• Cette recette de Bûche de Noël au chocolat tanariva aux saveurs acidulé au lime c'est déjà tout un programme. Le chocolat tanariva est un chocolat au lait en provenance de L'île de Magascar.

     

     

     

    Recette de Bûche de Noël au chocolat Tanariva pour 20 personnes

    Préparation:       25 minutes

    Cuisson:              20 minutes

    Mise au frais:     12 heures

     

    Recette de Bûche au chocolat Tanariva au jus de lime

    Ingrédients pour la recette de la Bûche de Noël au chocolat Tanariva

    - 24 oeufs entiers bien frais,

    - 800 grammes de farine tamisée,

    - 320 grammes de sucre en poudre,

    - 450 grammes de beurre de qualité,

    - 100 grammes de noix,

    - 1/2 litre de lait entier,

    - 1/2 litre de lime ou jus de citron vert,

    - 700 grammes de chocolat Tanariva

    - 4 feuilles de gélatine environ 12 grammes si vous utilisez de la poudre

    - 400 grammes de crème chantilly.

    Préparation de la recette de la Bûche de Noël au chocolat Tanariva

    Le Biscuit:

    Mettre le four à préchauffer environ 180/200° th à 6/7

    Préparer une pâte à quatre-quarts au chocolat, prendre la recette de base.

    Etaler l'appareil sur une plaque allant au four à bords televés et hauts recouverte d'une feuille de papier sulfurisée et légèrement beurrée ou huilée. mettre 2 cm d'épaisseur de d'appareil à biscuit.

    Cuire l'appareil au four à chaleur tournate si possible pendant 10 minutes. A la sortie du four  parsemer la surface du biscuit des noix et réserver dans un endroit tiède mais pas chaud ni froid.

    La crème au citron vert.

    Mettre de l'eau dans un bol et y rajouter les 4 feuilles de gélatine.

    Faire bouillir un demi litre de citron vert avec 100 grammes de sucre en poudre.

    Mélanger les 10 jaunes d'oeufs dans un saladier profond, rajouter 3 oeufs entiers et 100 grammes de sucre en poudre. Le mélanger pendant quelques minutes et le verser dans une casserole. Mettre sur le feu et porter à ébullition.

    Retirer du feu et rajouter 250 grammes de beurre mou en pommade et  les 4 feuilles de gélatine. Couler l'ensemble dans un moule aux parois non collantes si possible ou tapisser d'une feuille de papier sulfurisée qu'on aura légèrement beurrée ou huilée. Mettre le moule au froid pendant plusieurs heures. 3/4 environ.

    La Mousse tanariva

    Faire chauffer 1/2 litre de lait et y ajouter en mélangement doucement 2 jaunes d'oeufs, 20 grammes de sucre en poudre,600 grammes de chocolat au lait Tanariva, puis laisser refroidir à la température ambiante. Pas plus. Rajouter alors la crème chantilly bien ferme et mélanger l'appareil à la cuillère de bois avec beaucoup de délicatesse pour garder un maximum d'aération. Elle sera plus légère. réserver au réfrigérateur le temps de dresser la bûche.

     

    Dressage de la bûche de Noël au chocolat Tanariva

    Prendre une tôle rectangulaire à génoise à bords hauts ou une en forme de goutttière, pas mal pour l'effet circulaire. La mettre deux heures au congélateur. Au moment du dressage la garder à l'air ambiant une dizaine de minutes maxi.

    Déposer la mousse au chocolat jusqu'à la moitié  de la hauteur du moule. Disposer ensuite une couche de citron vert, remettre une couche de mousse au chocolat et poser le biscuit sur le tout.

    Mettre une nuit ou 12 heures au réfrigérateur. Le lendemain démouler la plaque sur votre table de travail côté biscuit. Le faire avec délicatesse.

    Décorer selon votre goût. Il est possible de rajouter un peu de sucre glace ou du cacao et de strier avec la pointe d'une fourchette pour immiter l'écorce de bois, origine de la bûche de noël. rajouter des personnage en sucre, Père Noël, Mère Noël, arbres, traineaux, animaux et surtout se faire plaisir. Un beau décors est toujours appétissant.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Bûche au mascarpone et à la crème de marrons








     Ingrédients pour la bûche au mascarpone et à la crème de marrons

    Pour 6 à 8 personnes :

    Biscuit
    - 3 œufs entiers bien frais,
    - 60 grammes de sucre en poudre,
    - 60 g de farine,
    - 20 grammes de beurre + 10 grammes pour la plaque,
    - 1 pincée de sel.

    Garniture :
    - 3 feuilles de gélatine (6 grammes),
    - 250 grammes de mascarpone,
    - 1 petite boîte de crème de marrons vanillée de250 grammes,
    - 15 cl de crème liquide ou fleurette,
    - 1 cuillerée à café  de sucre glace.

    Glaçage :
    - 10 cl de crème liquide ou fleurette,
    - 100 grammes de chocolat pâtissier au lait ou riche en cacao,
    - 25 grammes de beurre.

    Décors :
    - Quelques marrons glacés + quelques brisures.

    Préparation :

    Préchauffer le four, thermostat 6/7 ou 200°.

    Tapisser une plaque de papier sulférisée beurrée.

    Séparer les blancs des jaunes d'œufs.

    Dans un saladier, mettre les jaunes d'œufs et le sucre en poudre. Travailler jusqu'au blanchiment, de préférence au fouet électrique, puis incorporer la farine en pluie et mélanger sans trop travailler.Ajouter la pincée de sel aux blancs d'œufs et les monter en neige ferme.

    Faire fondre le beurre.Verser la moitié des blancs et le beurre fondu dans la pâte et tourner doucement, puis incorporer délicatement le reste des blancs en neige.

    Etaler la pâte sur la plaque, en lissant la surface.

    Enfourner à mi-hauteur et laisser cuire 8 à 10 minutes, en fonction de l'épaisseur.

    Placer au réfrigérateur pendant 12 heures.

    Au sortir du four, retourner le biscuit sur un torchon et décoller la feuille de papier sulfurisé. Pour la décoller facilement, mouiller légèrement le papier avec de l’eau, à l’aide d’un pinceau. Au bout de quelques minutes, la feuille se décolle toute seule.

    Préparer la garniture :

    Faire tremper les feuilles de gélatine dans un bol d’eau froide pour les ramollir.
    Mélanger le mascarpone et la crème de marrons doucement au fouet.
    Faire fondre la gélatine égouttée au micro-ondes ou dans une petite casserole sur feu doux.
    Battre la crème liquide en chantilly avec le sucre glace.
    Verser la gélatine fondue sur la crème chantilly, toujours en fouettant, pour bien la mélanger. Ajouter au mélange crème de marrons-mascarpone, en soulevant avec une spatule souple.
    Couper le biscuit dans sa largeur en 4 rectangles plus ou moins égaux.
    Passer un moule à cake de 27 x 10 cm sous l’eau.
     Sans l’essuyer, le tapisser de film étirable.
    Mettre une bande de biscuit, une couche de crème, une de biscuit, une de crème, en terminant par une couche de biscuit. 
    Rabattre le film étirable et mettre au frais 6 heures minimum.

    Préparer le glaçage : 

    Verser la crème liquide dans une casserole, faire bouillir et verser sur le chocolat cassé en carrés dans une terrine. Mélanger et ajouter le beurre. 
    Mélanger à nouveau jusqu’à obtention d’une crème homogène. 
    Laisser refroidir.
    Démouler la bûche sur un plat de service, la napper du glaçage au chocolat et remettre au frais 6 heures minimum.
    Avant de servir, décorer le dessus de la bûche avec quelques marrons glacés, puis disposer quelques brisures de marrons glacés tout autour.
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  • Bûche au mascarpone et à la crème de marrons








     Ingrédients pour la bûche au mascarpone et à la crème de marrons

    Pour 6 à 8 personnes :

    Biscuit
    - 3 œufs entiers bien frais,
    - 60 grammes de sucre en poudre,
    - 60 g de farine,
    - 20 grammes de beurre + 10 grammes pour la plaque,
    - 1 pincée de sel.

    Garniture :
    - 3 feuilles de gélatine (6 grammes),
    - 250 grammes de mascarpone,
    - 1 petite boîte de crème de marrons vanillée de250 grammes,
    - 15 cl de crème liquide ou fleurette,
    - 1 cuillerée à café  de sucre glace.

    Glaçage :
    - 10 cl de crème liquide ou fleurette,
    - 100 grammes de chocolat pâtissier au lait ou riche en cacao,
    - 25 grammes de beurre.

    Décors :
    - Quelques marrons glacés + quelques brisures.

    Préparation :

    Préchauffer le four, thermostat 6/7 ou 200°.

    Tapisser une plaque de papier sulférisée beurrée.

    Séparer les blancs des jaunes d'œufs.

    Dans un saladier, mettre les jaunes d'œufs et le sucre en poudre. Travailler jusqu'au blanchiment, de préférence au fouet électrique, puis incorporer la farine en pluie et mélanger sans trop travailler.Ajouter la pincée de sel aux blancs d'œufs et les monter en neige ferme.

    Faire fondre le beurre.Verser la moitié des blancs et le beurre fondu dans la pâte et tourner doucement, puis incorporer délicatement le reste des blancs en neige.

    Etaler la pâte sur la plaque, en lissant la surface.

    Enfourner à mi-hauteur et laisser cuire 8 à 10 minutes, en fonction de l'épaisseur.

    Placer au réfrigérateur pendant 12 heures.

    Au sortir du four, retourner le biscuit sur un torchon et décoller la feuille de papier sulfurisé. Pour la décoller facilement, mouiller légèrement le papier avec de l’eau, à l’aide d’un pinceau. Au bout de quelques minutes, la feuille se décolle toute seule.

    Préparer la garniture :

    Faire tremper les feuilles de gélatine dans un bol d’eau froide pour les ramollir.
    Mélanger le mascarpone et la crème de marrons doucement au fouet.
    Faire fondre la gélatine égouttée au micro-ondes ou dans une petite casserole sur feu doux.
    Battre la crème liquide en chantilly avec le sucre glace.
    Verser la gélatine fondue sur la crème chantilly, toujours en fouettant, pour bien la mélanger. Ajouter au mélange crème de marrons-mascarpone, en soulevant avec une spatule souple.
    Couper le biscuit dans sa largeur en 4 rectangles plus ou moins égaux.
    Passer un moule à cake de 27 x 10 cm sous l’eau.
     Sans l’essuyer, le tapisser de film étirable.
    Mettre une bande de biscuit, une couche de crème, une de biscuit, une de crème, en terminant par une couche de biscuit. 
    Rabattre le film étirable et mettre au frais 6 heures minimum.

    Préparer le glaçage : 

    Verser la crème liquide dans une casserole, faire bouillir et verser sur le chocolat cassé en carrés dans une terrine. Mélanger et ajouter le beurre. 
    Mélanger à nouveau jusqu’à obtention d’une crème homogène. 
    Laisser refroidir.
    Démouler la bûche sur un plat de service, la napper du glaçage au chocolat et remettre au frais 6 heures minimum.
    Avant de servir, décorer le dessus de la bûche avec quelques marrons glacés, puis disposer quelques brisures de marrons glacés tout autour.
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    • Je dis dans mon Edito permanent que fumer pour les femmes enceintes est un crime, je ne croyais pas viser aussi juste si j'en crois l'article du Figaro ci-dessous.Une femme choisie de faire un enfant, elle doit donner la vie à un être innocent. C'est un choix dont je ne suis pas certain que les fumeuses en assument réellement les réalités du futur. Un grand professeur me disait l'autre jour qu'il faut 6 ans pour les meffets du tabagisme disparaissent du corps humain. Alors Mesdames les fumeuses si vous avez encore un peu de plomb dans la cervelle réfléchissez...Cet article concerne aussi les Messieurs, un homme qui fume auprès d'une femme enceinte ou dans une maisson ou vivent des enfants nouveaux nés ou de très jeunes enfants ne mérite pas d^'être père, les méfaits du monoxyde de carbonne étant considérable même pour l'entourage.
    • «Le droit du fœtus est d'être non-fumeur»

      Propos recueillis par Martine Perez

      .
      «Actuellement 36 % des femmes en âge de procréer fument régulièrement ou occasionnellement et 20 % poursuivent la cigarette jusqu'à la fin de leur grossesse», regrette le professeur Michel Delcroix. (Ici, des Taïwanaises enceintes brisent symboliquement des cigarettes).
      «Actuellement 36 % des femmes en âge de procréer fument régulièrement ou occasionnellement et 20 % poursuivent la cigarette jusqu'à la fin de leur grossesse», regrette le professeur Michel Delcroix. (Ici, des Taïwanaises enceintes brisent symboliquement des cigarettes). Crédits photo : Associated Press

      Un an après le vote de la loi antitabac, Michel Delcroix, professeur d'obstétrique (Lille), responsable de Maternité sans tabac, estime que le fœtus n'est pas protégé contre le tabagisme maternel.

      LE FIGARO. - Vous soutenez que le fœtus n'est pas du tout protégé du tabagisme passif des parents.
      Michel DELCROIX. - Avec ses décrets sur l'interdiction de fumer dans tous les lieux publics, le gouvernement vient de réussir la prévention du tabagisme passif. Mais quand la mère ou le père fume, le fœtus n'est pas protégé de la fumée de tabac ou de joint particulièrement dangereuse par le monoxyde de carbone (CO) qu'elle contient. Même si le fœtus n'est pas une personne juridique, son premier droit est d'être non-fumeur, c'est-à-dire d'être normalement oxygéné.

      Malgré l'organisation de la conférence de consensus Grossesse et tabac, à Lille en octobre 2004, et la promotion par le ministère de la Santé de la charte maternité sans tabac signée par 340 maternités, plus d'un enfant sur cinq naît encore aujourd'hui après avoir été durant toute sa vie intra-utérine exposé au tabagisme maternel et/ou paternel.

      Quels sont les risques pour le fœtus ?
      La dangerosité sur le développement fœtal et le risque de handicap des toxiques majeurs, tabac, alcool, cannabis, toujours retrouvés dans le sang fœtal à des concentrations plus élevées que dans le sang maternel n'est plus à démontrer. La quantité de fumée inhalée et la durée d'exposition en sont deux éléments importants. L'exposition passive à la fumée de tabac ou de joints augmente pendant la grossesse le risque de retard de croissance intra-utérin et, lors de l'accouchement, le risque d'asphyxie du nouveau-né.

      Le déficit d'oxygénation provoqué par l'inhalation de CO de la fumée de tabac ou de cannabis est la première cause toxique responsable de lésions cellulaires du système nerveux en développement, pouvant conduire dans certains cas à l'infirmité motrice d'origine cérébrale (Imoc) et dans une proportion beaucoup plus grande à des retards de croissance intra-utérins à l'origine de l'augmentation du nombre des faibles poids de naissance.

      Quel est le pourcentage de femmes enceintes qui continuent à fumer ?
      Actuellement 36 % des femmes en âge de procréer fument régulièrement ou occasionnellement et 20 % poursuivent la cigarette jusqu'à la fin de leur grossesse. Et cela sans qu'aucun diagnostic objectif, comme peut le faire la mesure du CO dans l'air expiré ou sans qu'aucune aide médicale par les thérapies cognitivo-comportementales, TCC ou les substituts nicotiniques, ne leur soit proposée durant le suivi de grossesse. La protection des non-fumeurs n'est donc pas appliquée pour les bébés à naître en France.

      De plus, c'est parmi les fumeuses que les pourcentages de femmes enceintes consommatrices régulières ou occasionnelles d'alcool et/ou de cannabis sont les plus élevés. Il se trouve que le fœtus subit totalement la cigarette ou l'alcoolisation maternelle sans pouvoir s'en « défendre ».

      Vous dites que le corps médical ne fait rien pour la prévention.
      Notre société revendique le principe de précaution pour la prévention de risques hypothétiques comme ceux mettant en cause l'innocuité des produits cosmétiques pour bébé pourtant depuis longtemps autorisés et utilisés mais dans le même temps ne sait pas suffisamment protéger les bébés à naître des trois toxiques les plus dangereux et les plus répandus que sont le tabac, l'alcool et le cannabis. Or ces trois toxiques sont responsables de complications graves alors qu'ils sont facilement évitables.

      Concrètement, que doivent faire les pouvoirs publics ?
      Il suffirait de dépister les consommations à risques (tabac, cannabis et alcool) pendant la grossesse. Il n'est pas question de stigmatiser les femmes enceintes qui fument ou s'alcoolisent mais au contraire de les aider par une meilleure écoute et prise en charge.

      Cela est possible en incluant celles-ci dans la routine des soins périnataux et en assurant le remboursement des traitements (substituts nicotiniques, TCC) par le régime maternité. C'est possible en formant tous les personnels de la périnatalité aux repérages et diagnostic systématiques du tabac et du cannabis par la mesure du CO expiré en consultation. Cela est possible pour toutes les femmes enceintes. Nous le devons pour protéger enfin, comme tous les autres non-fumeurs, tous les bébés à naître.

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  • Tarte au citron meringuée de Pierre Hermé

    Un délice qui fait toujours l'unanimité.

    La pâte sucrée et la crème au citron doivent être préparées 2h à l'avance, mais la veille c'est bien aussi.

    Pour les deux, il faut du beurre pommade. Il s'agit d'un beurre à température ambiante. Coupez-le en dés, ça ira plus vite, mais surtout pas de chauffage, de micro-ondes....

    Pour la crème au citron, il vous faut un thermomètre-sonde. Celui d'Ikéa est parfait pour un prix défiant toute concurrence. De plus, il fait minuteur.

    Ingrédients pour un moule de 27 cm de diamètre

    Pâte sucrée:

    - 210 grammes de farine tamisée,

    - 85 grammes de sucre glace tamisé,

    - 1 œuf cassé dans un bol,

    - 1/2 gousse de vanille,

    - 125 grammes de beurre pommade,

    - 25 grammes de poudre d'amande,

    - 4 grammes de sel fin.

    Malaxez le beurre dans une terrine pour l'assouplir avec une cuillère en bois puis ajoutez sucre glace, poudre d'amande, le sel, les graines de vanille, l'oeuf et enfin la farine en tournant à chaque fois jusqu'à ce que le nouvel ingrédient soit incorporé.

    Formez une boule et aplatissez-la entre vos mains. Filmez-la et laissez-la reposer au frigo.

    Crème au citron

    - 150 ml de zestes et de jus de 4ou5 citrons,

    - 3 œufs entiers frais,

    - 202,5 grammes de sucre semoule,

    - 247,5 grammes de beurre pommade.

    Préparation:

    Mélangez les oeufs, le sucre, les zestes et le jus des citrons.

    Faites cuire au bain-marie en remuant de temps en temps jusqu'à 83°.

    Filtrez le mélange au-desus d'une terrine et refroidissez le immédiatement (55/60°) en plaçant la terrine dans un saladier rempli d'eau très froide et de glaçons. Ca va très vite.

    Incorporez le beurre en lissant au fouet.

    Passez la préparation au mixer pour qu'elle soit parfaitement homogène.

    Réservez au froid.

    La tarte

    Dans votre four préchauffé à 180°, faites cuire la pâte à blanc dans le moule 18 min avec des légumes secs puis 7 min sans rien.

    Laissez refroidir dans le moule.

    Garnissez avec la crème au citron bien froide et remettez le tout au frigo.

    Préparez la meringue:

    - 3 blancs d'œufs

    - 150 grammes de sucre en poudre.


    Montez 3 blancs en incorporant le sucre petit à petit. Elle doit être bien ferme.

    Etalez-la sur la tarte avec une spatule ou une poche à douille et enfournez 8 à 10 min à 250° en position haute pour dorer la meringue.

    Laisssez refroidir avant de remettre au froid.

    Servez-la froide mais non glacée.

    Bon appétit!

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