui les recouvre, puis on les refroidies à l’eau glacée.<o:p></o:p>

    Il faut laisser tremper les fèves sèches dans l’eau pendant douze heures avant de les faire cuire. 

    Pour choisir des fèves sèches, il faut veiller à ce qu’elles soient de couleur grise uniforme, et non pas brillantes, car cela pourrait signifier que ce sont de vieilles fèves qui ont été passées à la glycérine. 

    Elles doivent être de taille moyenne, dures et non ridées.<o:p></o:p>

    Classiquement, on prépare la fève en purée

    Elle est également délicieuse dans les soupes et les plats mijotés, entière ou en purée. 

    En Espagne, on l’utilise pour préparer le "fabada", qui est une sorte de cassoulet. 

    Elle était d’ailleurs utilisée, avant le haricot, pour la préparation du cassoulet en France.<o:p></o:p>

    Des qualités nutritives fort intéressantes
    La fève possède des qualités nutritives intéressantes, notamment en raison de sa richesse en glucides, protides, fibres et vitamines, même lorsqu’elle est consommée séchée.<o:p></o:p>

    Elle contient jusqu’à 10 g de glucides pour une portion de 100 g et équivaut à peu près, de ce point de vue, à la carotte. 

    La grande majorité de ces glucides correspondent à de l’amidon et, dans une moindre mesure, à des sucres, tel que le glucose.<o:p></o:p>

    Les lipides sont très peu abondants dans la fève fraîche : environ 0,3 g pour une portion de 100 g. 

    Ils sont constitués essentiellement d’acides gras insaturés, qui ont un effet bénéfique sur le taux de cholestérol dans le sang.<o:p></o:p>

    La fève est très recommandée pour les personnes qui mangent peu ou pas de viande, car elle est particulièrement riche en protéines : environ 6 g de protides pour 100 g de fèves. 

    Son apport en protéines est équivalent à celui des petit pois et est bien au-dessus de la moyenne des légumes frais. 

    150 g de fève apportent environ 10 % de l’Apport Journalier recommandé en protéine. 

    La qualité des protéines de la fève est améliorée lorsqu’on l’associe aux céréales.<o:p></o:p>

    Consommées crues, 100 g de fèves apportent environ 15 % de l’Apport Journalier 

    Recommandé en vitamines B
    La même portion apporte environ 35 % de l’Apport Journalier 

    Recommandé en vitamines C.<o:p></o:p>
    La fève constitue un apport important de fibres. 150 g de fèves représentent en effet environ 10 g de fibres, ce qui correspond approximativement au tiers de la quantité quotidienne conseillée. 

    Elle aide ainsi à lutter contre la paresse intestinale, en particulier lorsqu’elle est consommée crue.<o:p></o:p>

    La fève fournit également des minéraux à votre organisme : du potassium, du magnésium et du calcium.<o:p></o:p>

    Les fèves sèches sont plus caloriques que les fèves fraîches : 340 calories pour 100 g de fèves sèches, contre 60 calories pour 100 g de fèves fraîches.
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  • Les modes pour se sentir mieux

    Ils nous promettent le plein de bonne énergie pour le corps et l’esprit sans pour autant nous laisser flapies de courbatures. Forcément, on adhère ! Encore faut-il s’y retrouver entre les vertus Budokon, Kalaripayatt, Wutao et autre Yogalates… Petit précis pour ne pas finir au tapis.

    par Anaïs Albrieux du figaro
    « On atteint une certaine plénitude, ça éveille les sens », s’enthousiasme Olivier, 42 ans, à la fin de son cours de Kalaripayatt, un art martial indien récemment débarqué dans nos salles de sporet aussi vite devenu ultra tendance. Feldenkrais, Wutao, Budokon, Kinomichi… La liste de ces nouveaux sports aux noms barbares (mais tellement branchés) semble s’allonger tous les jours ; le step et l’aérobic n’étant plus que des vestiges du XXe siècle, triste époque où le quidam grossissait ses biscotos sans réfléchir.
    « Aujourd’hui on a affaire à une famille de gyms dites intelligentes, où l’on ne mise pas sur la répétition, mais sur la compréhension du mouvement », explique Lionel Paillès, auteur des 
    Nouvelles
    gyms du bien-être aux éditions Parigramme. Chorégraphies artistiques, précision de la gestuelle, travail des muscles profonds, ces disciplines nécessitent in fine plus de concentration que de puissance. À la clef, pas de corps sculpté façon Hulk, mais une silhouette affinée assortie d’une démarche plus souple.

    Du Pilates au Yogalates



    <o:p></o:p>

    La tendance s’est esquissée à Los Angeles dans le milieu des années 80, quand Uma Thurman ou Christy Turlington (parmi les pionnières) redécouvrent la méthode de bien-être élaborée par Joseph Pilates au début du XXe siècle. Dans la foulée, le yoga connaît lui aussi un nouveau souffle, avec Madonna et Angelina Jolie en ambassadrices people.
    Les as du marketing sportif ne manquent pas de flairer le nouveau filon. Des variantes plus ou moins farfelues des disciplines originelles – comme le bikram yoga qui se pratique dans une pièce
    surchauffée à 40° – sont mises au goût du jour ; suivies de près par les produi
    ts dérivés, de la ligne de vêtements Adidas par Stella Mac Cartney au tapis de yoga griffé Gucci…
    Pour renouveler leur offre, les clubs de sports se lancent tout azimut dans la fusion des disciplines. Yoga et arts martiaux donnent naissance à une multitude de petits adulés par les adeptes du zen tonic, mais souvent pointés du doigt par les puristes. « Le mot yoga est souvent galvaudé. Quand on l’associe à une autre activité ce n’est plus du yoga et l’on n’approche à aucun moment de ses bienfaits », souligne Claudine Pellarin, attachée de presse de la Fédération nationale des enseignants de yoga. Ainsi le Power yoga ou le Yogalates ne sont rien d’autre que de nouvelles appellations pour rebooster le Stretching, actuelleme
    nt en petite forme.

    Budokon et Aqua Boxing

    Budokon, 

    Le plus people

    C’est la star du moment : Jenifer Aniston et Meg Ryan ne jurent que par lui pour conserver une silhouette de rêve et surmonter les obstacles de la vie. Inventée par Cameron Shayne, ex-garde du corps de Sean Penn, cette discipline se revendique comme un art de vivre.
    L’entraînement mêle postures de yoga, exercices de karaté, jiu jitsu et taekwondo et s’achève en méditation zen. Son secret ? La lenteur et la précision d’exécution qui affinent le corps et a
    méliorent l’agilité et le contrôle de soi. Malheureusement ce sport « miracle » n’a pas encore traversé l’Atlantique. Mais un DVD pour les débutantes permet de prendre ses premiers cours dans son salon avec le maître en personne… enfin, presque !
    Aqua Boxing – Le plus fun
    Vous rêvez de pratiquer la boxe et les arts martiaux, mais la crainte de finir KO
    dans les cordes ou au tapis vous a toujours freinée ? Optez pour l’Aqua Boxing qui n’est ni plus ni moins une adapt
    ation soft du kick boxing et du karaté. Pas de punching ball, ni de risque de se prendre un mauvais coup, juste des gants adaptés. Le combat est virtuel et somme toute nettement plus ludique. Les mouvements ultra rythmés sont excellents pour se défouler tout en profitant des vertus relaxantes du milieu aquatique. Quant aux graisses superflues, elles fondent doublement, la résistance de l’eau multipliant l’effort ! Et si la fatigue vous gagne, chantonnez Eyes of the Tiger, un classique indémodable qui motiverait un régiment !

    Wutao et Kalaripayatt

    Wutao – Le plus dansant
    Encore confidentiel, le Wutao est l’art corporel qui laisse parler notre corps. Cette « danse de la vie » a été mise au point par Pol Charoy – le premier occidental sacré champion du monde de Kung Fu en 1983 – et Imanou Risszerad, une spécialiste des bio-énergies. La discipline allie théories martiales taoïstes et connaissance de soi. Après avoir assoupli la colonne vertébrale et le bassin, le but est de réaliser des mouvements harmonieux proches de la danse. À chacun de créer ensuite sa chorégraphie selon sa sensibilité et son rythme. Les principaux bénéfices du Wutao sont la souplesse, la vitalité et l’évacuation des te
    nsions.
    Kalaripayatt – Le plus tendance<o:p></o:p>

    Impossible de faire l’impasse sur ce doyen des arts martiaux qui n’en finit plus de faire de nouveaux adeptes. Sorte de yoga très dynamique, le « Kalari » comme le surnomment les habitués, intègre des exercices de respirations, des lancers de jambes et plus surprenant, des postures d’animaux (éléphant, ours, serpent..) qui donnent aux classes un petit coté cours de récré. Amusant mais efficace, il entretient la tonicité et la souplesse. Philippe Colinet, qui l’enseigne depuis 5 ans, garantit par ailleurs que le Kalaripayatt rend « léger et joyeux ». Son côté aérien et très gracieux a déjà inspiré certains chorégraphes contemporains comme le belge Wim Vandekeybus ou Bartabas.
    Infos : www.www.kalaripayatt.org et www.epv-kalari-paris.com
    Où ? : www.
    www.dojodegrenelle.com
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  • Les modes pour se sentir mieux

    Ils nous promettent le plein de bonne énergie pour le corps et l’esprit sans pour autant nous laisser flapies de courbatures. Forcément, on adhère ! Encore faut-il s’y retrouver entre les vertus Budokon, Kalaripayatt, Wutao et autre Yogalates… Petit précis pour ne pas finir au tapis.

    par Anaïs Albrieux du figaro
    « On atteint une certaine plénitude, ça éveille les sens », s’enthousiasme Olivier, 42 ans, à la fin de son cours de Kalaripayatt, un art martial indien récemment débarqué dans nos salles de sporet aussi vite devenu ultra tendance. 

    Feldenkrais, Wutao, Budokon, Kinomichi… La liste de ces nouveaux sports aux noms barbares (mais tellement branchés) semble s’allonger tous les jours ; le step et l’aérobic n’étant plus que des vestiges du XXe siècle, triste époque où le quidam grossissait ses biscotos sans réfléchir.

    « Aujourd’hui on a affaire à une famille de gyms dites intelligentes, où l’on ne mise pas sur la répétition, mais sur la compréhension du mouvement », explique Lionel Paillès, auteur des 
    Nouvelles

    gyms du bien-être aux éditions Parigramme. Chorégraphies artistiques, précision de la gestuelle, travail des muscles profonds, ces disciplines nécessitent in fine plus de concentration que de puissance. 

    À la clef, pas de corps sculpté façon Hulk, mais une silhouette affinée assortie d’une démarche plus souple.

    Du Pilates au Yogalates


    La tendance s’est esquissée à Los Angeles dans le milieu des années 80, quand Uma Thurman ou Christy Turlington, parmi les pionnières redécouvrent la méthode de bien-être élaborée par Joseph Pilates au début du XXe siècle. 


    Dans la foulée, le yoga connaît lui aussi un nouveau souffle, avec Madonna et Angelina Jolie en ambassadrices people. 

    Les as du marketing sportif ne manquent pas de flairer le nouveau filon. Des variantes plus ou moins farfelues des disciplines originelles comme le bikram yoga qui se pratique dans une pièce 
    surchauffée à 40° – sont mises au goût du jour ; suivies de près par les produits dérivés, de la ligne de vêtements Adidas par Stella Mac Cartney au tapis de yoga griffé Gucci… 

    Pour renouveler leur offre, les clubs de sports se lancent tout azimut dans la fusion des disciplines. 

    Yoga et arts martiaux donnent naissance à une multitude de petits adulés par les adeptes du zen tonic, mais souvent pointés du doigt par les puristes. 

    « Le mot yoga est souvent galvaudé. 

    Quand on l’associe à une autre activité ce n’est plus du yoga et l’on n’approche à aucun moment de ses bienfaits », souligne Claudine Pellarin, attachée de presse de la Fédération nationale des enseignants de yoga. 

    Ainsi le Power yoga ou le Yogalates ne sont rien d’autre que de nouvelles appellations pour rebooster le Stretching, actuellement en petite forme.

    Budokon et Aqua Boxing

    Budokon, 

    Le plus people...C’est la star du moment : Jenifer Aniston et Meg Ryan ne jurent que par lui pour conserver une silhouette de rêve et surmonter les obstacles de la vie. 

    Inventée par Cameron Shayne, ex-garde du corps de Sean Penn, cette discipline se revendique comme un art de vivre. 

    L’entraînement mêle postures de yoga, exercices de karaté, jiu jitsu et taekwondo et s’achève en méditation zen. 

    Son secret ? La lenteur et la précision d’exécution qui affinent le corps et a
    méliorent l’agilité et le contrôle de soi. 

    Malheureusement ce sport « miracle » n’a pas encore traversé l’Atlantique. 

    Mais un DVD pour les débutantes permet de prendre ses premiers cours dans son salon avec le maître en personne… enfin, presque !

    Aqua Boxing – Le plus fun
    Vous rêvez de pratiquer la boxe et les arts martiaux, mais la crainte de finir KO
    dans les cordes ou au tapis vous a toujours freinée ? 

    Optez pour l’Aqua Boxing qui n’est ni plus ni moins une adaptation...soft du kick boxing et du karaté. 

    Pas de punching ball, ni de risque de se prendre un mauvais coup, juste des gants adaptés. 

    Le combat est virtuel et somme toute nettement plus ludique. 

    Les mouvements ultra rythmés sont excellents pour se défouler tout en profitant des vertus relaxantes du milieu aquatique. 

    Quant aux graisses superflues, elles fondent doublement, la résistance de l’eau multipliant l’effort ! 

    Et si la fatigue vous gagne, chantonnez Eyes of the Tiger, un classique indémodable qui motiverait un régiment !

    Wutao et Kalaripayatt

    Wutao – Le plus dansant
    Encore confidentiel, le Wutao est l’art corporel qui laisse parler notre corps. 

    Cette « danse de la vie » a été mise au point par Pol Charoy – 

    Le premier occidental sacré champion du monde de Kung Fu en 1983 et Imanou Risszerad, une spécialiste des bio-énergies. 

    La discipline allie théories martiales taoïstes et connaissance de soi. 

    Après avoir assoupli la colonne vertébrale et le bassin, le but est de réaliser des mouvements harmonieux proches de la danse. 

    À chacun de créer ensuite sa chorégraphie selon sa sensibilité et son rythme. Les principaux bénéfices du Wutao sont la souplesse, la vitalité et l’évacuation des tensions.

    Kalaripayatt – Le plus tendance<o:p></o:p>

    Impossible de faire l’impasse sur ce doyen des arts martiaux qui n’en finit plus de faire de nouveaux adeptes. 

    Sorte de yoga très dynamique, le « Kalari » comme le surnomment les habitués, intègre des exercices de respirations, des lancers de jambes et plus surprenant, des postures d’animaux (éléphant, ours, serpent..) qui donnent aux classes un petit coté cours de récré. 

    Amusant mais efficace, il entretient la tonicité et la souplesse. Philippe Colinet, qui l’enseigne depuis 5 ans, garantit par ailleurs que le Kalaripayatt rend « léger et joyeux ». 

    Son côté aérien et très gracieux a déjà inspiré certains chorégraphes contemporains comme le belge Wim Vandekeybus ou Bartabas.
    Infos : www.www.kalaripayatt.org et www.epv-kalari-paris.com
    Où ? : www.
    www.dojodegrenelle.com
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  • La viande d’Autruche

    Sous cette princesse d'Afrique aux milles et une facettes, aux plumes de rêve et de beauté caché, se niche douceur et gourmandise. 

    Laissez vous emporter par cet oiseau géant, qui au fil du temps vous portera chance.
    L'autruche Struthio camelus. 
    Originaire d' Afrique, le poids du mâle  est de 125 kg. Le poids  de la femelle est de 100 kg.  Ce sont des oiseaux coureurs.

    L'autruche est incapable de voler. Ses grandes pattes musclées lui permettent d'effectuer des enjambées de 3,10 mètres, et de courir à 50 km/h avec une vitesse de pointe de 70 km/h. 
    Ses ailes, normalement constituées, lui permettent de tenir en équilibre lorsqu'elle court. 

    L'autruche ne possède que deux doigts à chaque patte. 

    L'autruche est le plus grand oiseau au monde. 
    Elle peut atteindre une vitesse de 40 milles à l'heure à la course. Cet oiseau mesure de 2,15 à 2,45 m . L'autruche atteint sa maturité sexuelle à 2 1/2 ou 3 ans, et la femelle atteint sa maturité avant le mâle. 

    Cet oiseau a une longévité de 70 ans et il peut se reproduire pendant environ 40 ans. 

    La saison de ponte est du mois de mars ou avril au mois de septembre ou d'octobre, et ce pour l'hémisphère nord. Un oeuf est pondu à tous les 1 ou 2 jours et en moyenne entre 35 et 55 oeufs sont pondus dans une saison. 

    En période de reproduction le mâle devient assez agressif et dangereux défendant son territoire contre tout intrus. Le mâle couve les œufs et élève les autruchons de toutes ses femelles. 

    Le nid est une simple dépression creusée par le mâle à même le sol. Toutes les femelles viennent y pondre leurs œufs. 

    Ik les couve les œufs pendant 45 jours. Il est remplacé par la femelle dominante aux heures les plus chaudes de la journée soit de 10h à 16h environ. 

    L'incubation dure exactement entre 42 ou 43 jours. 

    Dans la nature, le nid n'est qu'un trou dans la terre et les femelles couvent les oeufs pendant le jour tandis que les mâles couvent durant la nuit. 

    A la naissance l'autruchon pèse environ 1 kg. 

    Sa croissance est rapide, il atteint la taille adulte à 1 an et demi. Les nouveaux-nés mesurent environ 25 cm. 

    Les autruchons grandissent d'environ 30 cm par mois pendant les six premiers mois! 

    L'âge à l'abattage est entre 10 et 14 mois. 

    Une autruche produit environ 32 kg de viande, 1,3 m² de cuir et 1 kg de plumes. 

    On estime que 1500 autruches sont abattues dans un but commercial chaque mois aux États-Unis. 

    L'oeuf de l'autruche est de couleur blanc crème. 

    Un oeuf pèse environ 2,75 livres et il équivaut à 2 douzaines d'oeufs de poule.

    L'autruche a une viande de couleur rouge, de goût et de texture similaire au boeuf mais comprenant 2/3 moins de gras. 

    Comme pour la viande d'émeu, cette viande a une faible teneur en cholestérol, ce qui en fait aussi une excellente viande "santé". 

    À cause de sa faible teneur en gras, la viande d'autruche se cuisine plus rapidement que les autres viandes. 

    Pour garder toute la saveur de cette viande, il est recommandé de ne pas trop la cuire.

    L'Autruche, oiseau coureur privée de vol est un animal herbivore.  

    La texture de la viande d'autruche est d'une finesse exceptionnelle. 

    Sa teneur en cholestérol et en matières grasses soit 3%, est faible. 

    L'élevage en France est naturel, Idéal pour les régimes minceurs et le coeur.
    C'est une des viandes la plus faible en gras soit 1,7 grammes contre 3 pour la volaille, 15 16 pour le boeuf, 19 pour le porc.
    Faible teneur en cholestrol soit 49 mg contre 73 pour le poulet, 74 contre 77 pour le boeuf, 84 pour le porc.
    Elle est la moins calorique soit 97 contre 135/140 pour la volaille, 230/240 pour le boeuf, 275 pour le porc.
    Contenu en protéines et en fer est de 18,2 grammes contre 21 à 27 grammes pour les autres. 

    En conclusion c'est une viande étonnante... 
    Par sa chair rouge, sa texture d'une extrème finesse et son goût succulent. 

    Elle est en outre, inégalable sur le plan nutritionnel. 

    Riche en protéines, elle ne contient que 3% de matières grasses ainsi qu'un taux de Cholestérol comparativement très faible soit 2 fois moins que le boeuf ou la volaille. 

    En répondant par ces avantages au changement de comportement alimentaire des consommateurs et l'évolution de la diététique, la viande d'autruche est sans contexte.

    Le cuir de l'autruche est très en demande par les fabricants de bottes Western, de chaussures, de porte-feuilles, de porte-documents et aussi d'autres accessoires. 

    Cela est sûrement dû à son motif distinctif en raison des marques de plumes ainsi qu'à sa souplesse remarquable. 

    Malgré sa souplesse le cuir d'autruche serait l'un des plus durables, en fait seul le cuir de kangourou serait plus résistant que lui. 

    Une autruche donne environ 1,33 m² de cuir, ce qui équivaut à environ 3 paires de bottes.
    Pour ceux qui désirent voir!


    Les plumes de l'autruche ont longtemps été utilisées pour la mode. 

    Aujourd'hui elles sont utilisées pour faire de l'artisanat mais aussi dans l'industrie automobile et électronique grâce à ses caractéristiques anti-statiques.

    Les yeux de l'autruche sont utilisés dans la recherche sur les cataractes.




    Autruche en petits rôtis aux fruits. 
    Nouvelle venue au   firmament des gastronomes la viande d'autruche est délicieuse mais surtout, elle est pleine de vitamines et c'est une viande maigre à faible teneur en graisse.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

    Accompagnement:
     Vin rouge de Fronsac ou de Canon-Fronsac, ce sont des vins du Libournais.

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