• Kiwi

    Inconnu en occident il y a une trentaine d'années, il peut maintenant être consommé toute l'année, et même cultivé puisque la France est le 4e producteur mondial.

    Parmi les fruits les plus couramment consommés le kiwi est le plus concentré en micro-nutriments (Vitamine C, provitamine A, vitamines B, calcium, fer) ; il devance dans l'ordre : papaye, melon, fraise, mangue, citron, orange, groseille, mandarine, avocat, tangerine, pamplemousse, ananas, banane, cerise, pomme et poire.

    C'est un des fruits les moins caloriques avec 50 calories pour 100 grammes, il ne fait donc pas grossir ! ! 


    De plus il contient peu de protéines et pratiquement pas de lipides.

    Il est plus riche en potassium que la banane, son taux de magnésium est élevé. On y trouve aussi du fer, du cuivre, du zinc et du phosphore.


    Ses petites graines noires contiennent de la vitamine E.


    Surtout il contient deux fois plus de vitamine C qu'une orange, si bien qu'il couvre les besoins quotidiens en vitamine C (80 mg).


    Outre les propriétés antioxydantes des vitamines C et E, il contient deux fois plus de polyphénols (antioxydants) que le vin d'où un effet bénéfique sur les processus de vieillissement cellulaire (cancers, athérosclérose, etc..).

    Par contre le Kiwi renferme une enzyme, l'actinidine, qui peut provoquer des réactions allergiques comme l'urticaire. Cette allergie peut être croisée (c'est à dire qu'elle existe aussi avec des molécules voisines) avec la papaye, la banane, l'avocat, et le latex voire avec les salicylates (aspirine).

    En conclusion, si on n'est pas allergique à l'actinidine, le kiwi est un fruit intéressant par son faible apport calorique, sa richesse en oligoéléments et en vitamine C, ses propriétés antioxydantes.



    Sources:http://www.medecine-et-sante.com

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  • Régime et goutte<o:p></o:p>


    La goutte est due à une augmentation de l'acide urique (hyperuricémie) qui elle-même provient de la dégradation des aliments riches en bases puriques.

    Cette hyperuricémie va se traduire, dans certains cas, par une crise de goutte qui correspond au dépôt de cristaux d'acide urique : inflammation brutale et très douloureuse d'une articulation, la plus communément touchée est celle du gros orteil avec le pied, mais d'autres peuvent être atteintes (doigts des mains, poignets, coudes, genoux, etc...). 

    Le malade ne supporte plus le moindre attouchement au niveau de cette articulation.
    Les causes sont nombreuses mais le facteur génétique (hérédité) est important.

    L'obésité est fréquente mais non obligatoire, un amaigrissement brutal peut d'ailleurs déclencher une crise.

    L'alcool joue un rôle favorisant mais n'est pas obligatoire, contrairement à une idée répandue.

    Le régime :<o:p></o:p>

    -Boissons abondantes : 2 litres par jour environ. 
    Réduire le plus possible la consommation d'alcool (attention au bourgogne en particulier)

    -amaigrissement éventuel mais pas trop rapide.

    -Réduire la consommation d'aliments riches en acide urique:

    il s'agit surtout des abats :<o:p></o:p>

    Ris de veau : 990 (taux d'acide urique pour 100g).
    Rognons : 290.
    Foie : 280.
    Cervelle.
    Langue, tripes, coeur.
    Saucisse.<o:p></o:p>

    de certains poissons :<o:p></o:p>

    Anchois : 465.
    Sardine : 360.
    Hareng : 200.
    Truite, carpe, brochet.
    Saumon.
    Îufs de poisson.
    Coquillages, crustacés.
    Cabillaud.
    Soupe de poissons.<o:p></o:p>

    autres :<o:p></o:p>

    Gibiers +++
    Pigeon, oie, canard, coquelet.
    Viande séchée.
    Bouillon Kub.
    Fromages très fermentés.
    Ne pas abuser des viandes de porc, de veau et de boeuf, ni de la charcuterie (sauf jambon maigre). 

    En général éviter une alimentation trop riche.<o:p></o:p>

    <o:p>Sources: </o:p>http://www.medecine-et-sante.com 
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  • La période de la ménopause<o:p></o:p>

    Que se passe-t-il au moment de la ménopause ?<o:p></o:p>

    La ménopause correspond à l’arrêt du fonctionnement des ovaires. Elle survient habituellement vers l’âge de 50 ans, mais il existe des fluctuations d’une femme à l’autre. La cessation de l’activité ovarienne se fait progressivement et les règles deviennent très irrégulières.<o:p></o:p>

    Ce phénomène se manifeste généralement par des désagréments comme des bouffés de chaleur, des perturbations du sommeil, des troubles de l’humeur et une modification de la peau et des cheveux. La ménopause s’accompagne aussi souvent d’une prise de poids et d’une déminéralisation osseuse.<o:p></o:p>

    Comment réduire les risques liés à la ménopause ?<o:p></o:p>

    Limiter la déminéralisation osseuse. 

    Pour limiter le phénomène de déminéralisation osseuse, il est important de s’assurer que ses apports en calcium et en vitamine D sont suffisants. Ces deux nutriments participent à l’entretien du capital osseux, construit depuis l’enfance. Les protéines jouent également un rôle dans l’entretien des os.<o:p></o:p>

    • Comment améliorer ses apports en calcium ? 
    • En privilégiant votre consommation de lait et de produits laitiers (yaourts, fromages blancs, fromages). On trouve également du calcium dans certaines eaux minérales dites calciques (plus de 150 mg de calcium par litre d’eau)
    • Comment améliorer ses apports en vitamine D ? En introduisant des poissons gras (thon, saumon, hareng, sardine) et des œufs dans votre alimentation. Vous pouvez aussi opter pour des produits laitiers enrichis en vitamine D et en calcium. La vitamine D peut aussi être fabriquée par notre corps sous l’action des rayons du soleil sur la peau. Exposez-vous, tout en protégeant votre peau, dès l’apparition des premiers rayons de soleil.<o:p></o:p>
    • Comment améliorer ses apports en protéines ? En consommant suffisamment de viande, de poisson et d’œufs : 1 à 2 fois par jour.<o:p></o:p>
    Pratiquer une activité physique régulière permet de stimuler la formation du tissu osseux et de renforcer les os.<o:p></o:p>

    Éviter une prise de poids excessive<o:p></o:p>

    La ménopause peut se traduire par une prise de poids. Afin de mieux contrôler cette prise de poids, il est important de conserver une alimentation équilibrée.<o:p></o:p>
    Pour mieux dépenser l’énergie apportée par les aliments, il est important de bien bouger et de pratiquer au moins l’équivalent de 30 minutes de marche rapide chaque jour.<o:p></o:p>

    <o:p>Sources: www.mangerbouger.fr</o:p>
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  • Les principaux soucis liés à l’âge<o:p></o:p>

    Avec l’âge, il est important d’être plus vigilant vis-à-vis de certaines maladies, pour éviter les petits et gros soucis.<o:p></o:p>

    L’ostéoporose<o:p></o:p>
    L’ostéoporose correspond à une diminution de la résistance osseuse, responsable d’un risque accru de fracture. En France, 3 millions de personnes souffrent d’ostéoporose : cette déminéralisation osseuse touche plus souvent les femmes que les hommes. Pour limiter ses effets néfastes sur l’organisme, il existe des traitements médicamenteux ; mais une alimentation adaptée permet aussi de réduire les risques d’ostéoporose.<o:p></o:p>

    Pensez à consommer au moins 3 à 4 produits laitiers par jour : ils contiennent du calcium naturellement. Pour bénéficier de toutes leurs qualités, pensez à varier : lait, fromages, yaourts, fromages blancs. Il y en a pour tous les goûts ! Certaines eaux minérales contiennent plus de calcium que d’autres : regardez l’étiquette et optez pour celles présentant plus de 150 mg de calcium par litre d’eau.<o:p></o:p>

    Bougez tous les jours ! L’activité physique stimule l’entretien du tissu osseux et renforce les os. Pratiquez au moins l’équivalent de 30 minutes de marche rapide par jour, et pourquoi pas quelques exercices d’assouplissement.<o:p></o:p>

    Vous pouvez aussi courir ou trottiner : ces activités obligent les os à se consolider. La gymnastique ou la musculation, en plus d’entretenir tous les muscles du corps, créent une traction sur les os qui contribue aussi à les renforcer.<o:p></o:p>

    Le surpoids<o:p></o:p>

    En vieillissant, vous pouvez prendre des kilos supplémentaires et notamment au niveau de la taille. Si vous pensez être en surpoids ou si vous estimez avoir pris beaucoup de poids ces derniers temps, parlez-en à votre médecin. La clé pour ne pas prendre de poids, est d’opter pour une alimentation équilibrée et un mode de vie actif. <o:p></o:p>

    Pensez plus particulièrement à :<o:p></o:p>

    • Limiter les matières grasses, sans pour autant les supprimer. Préférez les huiles végétales.<o:p></o:p>
    • Eviter les graisses cachées : les viennoiseries, les pâtisseries, certains plats préparés, les biscuits salés ou sucrés, la charcuterie, les sauces grasses et les produits frits.<o:p></o:p>
    • Réduire votre consommation d’alcool. L’alcool apporte des calories que le corps ne sait pas bien utiliser.<o:p></o:p>
    • Avoir un rythme régulier : ne sautez pas de repas pour éviter de compenser vos petits creux avec des aliments gras ou sucrés.<o:p></o:p>
    • Bouger tous les jours  : 30 minutes d’activité physique par jour vous permettront d’éviter certaines conséquences du surpoids et d’optimiser les effets d’un régime éventuel.<o:p></o:p>
    Gare aux régimes !<o:p></o:p>

    Avant de décider de vous mettre au régime, demandez conseil à votre médecin. Il saura vous aiguiller pour éviter des carences inutiles.<o:p></o:p>

    La mémoire<o:p></o:p>

    Pour entretenir sa mémoire, l’astuce, c’est de la faire travailler tous les jours grâce à des activités cérébrales : lecture, jeux de logique, mots croisés…Une alimentation équilibrée est également essentielle pour entretenir vos neurones. En effet, certains nutriments sont à privilégier pour préserver vos capacités intellectuelles :<o:p></o:p>
    • Les acides gras essentiels dits « oméga 3 », présents dans les poissons gras, les huiles de colza, de noix, de soja.<o:p></o:p>
    • Les vitamines du groupe B : présentes dans le foie, les abats, les légumes, les céréales complètes, le jaune d’œuf et la levure de bière.<o:p></o:p>
    • Les vitamines et oligo-éléments antioxydants, présents dans les fruits (agrumes), les légumes, les huiles végétales, la viande, le poisson, les crustacés, les céréales complètes.<o:p></o:p>
    Les troubles digestifs<o:p></o:p>

    Avec les années, les intestins deviennent parfois un peu plus paresseux et fragiles. Pour limiter les sensations d’inconfort, il faut donc adapter son alimentation et bouger régulièrement. Pour éviter les ballonnements :<o:p></o:p>

    • Pensez à manger lentement et à bien mastiquer.<o:p></o:p>
    • Donnez une place importante aux fruits et légumes cuits dans votre alimentation. Une fois cuits, les fruits et légumes sont souvent moins irritants pour l’intestin.<o:p></o:p>
    • Dans la famille des produits laitiers, privilégiez les yaourts nature ou aux fruits : leurs ferments lactiques aident à les digérer. Réduire la constipation. Voici 3 astuces à associer pour améliorer votre transit intestinal.<o:p></o:p>
    • Boire davantage, pendant et entre les repas. Si vous buvez de l’eau minérale, privilégiez une eau riche en magnésium (contenant plus de 100 mg de magnésium par litre).<o:p></o:p>
    • Consommer d’avantage d’aliments riches en fibres, qui facilitent le transit intestinal : fruits, légumes mais aussi légumes secs et céréales complètes.<o:p></o:p>
    • Bouger le plus possible : l’activité physique stimule votre transit en sollicitant les abdominaux.<o:p></o:p>
    Le diabète et le cholestérol<o:p></o:p>

    Vous êtes suivis pour un diabète ? Votre taux de cholestérol est trop élevé ? Voici quelques repères à suivre pour améliorer votre prise en charge :<o:p></o:p>

    • Privilégiez les aliments riches en fibres. Ils ralentissent l’absorption du glucose et ralentissent ainsi l’élévation de la glycémie ; les fibres peuvent aussi limiter le passage des graisses dans le sang.<o:p></o:p>
    • Limitez votre consommation de produits gras et/ou sucrés : viennoiseries, confiseries, charcuteries, quiches, feuilletés, beignets, frites.<o:p></o:p>
    • Mangez du poisson au moins deux fois par semaine, et notamment les poissons « gras » (hareng, sardine, maquereau), dont les graisses ont des effets bénéfiques sur le système cardiovasculaire.<o:p></o:p>
    • Privilégiez les produits laitiers riches en calcium et pas trop riches en graisses.<o:p></o:p>
    • Repensez votre consommation de matières grasses : privilégiez les huiles végétales, réservez le beurre pour vos tartines du petit déjeuner…<o:p></o:p>
    • Bougez ! L’activité physique est un complément indispensable à votre traitement.<o:p></o:p>
    Trop de cholestérol ? 

    Ce n’est pas une raison pour supprimer totalement les œufs de votre alimentation. Essayez plutôt de réduire votre consommation de matières grasses. Vous pouvez également opter pour des produits enrichis en phytostérols (margarine, sauce salade, yaourt) : parlez-en à votre médecin.<o:p></o:p>

    Qu’est-ce que le diabète ? 

    Le diabète est une maladie due soit à une production insuffisante d’insuline, soit à une mauvaise utilisation de l’insuline. L’insuline est une hormone qui régule la quantité de sucre dans le sang. Le diabète se traduit par une quantité de sucre excessive dans le sang (plus de 1,26 g de glucose par litre de sang). Une quantité trop importante de sucre dans le sang peut conduire à des atteintes graves notamment des nerfs et des vaisseaux sanguins.<o:p></o:p>

    L’hypertension artérielle<o:p></o:p>


    L’hypertension peut être associée à une augmentation de certains risques cardio-vasculaires. Pour limiter la sévérité de l’hypertension, vous pouvez :<o:p></o:p>

    • Limiter votre consommation de sel à moins de 6 grammes par jour<o:p></o:p>
    • Limiter votre consommation d’alcool<o:p></o:p>
    • Privilégier les fruits et légumes et limiter les matières grasses animales<o:p></o:p>
    • Pratiquer une activité physique d’au moins 30 minutes chaque jour<o:p></o:p>
    Qu’est-ce que l’hypertension artérielle ? 

    La pression artérielle correspond à la pression du sang dans les artères et elle résulte de la contraction régulière du cœur. On distingue la pression systolique (pression dans les artères lorsque le cœur se contracte) et la pression diastolique (pression dans les artères après l’éjection du sang).<o:p></o:p>

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  • Méditerranéen
    Régime méditérannéen

    Les origines<o:p></o:p>
    Si l’on retrouve des habitudes alimentaires diversifiées dans la quinzaine de pays situés sur le pourtour de la mer Méditerranée, il y a au moins une constante : l'utilisation abondante d'huile d'olive. Lorsqu'on parle de « régime méditerranéen », on fait plus particulièrement référence à l'alimentation traditionnelle des îles grecques de Crète et de Corfou — d'où l'appellation occasionnelle de « régime crétois ».<o:p></o:p>
    L'intérêt pour ce type d’alimentation provient d'une recherche (The Seven Countries Study) menée par Ancel Keys dans les années 1950, qui démontrait que, malgré un apport alimentaire élevé en matières grasses et un système de soins de santé relativement rudimentaire, les habitants de ces îles (ainsi que ceux de l’Italie méridionale) jouissaient d'une excellente espérance de vie à l’âge adulte, en plus de présenter un taux de maladies coronariennes très faible.<o:p></o:p>

    Plus tard, le professeur Serge Renaud — découvreur de ce que, en nutrition, on appelle « le paradoxe français » —, publiait une recherche (The Lyon Diet Study) qui révélait que les sujets ayant déjà été victimes d’un premier infarctus et qui adoptaient une alimentation de type crétois avaient un taux d’infarctus et d’accidents vasculaires cérébraux réduit de 75 %, tandis que le groupe soumis seulement à une diète faible en matières grasses ne connaissait qu'une réduction de 25 %.<o:p></o:p>
    Depuis la publication de cette étude dans la très respectée revue médicale The Lancet, en 1994, la popularité de l’alimentation méditerranéenne s’est répandue comme une traînée de poudre dans le monde entier et les études scientifiques ne cessent de prouver son efficacité dans la prévention de nombreuses maladies.<o:p></o:p>
    Mentionnons que les Crétois — qui affichent toujours le taux le plus bas de mortalité cardiovasculaire au monde — mangent encore aujourd’hui de façon traditionnelle, consommant très peu d’aliments importés et transformés.<o:p></o:p>
    Les grands principes<o:p></o:p>

    Les objectifs<o:p></o:p>


    §  Réduction du risque de maladies cardiovasculaires.<o:p></o:p>
    §  Réduction du risque de cancer.<o:p></o:p>
    §  Augmentation de l'espérance de vie.<o:p></o:p>
    §  Amélioration de la santé en général.<o:p></o:p>
    Les grandes lignes<o:p></o:p>

    Ce régime est un tout. Il combine modération alimentaire et grande variété d'aliments (et donc de nutriments) à une vie active au quotidien. Ses principes de base sont faciles à comprendre et à suivre.<o:p></o:p>
    §  Abondance de produits céréaliers complets.<o:p></o:p>
    §  Abondance de fruits et de légumes.<o:p></o:p>

    §  Abondance d'ail, d'oignon, d'épices et d'aromates.<o:p></o:p>
    §  Utilisation de l'huile d'olive comme corps gras.<o:p></o:p>
    §  Consommation quotidienne de légumineuses, de noix et de graines.<o:p></o:p>
    §  Consommation quotidienne de yogourt et de fromage.<o:p></o:p>
    §  Consommation quotidienne, mais modérée, de vin rouge.<o:p></o:p>
    §  Grande consommation de poisson (plusieurs fois par semaine).<o:p></o:p>
    §  Consommation limitée de poulet et d'oeufs (quelques fois par semaine).<o:p></o:p>
    §  Consommation limitée d'aliments sucrés (quelques fois par semaine).<o:p></o:p>
    §  Consommation très limitée de viande rouge (quelques fois par mois).<o:p></o:p>
    §  Apport calorique quotidien raisonnable (de 1 800 à 2 500 calories par jour).<o:p></o:p>
    Les mécanismes d'action<o:p></o:p>

    Allégués<o:p></o:p>
    <o:p></o:p>
    On attribue souvent ses bienfaits à l'apport élevé en acides gras monoinsaturés provenant de l'huile d'olive et à l'apport faible en acides gras saturés. Effectivement, une diète riche en acides gras monoinsaturés réduit les taux de cholestérol total et de mauvais cholestérol (LDL), et augmente celui de bon cholestérol (HDL).<o:p></o:p>
    De plus, on estime que les fruits et légumes en grande quantité procurent une excellente source d'antioxydants qui contribuent à protéger contre les maladies du vieillissement.<o:p></o:p>

    Démontrés<o:p></o:p>
    En réalité, c'est la synergie des nombreux nutriments et phytonutriments présents dans le régime méditerranéen ainsi qu'un mode de vie actif qui contribuent à prévenir les maladies.<o:p></o:p>
    Intégrer seulement quelques-uns des principes et ignorer les autres pourrait ne pas générer les mêmes effets bénéfiques.<o:p></o:p>

    Menu type d’une journée

    Repas du matin<o:p></o:p>
    Pain complet et huile d'olive
    Yogourt de chèvre nature avec miel
    Fruit frais
    Noix<o:p></o:p>
    Repas du midi<o:p></o:p>
    Crudités
    Pois chiches à la coriandre
    Riz sauvage aux petits légumes
    Poire à la cannelle<o:p></o:p>
    Repas du soir<o:p></o:p>
    Crudités
    Sardines
    Salade de légumes au cerfeuil
    Pain complet et huile d'olive
    Un verre de vin<o:p></o:p>

    Avantages et inconvénients<o:p></o:p>

    Satiété et bien-être<o:p></o:p>
    Ce régime propose une bonne variété d'aliments nutritifs non transformés avec lesquels on atteint assez facilement la satiété, ce qui le rend agréable à suivre. Il n'y a pas d'aliments carrément interdits, bien que plusieurs soient à « consommation restreinte ».<o:p></o:p>
    En pratique<o:p></o:p>
    Ses principes de base sont faciles à comprendre et peuvent aisément être appliqués à la maison. Dans les grandes et moyennes villes, si l'on sait choisir son restaurant, il est facile de manger « méditerranéen ». Les choix peuvent être plus limités en région.<o:p></o:p>
    Perte de poids<o:p></o:p>
    Une étude conduite à la faculté de médecine de Harvard a révélé que les personnes soumises à l’alimentation méditerranéenne pendant 18 mois ont perdu plus de poids que les personnes ayant adopté un régime amaigrissant dont la seule caractéristique était d'être faible en gras.<o:p></o:p>
    Attention<o:p></o:p>
    §  <o:p></o:p>Les Méditerranéens profitent d'un ensoleillement à l'année, ce qui leur procure une synthèse devitamine D régulière. Pour les gens des pays nordiques, c'est le lait de vache qui constitue la principale source de cette vitamine. Comme le lait ne fait pas partie du régime, il faut miser sur une forte consommation de poissons gras (surtout saumon, maquereau et sardines) ainsi que sur les yogourts enrichis de vitamine D, ou, à la limite, sur les suppléments. Sinon, une déficience en vitamine D est possible.
    <o:p></o:p>
    §  La consommation de vin peut être adoptée ou pas, selon l'expérience personnelle et l'attitude de chaque individu face à l'alcool. En Crète, on le consomme en petites quantités, avec les repas.<o:p></o:p>
    §  Pour les gens qui n'ont guère l'habitude de consommer de l'huile d'olive, du poisson et des légumineuses, les ajouter à l’alimentation graduellement, en petite quantité à la fois, peut en faciliter l'intégration.<o:p></o:p>

    Le régime méditerranéen est facile à intégrer à son alimentation : il permet une grande liberté dans ses choix alimentaires en plus d'une fraîcheur saisonnière renouvelée.<o:p></o:p>
    L'adopter peut être favorable tant du point de vue de la santé que de la gastronomie. On peut le recommander à toute personne désireuse d'améliorer sa qualité et son espérance de vie.<o:p></o:p>
    Il convient bien aux enfants, car ils sont à l'âge idéal pour établir de saines habitudes de vie.<o:p></o:p>
    Les adolescents peuvent cependant être un peu rébarbatifs devant une alimentation qui s'éloigne du mode alimentaire nord américain : sachez user de patience et de persévérance!<o:p></o:p>
    <o:p> Sources: passeportsanté.net</o:p>
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