• Framboises et mûres


    Les bienfaits de la framboise et de la mûre<o:p></o:p>


    Une étude in vitro a démontré que, parmi 6 extraits de petits fruits, ceux de la mûre et de la framboise se classaient premiers et deuxièmes pour contrer l’oxydation du « mauvais cholestérol », un facteur de risque des maladies cardiovasculaires. 

    De plus, des recherches ont démontré que l’acide ellagique, abondant dans la framboise et la mûre, pouvait réduire les dépôts de plaque dans l’aorte et diminuer le cholestérol sanguin chez les lapins qui en recevaient dans leur diète.<o:p></o:p>

    Cancer. 
    Plusieurs études in vitro démontrent que des extraits de petits fruits de la famille des Rubus, dont la mûre et la framboise, inhiberaient la croissance de différentes cellules cancéreuses et tumeurs du foie, du sein, du côlon, du poumon, de la prostate, du col de l’utérus, de l’oesophage et de la bouche.<o:p></o:p>

    Inflammation et oxydation. 
    Des extraits de mûres et de framboises se sont révélés efficaces pour réduire les taux de certains marqueurs inflammatoires et augmenter la capacité antioxydante du sang. De plus, les anthocyanidines extraites des mûres protègeraient les cellules intestinales en empêchant la formation de radicaux libres et en diminuant l’oxydation cellulaire. Des études cliniques seront cependant nécessaires avant d’appliquer ces résultats à l’être humain et pour connaître les quantités à consommer.<o:p></o:p>

    Que contiennent la framboise et la mûre?<o:p></o:p>

    Acide ellagique et acide gallique<o:p></o:p>

    La framboise et la mûre contiennent des quantités élevées d’acide ellagique ainsi que de l’acide gallique en moins grande proportion (la framboise noire en contient toutefois des quantités élevées). L’acide ellagique et l’acide gallique sont les principaux constituants des ellagitanins et des gallotanins, deux composés phénoliques de la famille des tannins. Ils sont tous deux reconnus pour leur activité antimicrobienne et antivirale in vitro, en plus de leurs propriétés anticancer. L’acide ellagique aurait aussi des propriétés antioxydantes.<o:p></o:p>



    Anthocyanines<o:p></o:p>

    La framboise et la mûre contiennent des anthocyanines, un type de flavonoïdes qui donnent les pigments rouges et noirs à ces petits fruits. Les anthocyanines, comme plusieurs composés phénoliques présents dans les végétaux, possèdent d’importantes propriétés antioxydantes qui neutralisent les radicaux libres du corps et préviennent l’apparition de plusieurs maladies: cancers, maladies cardiovasculaires et troubles liés au vieillissement.<o:p></o:p>

    Selon les récentes études, l’activité antioxydante de la framboise proviendrait à 50 % des ellagitanins, à 25 % des anthocyanidines (un constituant des anthocyanines) et à 20 % de la vitamine C.<o:p></o:p>

    Les framboises rouges et noires, de même que la mûre contiennent aussi d’autres composés phénoliques, mais les quantités peuvent varier substantiellement, selon leur variété et leur culture. De plus, l’assimilation de ces composés phénoliques par l’organisme a été peu étudiée.<o:p></o:p>

    En cas de diverticulose, faut-il éviter de consommer des framboises et des mûres?<o:p></o:p>

    On a longtemps cru que les personnes atteintes de diverticulose ne devaient pas consommer certains fruits (framboises, mûres, fraises...) de peur que leurs petites graines se logent dans les diverticules8. Aucune étude clinique n’a toutefois été effectuée pour valider cette hypothèse9,10. Selon un comité d’experts de l’American College of Gastroenterology, il ne serait pas nécessaire d'exclure ces aliments en cas de diverticulose. Par contre, chez certains individus, les petites graines de fruits peuvent irriter l’intestin. Il peut s’avérer judicieux pour ces personnes de consulter un diététiste-nutritionniste.<o:p></o:p>

    Framboise ou mûre?<o:p></o:p>

    Une différence fondamentale distingue les deux fruits. La mûre conserve son réceptacle lors de la cueillette. Celui de la framboise reste accroché au plant laissant le centre du fruit creux. Les framboises aussi bien que les mûres peuvent être rouges, noires ou pourpres.<o:p></o:p>
    Maladies cardiovasculaires. 


    Framboises fraîches, déshydratées ou congelées?<o:p></o:p>

    Les framboises fraîches contiendraient plus de composés phénoliques et d’anthocyanidines que les framboises déshydratées, leur conférant une meilleure activité antioxydante. La congélation nuit peu à leur contenu sauf en ce qui concerne la vitamine C qui diminue beaucoup.


    Sources : http://www.passeportsante.net<o:p></o:p>

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  • Salade de fruits rouges

    Les fruits rouges, pour une meilleure circulation sanguine !
    Jambes lourdes et douloureuses pour cause de mauvaise circulation sanguine ? Faites une cure de fruits rouges ! Framboise, cassis, groseille, mûre, myrtille… ont plus d'un tour dans leur sac pour vous soulager.

    Les fruits rouges, sous toutes leurs formes...
    Framboises, cassis, groseilles, mûres ou encore myrtilles…

    Ces petites baies, au goût si délicat et raffiné, ont tout pour plaire : peu caloriques, riches en eau, bien pourvus en de nombreuses vitamines, notamment vitamine C et sels minéraux, elles constituent également une excellente source de polyphénols.

    Polyphénols dites-vous ? 
    Ces fameux micro-constituants encore méconnus il y a quelques années en arrière mais dont les effets protecteurs pour notre santé sont désormais reconnus. Sous ce terme générique, se cachent en réalité de nombreux composants très hétérogènes, dont font notamment partie les anthocyanes, abondamment présents dans les fruits rouges.

    Ces derniers donnent d'ailleurs aux fruits rouges leur pigmentation si caractéristique :
    Un magnifique rouge - violet - bleu. Ces derniers sont également reconnus pour augmenter la résistance des vaisseaux sanguins et favoriser la fluidité du sang. Rien de tel pour soulager vos jambes et donner un petit coup de pouce à votre système veineux ! Alors, profitez de cette saison pour faire le plein d'anthocyanes !
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  • Carpaccio d'oranges et de kiwis au grand marnier


    Carpaccio d'oranges et de kiwis au grand marnier<o:p></o:p>
    Pour 4 personnes<o:p></o:p>

    Préparation : 20 minutes.<o:p></o:p>
    Cuisson : sans.<o:p></o:p>
     Difficulté : Facile.<o:p></o:p>
     Coût : faible.<o:p></o:p>

    Ingrédients de la recette Carpaccio d'oranges et de kiwis au grand marnier.<o:p></o:p>
    - 4 oranges,<o:p></o:p>
    - 4 kiwis,<o:p></o:p>
    - 2 cuillères à café de sucre non raffiné en poudre,<o:p></o:p>
    - 5 cl de grand Marnier très frais.<o:p></o:p>

    Préparation de la recette Carpaccio d'oranges et de kiwis au grand marnier.<o:p></o:p>
    - Eplucher les oranges et les kiwis jusqu'à la pulpe. <o:p></o:p>
    - Les découper en lamelles très très fines. Glacer 4 assiettes au réfrigérateur. <o:p></o:p>
    - Glacer également les lamelles de fruits frais. <o:p></o:p>
    - Sur chaque assiette, disposer les lamelles de fruits à plat en mettant dessous celles d'orange et dessus celles de kiwis. <o:p></o:p>
    - Dans un bol, mélanger le sucre semoule et le grand Marnier et le verser sur les fruits émincés.<o:p></o:p>

    Cette Recette de Carpaccio d'oranges et de kiwis au grand marnier
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  • Orange

                    <o:p></o:p>

    Les fruits savent combiner leurs antioxydants pour plus d'efficacité<o:p></o:p>

    Manger une orange est bien meilleur pour la santé que de consommer des comprimés de vitamine C, car les antioxydants sont plus efficaces quand ils se combinent entre eux. Le fruit en contient naturellement toute une palette.<o:p></o:p>

    Les antioxydants, utilisés par les plantes pour se protéger contre la pourriture et les attaques biologiques, ralentissent également le vieillissement des cellules du corps humain et le protègent contre le cancer. <o:p></o:p>
    La méthode des chercheurs de la Brigham Young University dans l'Utah, qui publient une étude dans le Journal of Food Science, consistait à mesurer les capacités oxydantes des 7 composés phénoliques de l'agrume, en les associant par groupe de 2, de 3 et de 4. <o:p></o:p>

    Au total, ils ont pu mesurer qu'une association de plusieurs antioxydants est plus efficace qu'un antioxydant pris seul. Mais certaines associations, testées en laboratoires, sont contre-productives : le résultat est alors diminué.<o:p></o:p>

    Notre conseil : le fruit contient plusieurs antioxydants dont le mélange forme naturellement une synergie. Ils sont plus facilement disponibles pour l'organisme que les formes industrielles, qui sont fabriquées à partir de formules simplifiées.<o:p></o:p>

    Sources : guerir.org<o:p></o:p>

    1. Freeman, B.L., Eggett, D.L. & Parker, T.L. Synergistic and antagonistic interactions of phenolic compounds found in navel oranges. J. Food Sci 75, C570-576 (2010).<o:p></o:p>

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  • Curcuma


    Maladie d'Alzheimer: les possibles vertus du curcuma<o:p></o:p>

    13 janvier 2005 – Le curcuma, un des principaux ingrédients du curry, pourrait freiner la progression de la maladie d’Alzheimer, selon des recherches californiennes1.<o:p></o:p>

    Au cours d’expériences menées in vitro (en laboratoire) et in vivo (sur des animaux, en l’occurrence des souris), les auteurs ont constaté que le curcuma détruisait les dépôts de protéines bêta-amyloïdes, tout en prévenant aussi leur formation. Ces plaques de protéines se forment dans les vaisseaux sanguins du cerveau des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.<o:p></o:p>

    Pour les besoins de leur étude, les chercheurs ont utilisé des souris transgéniques programmées pour développer une maladie similaire à celle d’Alzheimer. Un groupe de souris a été nourri d’une moulée enrichie de curcuma, tandis que l’autre groupe de souris a reçu de la moulée ordinaire. En plus de l’administration orale du curcuma, les scientifiques ont injecté du curcuma directement dans le corps de certaines souris.<o:p></o:p>

    L’effet protecteur du curcuma contre la formation de dépôts bêta-amyloïdes a été supérieur à celui de médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), tel que l’ibuprofène, auxquels les chercheurs l’ont comparé. Les auteurs de ces expériences rappellent que des études épidémiologiques ont déjà démontré que la consommation d’AINS réduisait le risque d’être atteint de la maladie d’Alzheimer.<o:p></o:p>

    Depuis quelques années, la recherche scientifique se penche sur l’élaboration d’un vaccin ou d’un médicament qui pourrait prévenir ou, du moins, inhiber la formation des dépôts bêta-amyloïdes. Le curcuma pourrait éventuellement faire l’objet d’études cliniques chez les humains, souhaitent les auteurs.<o:p></o:p>

    Le curcuma contient des composés phénoliques, appelés curcuminoïdes, possédant des propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires puissantes. Plusieurs médecines traditionnelles, notamment indiennes et chinoises, en font d’ailleurs usage pour traiter des problèmes de digestion, d’infection et d’inflammation. La poudre extraite de la racine du curcuma donne la pigmentation jaune au curry, un mélange d’épices utilisé depuis des siècles dans la cuisine indienne.<o:p></o:p>

    Au Canada, la maladie d’Alzheimer représente 75 % des cas de démence chez les personnes âgées de plus de 65 ans. On estime qu’un homme sur huit et qu’une femme sur quatre souffriront de cette maladie au cours de leur vie, à divers degrés.<o:p></o:p>



    Sources: Marie france Coutu – PasseportSanté.net<o:p></o:p>

    D’après UPI, Reuters et Science Blog.<o:p></o:p>



    1. Yang F, Lim GP, Cole GM et al, Curcumin inhibits formation of Abeta oligomers and fibrils and binds plaques and reduces amyloid in vivo, J. Biol. Chem., 7 décembre 2004 (version Internet).<o:p></o:p>

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