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persil plat |
Le persil et le céleri renfermeraient un nutriment qui aurait un effet protecteur contre le cancer du sein.<o:p></o:p>
C’est ce qu’indiquent les résultats d’une série d’essais cliniques menés sur des rates qu’on a exposées à une progestérone synthétique couramment prescrite comme hormone de remplacement à la ménopause.
Chez les rates qui recevaient également de l’apigénine - un flavonoïde que l’on trouve notamment dans le persil, le céleri, la pomme, l’orange et les noix –, le nombre de tumeurs cancéreuses associées à l’hormonothérapie de remplacement était 50 % moins élevé. L’apigénine aurait aussi eu comme effet de ralentir la croissance des tumeurs.<o:p></o:p>
Selon les chercheurs de l’Université du Missouri, l’apigénine s’opposerait à l’action des progestatifs qui augmentent le risque de cancer du sein. Selon eux, ce nutriment végétal bloquerait la croissance endothéliale vasculaire, lequel serait responsable des effets cancérigènes associés à l’hormonothérapie de remplacement.<o:p></o:p>
Même si des études n’ont pas encore été faites sur des humains, il est permis de croire qu’une alimentation riche en apigénine pourrait contribuer à minimiser les effets cancérigènes connus des progestatifs et réduire ainsi les cas de cancer du sein dans la population, affirment les chercheurs.<o:p></o:p>