• Poire pochée au vin


    Recette de Poire pochée au vin
    Pour 4 personnes.<o:p></o:p>

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    Préparation : 25 minutes<o:p></o:p>
    Cuisson : 20 minutes
    <o:p></o:p>
    Difficulté : Recette facile<o:p></o:p>
    Coût : Peu Onéreux<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    Ingrédients pour la recette de Poire pochée au vin :

    4 poires juteuses,
    1 orange bien mure,
    1 citron jaune ou vert,
    1 l de vin rouge, 
    180 grammes de sucre (diminuer les proportions pour une recette plus légère encore), 
    2 gousses de vanille, 
    24 cl de Porto, 
    1 badiane,
    2 clous de girofle.<o:p></o:p>

    Préparation de la recette de Poire pochée au vin :

    - Brosser et laver la peau de l'orange et du citron.<o:p></o:p>
    - En prélever quelques zestes.<o:p></o:p>
    - Les tailler en julienne, les blanchir 2 minutes.
    - Porter le vin à ébullition, le faire réduire d'un tiers.<o:p></o:p>
    - Ajouter le sucre, les zestes d'agrumes, les gousses de vanille fendues en deux, les clous de girofle, la badiane le Porto et cuire à petits frémissement 15 minutes.<o:p></o:p>
    - Laisser infuser à couvert, filtrer.
    - Peler les poires, les déposer dans la casserole de vin.<o:p></o:p>
    - Les pocher 20 à 25 minutes environ.
    - Laisser refroidir, retirer les poires.<o:p></o:p>
    - Faire réduire le jus jusqu'à l'apparition d'un état légèrement sirupeux.
    - Disposer les poires dans une assiette creuse nappée du vin réduit.

    Les Conseils de Pierre.
    - On peut remplacer le vin rouge par un vin blanc, un vin rosé ou un champagne.
    Selon les saisons, les variétés de poires à travailler varieront : 
    - en automne : la Conférence
     
    - en hiver : la Comice et la Passe Crassane
     
    - au printemps : la Passe Crassane
     
    - en été : la William et la Guyot.
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    Le Glossaire de Pierre.
    Blanchir : plonger quelques minutes dans une eau (départ eau froide pour des zestes d'agrumes, lardons ... ou eau bouillante pour des légumes verts par exemple) portée à ébullition afin d'attendrir ou atténuer l'âcreté d'un ingrédient.
    Réduire : évaporer un liquide pour concentrer la saveur d'un aliment en le portant à ébullition.


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  • [tartine_mechouia_1.jpg]
    Tartines de légumes et fromage frais

    Recette de Tartines de légumes et fromage frais
    Pour 4 personnes.

    Préparation: 30 minutes
    Cuisson: 10 minutes

    Difficulté: Recette facile
    Coût: Recette peu onéreuse
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    Ingrédients pour la recette de Tartines de légumes et fromage frais :<o:p></o:p>


    - 8 tartines de pain épeautre,
    - 1 poivron rouge, 
    - 1 poivron jaune, 
    - 1 courgette, 
    - 4 oignons fanes, 
    - 8 morceaux de tomates confites, 
    - 1 chèvre frais, 
    - 5 cl d'huile d'olive. 
    Pesto
    - 8 feuilles de basilic, 
    - 2 gousses d'ail, 
    - 10 cl d'huile d'olive 
    - Fleur de sel,
    - Poivre noir en grains moulu.

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    Préparation de la recette de Tartines de légumes et fromage frais :

    Pour le pesto : 
    - Effeuiller, laver et mixer le basilic.
    - Eplucher, laver et dégermer et l'ail.
    - Placer dans un bol mixeur le basilic, l'ail et verser l'huile d'olive.
    - Assaisonner et mixer.

    - Peler et laver les poivrons et la courgette.
    - Eplucher et laver les oignons.
    - Tailler l'ensemble de ces légumes en petits dés.
    - Couper le fromage en cubes.
    - Tailler les pétales de tomates confites en petits morceaux.
    - Dans une poêle, faire chauffer 3 cl d'huile d'olive, y faire revenir les dés de légumes jusqu'à ce qu'ils soient tendres.
    - Hors du feu, incorporer le pesto, mélanger.
    - Griller les tranches de pain, y répartir les légumes, les morceaux de tomates confites.
    - Parsemer de fromage et assaisonner.
    - Verser quelques gouttes d'huile d'olive.
    - Servir !
    - Servir avec une salade verte aux pignons de pin.

    Le Conseil de Pierre. 
    - L'épeautre est une variété de blé.


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  • L'aspartame de nouveau montré du doigt


    Largement utilisé dans nombre de produits light, l'aspartame a longtemps été accusé d'entraîner différents troubles, notamment d'augmenter les risques de cancer. Mais peu de travaux scientifiques permettaient d'accréditer cette thèse. Aujourd'hui, une étude italienne met en évidence un effet cancérigène de la consommation d'aspartame (sur les poumons et le foie notamment) tandis qu'une autre étude danoise datant de 2010 pointe un risque de prématurité pour les bébés dont les mères ont consommé des boissons à l'aspartame durant la grossesse.

    L'étude danoise, parue dans l'édition de septembre 2010 de la revue The American Journal of Nutrition, s'appuie sur le suivi de 59 334 femmes (de la Danish National Birth Cohort) entre 1996 et 2002. Chaque participante devait remplir un questionnaire sur ses habitudes alimentaires durant la grossesse. Ils ont ensuite contacté celles ayant accouché avant terme (avant 37 semaines) pour leur poser plusieurs questions complémentaires. Au final, ils ont pu mettre en évidence un lien entre la consommation de sodas allégés gazeux et non gazeux et l'accouchement prématuré.
    Celles qui consommaient moins d'un soda allégé par jour avaient 38 % de risques supplémentaires d'accoucher prématurément par rapport à celles qui n'en consommaient pas. Et ce risque grimpe à 75 % lorsque la femme a consommé plus de 4 sodas allégés par jour.

    En plus de ne pas pouvoir consommer de crustacés, viandes et poissons crus, fromages, charcuteries et de devoir modérer la consommation de café, les femmes enceintes se verront-elles interdire de consommer des boissons light ?

    L'étude italienne  s'est attachée à démontrer les effets potentiels de l'aspartame à induire des cancers sur des rats et des souris. Pour ce faire, les animaux ont été traités avec différentes doses d'aspartame depuis leur vie prénatale (à 12 semaines de gestation) jusqu'à leur mort. Une fois mort, les chercheurs du Ramazzini Institute ont disséqué les animaux pour examiner tous leurs tissus et organes. Ces expériences leur ont permis de démontrer un effet dose-dépendant (plus la dose d'aspartame est élevée, plus l'effet est important) de l'aspartame sur l'incidence de carcinome hépatique et de carcinome pulmonaire.
    Les scientifiques en concluent que "les résultats de cette étude confirment que l'aspartame est un agent cancérigène chez les rongeurs, et ce, sur différents tissus et organes". Néanmoins, ils précisent qu'aucun effet n'a pu être constaté chez les femelles souris (alors que ça l'a été sur les rats, mâles et femelles, et sur les souris mâles).

    Bien que criticables sur le plan méthodologique, ces études jettent encore le discrédit sur un édulcorant très largement utilisé. Le 21 janvier prochain, le Réseau Environnement Santé présentera de nouvelles données expérimentales et épidémiologiques liées à l'aspartame en France.

    sources: doctissimo
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  • Carré d'agneau au miel et au safran


    Carré d'agneau au miel et au safran
    pour 4 personnes

    Préparation : 20 minutes.
     Cuisson : 20 minutes.
     Difficulté : Moyenne.
     Coût : Moyen.

    Ingrédients de la recette Carré d'agneau au miel et au safran.
    - 1 carré d'agneau de 12 côtes,
    - 3 grammes de pistils de safran écrasées,
    - 2 cuillères à soupe de miel liquide,
    - 3 gousses d'ail épluchées,
    - 20 cl de crème fraîche allégée,
    - Poivre en grains au moulin.

    Préparation de la recette Carré d'agneau au miel et au safran.
    - Préchauffer le four au maximum.
    - Placer le carré d'agneau, partie grasse contre la grille d'une lèchefrite.
    - Placer au four et cuire environ 10 minutes ou jusqu'à ce que les os commencent à roussir.
    - Retirer du four. poivrer et assaisonner de safran selon les goûts.
    - Badigeonner légèrement le carré d'agneau de 1 cuillère à soupe de miel.
    - Remettre au four et continuer la cuisson jusqu'à ce que le carré d'agneau soit bien doré.
    - Éteindre le four et laisser reposer dans le four 7 minutes selon la cuisson désirée.
    - Il est préférable de manger la carré d'agneau saignant.
    - Dans une casserole, porter le reste du miel, les gousses d'ail et la crème à ébullition.
    - Incorporer 15 cl d'eau. poivrer et assaisonner de safran selon les goûts.
    - Baisser le feu et laisser mijoter 10 minutes.
    - Passer la sauce au robot culinaire pour la réduire en purée.
    - Trancher le carré d'agneau en côtelettes et servir deux côtelettes par personne sur une bonne quantité de sauce.
    - Accompagner de légumes poélés.

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  • miel

    POURQUOI METTRE LE MIEL AU MENU?

    • Au petit-déjeuner, un bol de yogourt avec des fruits frais et une cuillerée de miel est un pur délice.
    • Un rayon gorgé de miel constitue une gâterie occasionnelle irrésistible – et saine - pour les enfants.
    • Grâce aux variétés offertes, il offre une infinité de saveurs aux plats cuisinés.
    • C’est une source alimentaire d’antioxydants, surtout de flavonoïdes.
    • C’est un produit entièrement naturel, n’ayant subi que peu ou pas de transformation.
    Le miel est une substance sucrée fabriquée par les abeilles à l’aide du nectar des fleurs. Composé à plus de 80 % de glucides, c’est un aliment riche en énergie et relativement pur. En fait, on y retrouve principalement deux sucres : le fructose et le glucose, deux sucres simples qui ne nécessitent aucune digestion et qui sont facilement et directement assimilés par le corps. Le miel contient également une faible quantité de potassium, de même que des traces de quelques autres nutriments.

    Principes actifs et propriétés

    Effet prébiotique.

    Les prébiotiques sont des glucides non assimilables par notre organisme qui jouent un rôle dans la balance de la microflore intestinale. Le miel aurait possiblement un effet prébiotique sur le corps humain en améliorant la croissance, l’activité et la viabilité des bifidobactéries et des lactobacilles de la microflore intestinale, des bactéries importantes pour une bonne santé. Cet effet a été observé in vitro en utilisant un système de fermentation avec des bactéries fécales. L’effet prébiotique du miel serait en grande partie attribuable aux oligosaccharides, des sucres de faible poids moléculaire.

    Flavonoïdes.

    Le miel est une source alimentaire d’antioxydants. La majorité de ces antioxydants sont des flavonoïdes. Ces derniers interagissent dans la neutralisation des radicaux libres du corps, permettant ainsi de prévenir l'apparition des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et de certaines maladies neurodégénératives. La quantité et le type de flavonoïdes trouvés dans le miel varient selon la source florale. Règle générale, les miels les plus foncés, comme ceux issus du tournesol et du sarrasin, contiennent des quantités de flavonoïdes supérieures aux miels plus pâles, ainsi qu’une plus grande capacité antioxydante. D’ailleurs, pour une même quantité, le miel possède un pouvoir antioxydant équivalent à celui de la majorité des fruits et légumes. Toutefois, l’assimilation de ces flavonoïdes par le corps humain ayant été très peu étudiée d’autres recherches sont nécessaires.

    Cancer.

    Peu d’études se sont penchées sur l’impact de la consommation de miel en relation avec le cancer. Des chercheurs ont toutefois démontré, à la suite d’une étude réalisée sur des cellules, que la consommation de miel fournirait une protection contre le cancer du sein. Cette protection serait attribuable au pouvoir antioxydant du miel, donc à sa teneur en flavonoïdes. Les miels foncés seraient donc plus efficaces que les miels pâles. Malgré ces résultats très encourageants, de tels effets n’ont pas encore été démontrés chez l’humain. Il faut toutefois noter qu’une étude observatoire menée auprès de plus de 5 000 femmes révèle l’existence d’un lien direct entre une diète riche en aliments sucrés et en sucre (incluant le miel) et l’augmentation des risques de cancer du sein. Il convient par contre de souligner que cette étude ne permettait pas de différencier l’impact de chacune des sources de glucides, ce qui empêche de tirer des conclusions sur le rôle du miel seul. Les flavonoïdes contenus dans le miel ont également fait l’objet d’études. Ces antioxydants sont reconnus comme étant très efficaces pour désactiver les molécules oxydées naturellement dans l’organisme, par exemple les radicaux libres. Ces molécules étant impliquées dans les processus d’endommagement de l’ADN et dans la croissance des tumeurs cancéreuses, leur inactivation ralentirait ces phénomènes et donc la prolifération des cellules cancéreuses. D’ailleurs, une étude de cohorte menée en Finlande auprès de 10 000 hommes et femmes durant plus de 20 ans a démontré qu’une consommation élevée de flavonoïdes permettrait de réduire l’incidence du cancer du poumon.

    Effet antibactérien.

    Certaines caractéristiques du miel tel son bas pH, sa grande viscosité qui limite la dissolution d’oxygène et sa faible concentration en protéines lui confèrent un effet antibactérien important. D’ailleurs, la possibilité de prévenir et de traiter certaines affections gastro-intestinales mineures comme de l’inflammation ou un ulcère gastrique par une administration orale de miel n’est pas exclue. En effet, ce dernier diminuerait l’adhérence des cellules bactériennes aux cellules épithéliales de l’intestin ce qui empêcherait les bactéries de se fixer et de proliférer, en plus de mettre à profit ses propriétés anti-inflammatoires. Toutefois, aucune étude évaluant le potentiel thérapeutique du miel comme antibactérien n’a été réalisée jusqu’à aujourd’hui.

    Précautions

    Le miel est le seul aliment connu au Canada pouvant être à l’origine du botulisme infantile. Le botulisme infantile est une maladie rare causée par l’ingestion de spores provenant de la bactérie Clostridium botulinum. Parce que la flore microbienne intestinale d’un enfant de moins d’un an est immature, elle ne lui permet pas une digestion suffisamment rapide de ces spores pour en empêcher la germination. Cette germination dans l’intestin permet la production d’une neurotoxine qui cause divers symptômes pouvant aller jusqu’à la mort de l’enfant. Les spores de Clostridium botulinum sont probablement transportées par les abeilles qui seraient en contact avec elles dans l’air, la poussière et le sol. Malheureusement, le traitement de pasteurisation appliqué au miel ne permet pas leur destruction et ne prévient donc pas les cas de botulisme infantile. Conséquemment, Santé Canada, recommande de ne pas donner de miel aux nourrissons de moins d’un an.

    Choisir un miel pasteurisé ou pas?

    La pasteurisation du miel est une décision d’ordre commercial et non une décision liée à la qualité microbienne du produit. Selon le Canadian Honey Council, cette opération de chauffage permet d’agir sur deux phénomènes de détérioration du miel : la cristallisation et la fermentation. La pasteurisation réalisée sur le miel permet de réduire les risques de cristallisation du précieux liquide en brisant ses cristaux naturels. Elle détruit également ses levures tolérantes au sucre. Lorsque l’humidité est trop élevée, ces levures peuvent croître et causer la fermentation. La pasteurisation permet donc d’éviter ces deux problèmes et d’assurer une conservation plus optimale du produit. 

    La pasteurisation ne diminue d’aucune façon la qualité nutritionnelle du miel, car les flavonoïdes que l’on y retrouve sont stables à de hautes températures, donc encore actifs après le traitement de chaleur.

    Conservation

    Température ambiante
    18 °C à 24 °C, un an ou deux. Le miel peut être gardé à des températures plus élevées pendant de courtes périodes, mais en cas de chaleur prolongée, il est préférable de le mettre au réfrigérateur. Éviter surtout de le garder près d’une source de chaleur et veiller à ce que le contenant soit toujours bien fermé.

    Réfrigérateur
    le miel non pasteurisé devrait être conservé à environ 10 °C, voire au réfrigérateur, car il est plus susceptible de fermenter.

    Sources: passeportsanté.net
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