• Confiture d'abricots confits à la vanille

    -  1 kg d’abricots très parfumés,
    -  500 grammes de sucre brut,
    -  1 gousse de vanille de la réunion,
    -  1  jus de citron.


    Ouvrir les oreillettons d’abricots, enlever le noyau et couper chaque oreillon en deux.

    Mettre  dans une casserole à fond épais les abricots, le sucre et la jus de citron. Bien mélanger le tout et laisser reposer une nuit dans un endroit frais et sombre.

    Le lendemain, ajouter la gousse de vanille fendue dans la longueur et faire cuire la confiture à feu moyen durant environ 20 minutes en remuant très souvent.

    Quand les abricots se défont et sont caramélisés, sortir la vanille de la casserole et la découper en petits morceaux d'environ. 1 à 2 cm.

    Puis, mettre la confiture dans des bocaux ébouillantés, propres et secs en y glissant un morceau de vanille avant de les fermer en vissant le couvercle.

    Les laisser refroidir la tête en bas !!

     

     

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  • Ailerons de poulet marinés
    Une recette pour les enfants avec une petite purée maison

    Pour 10 ailerons de poulet :

    - 3 cuillères à soupe de soja,
    - 3 cuillères à soupe de miel de mille fleurs liquide,
    - 2 gousses d'ail épluchées,
    - 1 morceau de gingembre de 2 cm environ,
    - 20 grammes de gros sel de cuisine,
    - 7 grammes de poivre noir au moulin.

    Couper les gousses d'ail en petits morceaux sans oublier d'enlever le germe. Idem pour le gingembre après l'avoir pelé.

    Dans un grand plat mettre tous les ingrédients. Bien mélanger.

    Y ajouter les ailerons de poulet et les napper de cette marinade. Mettre au réfrigérateur 2 heures en retournant de temps en temps les ailerons.

    Dans une poêle, mettre de l'huile et y faire dorer le poulet. En fin de cuisson, retirer le poulet et le garder au chaud. Verser la marinade dans la poêle avec 1/2 verre d'eau et la laisser réduire.

    En napper ensuite le poulet et servir  avec une purée de petites rattes pour ma part et une salade de tomate-olivette en entrée.

     

     

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  • Avec l’homme des cavernes, c'est la naissance des sens
    Je vous avais laissé avec cet homme sauvage qui venait de se dresser sur ses pattes de derrière pour, saisir un fruit qu’il porta à sa bouche.

    Les éthnologues que j’ai rencontrés prétendent que ce fut la première grande évolution humaine depuis son apparition sur la terre.

    Depuis l’aube des âges, à poursuivre sa nourriture, l’humanité a tracé les chemins de la connaissance du monde.

    La faim a été le moteur de sa marche en avant. Elle reste d’ailleurs la source de toutes ses énergies, bonnes ou mauvaises, le motif de ses progrès, l’origine de ses conflits, l’alibi de sa conscience et la monnaie de sa peine…

    Autour de l’aliment vont se construire des civilisations, vont se perpétrer des crimes, des guerres, affronter des empires, élaborer des lois, échanger des savoirs.

    Tout le reste n’est que littérature… Cueillette, chasse, sel, céréales, élevage, vin, épices, sucre, pommes de terre ou protéines…Sont autant d’ordre de route qui a boulversé le monde d’étape en étape…. Et tout ça parce qu’un jour un petit homme sauvage se mit debout et utilisa ses membres supérieurs pour mieux se nourrir.

    Cette créature depuis ce jour allait se distinguer dorénavant des autres animaux, les laissant continuer de fouiller leur provende du bout de leur museau.

    Elle se risqua même à ensuite profiter du grand jour pour mieux récolter sa nourriture, alors que jusque-là elle avait préféré l’abri et la protection de la nuit.

    La grande évolution de cette créature ne fut pas d’avoir le réflexe soudain entre l’aliment à atteindre et avalé la bouche ouverte mais le raffinement intentionnel d’un geste calculé issu d’une manipulation coordonnée par la pensée en réponse à un besoin : la faim ou le besoin de se nourrir par la suite.

    Désormais capable de régler son geste au rythme de son appétit, il prit conscience de cet enchaînement de sensations : incitation de la faim, excitation de la récolte, satisfaction d’un manque, la découverte du plaisir, premier enrichissement de la mémoire.

    Se nourrir, un plaisir viscéral devint une démarche intellectuelle lorsque les yeux jusque-là latéraux se déplacèrent vers la base du front.

    La créature due, par la faute de cette évolution se modifier physiquement avant de ressembler à la tête d’un homme tel qu’on la conçoit aujourd’hui.

    Celle-ci, au cours des derniers millions d’années, s’élargissait à mesure de l’importance accrue du crâne.

    Le cerveau s’améliorant en prenant du volume, pouvait parfaitement diriger le regard dans une aire visuelle agrandie, panoramique et désormais perçu en relief comme en profondeur.

    La créature entra physiquement dans un autre cercle de vie, pris une autre dimension, elle se redressa psychiquement.

    Cette nouvelle possibilité de la vue, liée à la facilité de préhension par la définitive spécialisation des mains autant dans leur forme que dans la manière de s’articuler autour de la mobilité des doigts et des phalanges.

    Cette seconde évolution de son physique lui permit une exploration des choses plus poussée, une sécurité accrue donc une meilleure recherche et maîtrise de sa nourriture.

    La mémoire en avait enregistré tout un choix potentiel, mais certaines s’étaient révélées meilleures sous la langue, procurant plus de bonheur.

    Désormais on appréciait ce bonheur nouveau. La créature eut envie de s’en souvenir puis de le répéter.

    Cette sensation inoubliable stimulait la curiosité et le courage, il justifiait de nouvelles expériences et, en fin de compte, développait l’intelligence sans cesse alimentée, elle aussi par de nombreuses informations.

    Le bonheur de la faim agréablement assouvie procura une telle jouissance à notre bipède qu’il ne put, au bout de plusieurs autres millions d’années ou de générations s’empêcher de l’exprimer par un cri.

    Pas n’importe quel cri, un cri spécial, pas un grognement non plus, mais un son articulé, un claquement de lèvres et de la langue satisfaites, mêlé d’un soupir, et qui signifiera à la fois, manger et boire, le sein de la mère, mère, je veux survivre, la vie, c’est bon le phonème Memm,

    Mamm,Mumm fut son premier discours, sa première parole.

    Même nos bébés s’en souviennent…

    Bien entendu, il faut décoder le message tant il a été établi, modifié, d’écho en écho dans le dédale des siècles.

    Ce phénomène MEM, MA devenu le radical BO avec ses variations de  prononciations OUO ou WO,PHO,PO,BA,PA,BI etc…implique non seulement l’action d’avaler, boire et manger dont il imite le bruit par un claquement des lèvres,mais aussi son potentiel, la nourriture, la plante et leur corollaire : La vie.

    Ainsi,on peut s’apercevoir que la plus ancienne signification du vocable botanique est les plantes qu’ils faut avaler pour vivre dans le fonds commun des langues Indo-européennes, dont sont issues les langues sanscrite, indienne grecque, germanique, celte, russe, slave, balte, Romane, iranienne et leurs dérivées.

    Or en étudiant de près les traces d’usure laissées par les particules abrasives des nourritures sur l’émail dentaire de nos ancêtres du quaternaires, le paléontologue peut définir leurs modes d’alimentation.

    De même que les incisives et les canines paraissent de très petite taille par rapport aux molaires et prémolaires qui sont énormes.

    C’est le signe d’une adaptation à une mastication importante de végétaux qu’il faut bien avaler bien écrasés, les traces d’usure des dents portent également la trace de fibres végétales.

    Mais la mémoire de l’homme, que l’on devrait interroger plus souvent, cette mémoire atavique et collective, peut témoigner elle aussi, et en le disant clairement par la parole,que les plantes furent en effet la nourriture première, l’élément de base de l’humanité souvenir peut être des frondaisons de l’arbre originel.

    C’est pour dire (sagen) cela que fut inventé le parler(sprechen)selon la définition d’Heidegger.

    La saga des aliments était commencée, sur le ton de la gourmandise.

    A suivre les premières découvertes et la maîtrise de la mémoire, comment l’homme est devenu gourmand.

    http://www.clickoblog.com/a0a95259e7263beac9cbd0a568c37d7fc

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  • Le grand livre de la nourriture remonte à plus de huit millions d’années.

    L’histoire que je vais vous conter remonte  à plus de 8000000 d’années. L’homme n’était pas encore reconnu comme un bipède. Il marchait à quatre pattes. Il était herbivore et se nourrissait de plantes, d’herbes et de fruits.

    L’homme ne s’intéressait qu’aux seules choses qu’il pouvait voir et se trouvaient au ras du sol.

    Puis, un jour, il eut l’idée de se lever sur ses pattes inférieures et utilisa ses membres supérieurs pour cueillir un fruit qu’il porta à sa bouche.

    Il venait de donner le signe de sa première intelligence, de sa première évolution et par là, de son premier éveil gustatif. Par la suite, il évolua et se différencia plus ou moins rapidement des autres animaux.

    C’est vrai, qu’en se dressant sur ses pattes arrières et en se tenant debout, l’homme atteignît une plus grande hauteur et augmenta la largeur, la hauteur et la profondeur de son champ visuel.

    Il pouvait atteindre les fruits qui pullulaient sur les branches des arbres, choisir ceux qu’il aimait, voir les oiseaux dans le ciel et imaginer la chasse, l’homme allait pouvoir démarrer ses premières évolutions.

    Son intelligence allait le faire évoluer et le simple fait de choisir sa nourriture montrait que son intelligence s’éveillait et que déjà les premières mémoire du goût s’installaient dans le cerveau des hommes et elle n’allait plus jamais cesser de croître.

    Je vais plusieurs fois par semaines, conter cette longue histoire qui nous fera découvrir celle qui débuta avec la nuit des temps. Nous découvrirons l’ère glaciaire, l’âge de pierre, de fer pour arriver dans ce que les historiens appellent aujourd’hui l’ère moderne qui ne dure que depuis 6000 ans.

    L’histoire du monde n’a vécu que de ses propres histoires, j’essayerai de vous les faire découvrir, de vous les faire aimer et  j’espère que’elles seront appréciées.

    Demain nous partirons à la rencontre  de cette civilisation en devenir…à suivre

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  •  Purée maison

    Difficulté :
    Facile en 30 minutes,
    dont 20 minutes de cuisson

    Courses pour 6 personnes
      -  1 kg de pommes de terre rattes,
      -  100 grammes de beurre,
      -  10 grammes de sel fin de cuisine,
      -    5 grammes de poivre noir  au moulin
      -    3 grammes de muscade râpé.

     Matériel
        - Une grande casserole
        - Un presse-purée ou une fourchette
        - Un égouttoir
        - Un plat de service

    Recette
    Laver les pommes de terre.

    Faire bouillir une belle quantité d'eau salée et  y plonger les pommes de terre.

    Lorsqu'elles sont cuites, les piquer avec un couteau pointu, puis les égoutter et les éplucher quand elles sont encore tièdes.

    Les mettre dans un plat et les écraser au presse-purée ou à défaut à la fourchette.

    Incorporer peu à peu le beurre jusqu'à l'obtention de la consistance voulue.

    Saler, poivrer et râper dessus un peu de muscade.

    Servir chaud immédiatement

    Trucs et astuces
    Ne pas utiliser de mixer ou de robot, car la force centrifuge et l’amidon transformeraient la purée en une bouillie collante immangeable.

    La purée se réchauffe mal, s’il vous reste de la purée à réchauffer utilisez plutôt les micro-ondes, le bain-marie ou le four, mais un soufflet  de pomme de terre ferait très bien l’affaire

    Vin d'accompagnement
    Le vin dépendra de la viande ou du poisson qu'elle accompagne.

    Mais un vin rouge de type Saint-émilion fera en général un bon accompagnateur.

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