• Temps de préparation : 30 minutes
    • Cuisson : 40 minutes
    • Difficulté: Facile
    • Coût: Pas cher
    • Recette pour 6 personnes
    Ingrédients pour la Recette de Gratin de Panais, 
    Poireaux, Carottes et Pommes de terre :

    • 500 grammes de panais,
    • 500 grammes de blancs de poireaux,
    • 500 grammes de pommes de terre,
    • 500 grammes de carottes,
    • 1 grand pot de crème fraîche épaisse allégée facultatif,
    • 2 cuillères à café de moutarde forte,
    • 125 grammes de parmesan grossièrement rapé,
    • 3 pincées de Cannelle,
    • 4 pincées de sel fin de cuisine,
    • 2 pincées de poivre noir en grains moulus au moulin.


    Réalisation pour la Recette de Gratin de Panais, 
    Poireaux, Carottes et Pommes de terre :
    1. Préchauffer le four à 200°C ou th 7.
    2. Après les avoir épluchés, couper les pommes de terre, 
    3. les panais et les carottes en rondelles.
    4. Les plonger 5 minutes dans de l'eau bouillante et salée. 
    5. Les mettre à refroidir et égoutter soigneusement.
    6. Faire revenir les poireaux coupés dans l'huile d'olive.
    7. Mélanger la crème, la moutarde.
    8. Ajouter la cannelle, le sel et le poivre.
    9. Bien mélanger avec tous les légumes.
    10. Répartir dans des petits ramequins beurrés, 
    11. Les saupoudrer de parmesan rapé.
    12. Les mettre au four pendant 40 minutes.





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  • En faisant ma revue de presse, j'ai redécouvert cet article. Oh, qu'il est juste et bien vu. C'est la sagesse qui nous fait Roi, inspirons nous de cette vérité première, tout y est encore aujourd'hui et je n'ai rien à y ajouter.


    Sus à l’élitisme convenu et aux cotations bien pensées, il faut boire ce que l’on aime sans préjugés. Après quoi, on peut lire l’étiquette. 

    Savoir-boire:
    un vin s’essaye à table, en mangeant. Et il se juge au plaisir ressenti.
    Fallait-il chambrer le 2006 ? 
    Décidément, quelque chose a basculé dans ce pays. Une lueur scintille dans le regard des oenophiles de services : ça y est, le vin remplace la politique à table, la France est sauvée ! Sujets sérieux pour esprits fins, la connaissance des vignobles et l’art de déguster sont aujourd’hui des critères culturels reconnus par la société. 
    Le savoir-boire s’inscrit dans la liste du savoir-vivre. 
    On choisit désormais une bouteille avec le même soin que s’il s’agissait d’un livre ou d’un film. Là où un expert en économie ou un érudit en histoire peuvent tenir une assistance en haleine, c’est souvent le connaisseur en vins qui anime la soirée.
    Régle n°1 en matière de choix du vin : 
    S’émanciper de tout élitisme. Clamons-le-haut et fort : buvez ce que vous aimez ! Émancipez-vous des dictateurs d’étiquette et laissez-vous prescrire du plaisir.
    Régle n°2 : le vin est une boisson de table, pas un enjeu de concours.
    Il ne doit jamais être bu pour lui-même, hormis à l’apéritif, et participe de l’acte alimentaire, au même titre que les plats, en lui donnant une quatrième dimension. Rien n’étant plus sublime en gastronomie que le mariage entre un mets et un vin, une simple sardine à l’huile en harmonie avec un verre de muscadet, tempérés par du pain et du beurre, valent tous les foies gras et caviars de la Terre. Ne pas se prendre le chou, ni se curer la bourse, à l’heure d’opter pour le flacon magique : on goûte d’abord. 
    La définition du bon vin obéit à un principe intangible : la redemande. 
    Qu’est-ce qu’un premier cru ? Un vin dont on reboirait bien un second verre. Et un grand cru ? Un vin dont on reprendrait bien une autre bouteille.

    Le nez et le palais, avant tout !
    Aussi est-il urgent de se libérer des cotations de l’université bachique. On n’achète pas une paire de chaussures en fonction de sa valeur sur une échelle de prestige, mais parce qu’elle plaît et qu’elle va bien aux pieds, à un prix entendu. Idem pour le vin. 
    La note donnée par le guide ” Dubouchon “, la revue ” Grangoulot ” ou le ” Spécial enfoirés du vin ” à telle star de la grappe, on s’en tape. Même s’il est des domaines sublimes, nous ne sommes pas des buveurs d’étiquettes. Cette littérature est utile pour connaître la géographie des appelations, les méthodes de vinification, la diversité des cépages et les étapes de la dégustation. 
    Pour le reste, le pif et le palais, sur des bases strictement personnelles, comme en amitié. Acheter et tester, puis décider en toute sérénité. Ne jamais repartir d’une foire aux vins le chariot chargé de cartons à la seule considération du morceau de papier collé sur la bouteille.
    Un vin, ça s’essaye à table, en mangeant. Et ça se juge au plaisir ressenti. C’est un jeune paysan à 5€ ? Youpi ! Un bourgeois gentilhomme à 15€ ? Bravo ! Un beau seigneur à 45€ ? Hourra !
    Est-il vif, structuré, puissant, charnu, soyeux, élégant et racé ? Tant mieux pour ceux qui apprécient ces nuances. Que ceux que ce jargon pourrait complexer se rassurent, ils y viendront d’eux-mêmes en comprenant pourquoi ils préfèrent tel vin à tel autre.
    Celui qui est heureux avec son Côtes du Rhône, son beaujolais et son 
    Saint-Pourçain n’a de leçon à recevoir de personne. Aucun banquier n’est digne de lui remplir sa cave.
    Le coeur a ses raisins que la raison ne connaît pas.
    L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec 
    modération.
















    En faisant ma revue de presse, j'ai découvert cet article de Mariane. Oh, qu'il est juste et bien vu. C'est la sagesse qui nous fait Roi, inspirons nous de cette vérité première, tout y est.


    Sus à l’élitisme convenu et aux cotations bien pensées, il faut boire ce que l’on aime sans préjugés. Après quoi, on peut lire l’étiquette. 

    Savoir-boire:
    un vin s’essaye à table, en mangeant. Et il se juge au plaisir ressenti.
    Fallait-il chambrer le 2006 ? 
    Décidément, quelque chose a basculé dans ce pays. Une lueur scintille dans le regard des oenophiles de services : ça y est, le vin remplace la politique à table, la France est sauvée ! Sujets sérieux pour esprits fins, la connaissance des vignobles et l’art de déguster sont aujourd’hui des critères culturels reconnus par la société. 
    Le savoir-boire s’inscrit au savoir-vivre. 
    On choisit désormais une bouteille avec le même soin que s’il s’agissait d’un livre ou d’un film. Là où un expert en économie ou un érudit en histoire peuvent tenir une assistance en haleine, c’est souvent le connaisseur en vins qui anime la soirée.
    Régle n°1 en matière de choix du vin : 
    S’émanciper de tout élitisme. Clamons-le-haut et fort : buvez ce que vous aimez ! Émancipez-vous des dictateurs d’étiquette et laissez-vous prescrire du plaisir.
    Régle n°2 : le vin est une boisson de table, pas un enjeu de concours.
    Il ne doit jamais être bu pour lui-même, hormis à l’apéritif, et participe de l’acte alimentaire, au même titre que les plats, en lui donnant une quatrième dimension. Rien n’étant plus sublime en gastronomie que le mariage entre un mets et un vin, une simple sardine à l’huile en harmonie avec un verre de muscadet, tempérés par du pain et du beurre, valent tous les foies gras et caviars de la Terre. Ne pas se prendre le chou, ni se curer la bourse, à l’heure d’opter pour le flacon magique : on goûte d’abord. 
    La définition du bon vin obéit à un principe intangible : la redemande. 
    Qu’est-ce qu’un premier cru ? Un vin dont on reboirait bien un second verre. Et un grand cru ? Un vin dont on reprendrait bien une autre bouteille.

    Le nez et le palais, avant tout !
    Aussi est-il urgent de se libérer des cotations de l’université bachique. On n’achète pas une paire de chaussures en fonction de sa valeur sur une échelle de prestique, mais parce qu’elle plaît et qu’elle va bien aux pieds, à un prix entendu. Idem pour le vin. 
    La note donnée par le guide ” Dubouchon “, la revue ” Grangoulot ” ou le ” Spécial enfoirés du vin ” à telle star de la grappe, on s’en tape. Même s’il est des domaines sublimes, nous ne sommes pas des buveurs d’étiquettes. Cette littérature est utile pour connaître la géographie des appelations, les méthodes de vinification, la diversité des cépages et les étapes de la dégustation. 
    Pour le reste, le pif et le palais, sur des bases strictement personnelles, comme en amitié. Acheter et tester, puis décider en toute sérénité. Ne jamais repartir d’une foire aux vins le cahriot chargé de cartons à la seule considération du morceau de paier collé sur la bouteille.
    Un vin, ça s’essaye à table, en mangeant. Et ça se juge au plaisir ressenti. C’est un jeune paysan à 5€ ? Youpi ! Un bourgeois gentilhomme à 15€ ? Bravo ! Un beau seigneur à 45€ ? Hourra !
    Est-il vif, structuré, puissant, charnu, soyeux, élégant et racé ? Tant mieux pour ceux qui apprécient ces nuances. Que ceux que ce jargon pourrait complexer se rassurent, ils y viendront d’eux-mêmes en comprenant pourquoi ils préfèrent tel vin à tel autre.
    Celui qui est heureux avec son côtes-du-rhône, son beaujolais et son saint-pourçain n’a de leçon à recevoir de personne. Aucun banquier n’est digne de lui remplir sa cave.
    Le coeur a ses raisins que la raison ignore.
    L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.

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    • Temps de préparation : 20 minutes
    • Temps de cuisson : 25 minutes
    • Difficulté : Facile
    • Coût : Pas cher 

    Les ingrédients de la Recette de la Quiche lorraine comme autrefois<o:p></o:p>
    • 1 rouleau de pâte brisée ou feuilletée.
    • Elle prenait l’une ou l’autre en fonction de ce qu’elle avait dans son réfrigérateur,
    • 250 grammes de lardons,
    • 3 œufs extra frais.
    • 1/2 litre de lait ou 250 grammes de crème fraîche,
    • 100 grammes de gruyère râpé,
    • 4 pincées de sel fin de cuisine,
    • 1 pincée de poivre noir moulu au moulin.

        Quiche lorraine comme autrefois<o:p></o:p>
    1. Mettre les lardons dans une poêle.
    2. Les faire dorer. 
    3. Pendant ce temps, prendre le plat à tarte.
    4. Mettre au fond un papier sulfurisé. 
    5. Dérouler la pâte feuilletée dans son plat. 
    6. Casser les 3 œufs dans un saladier.
    7. Prendre un fouet pour les battre énergiquement.
    8. Ajouter environ 1/2 litre de lait.
    9. Saler et poivrer légèrement.

    Mise en forme de la Quiche lorraine.
    1. Prendre un plat allant au four.
    2. Y déposer les lardons bien dorés.
    3. Les recouvrir des œufs battus avec le lait.  
    4. Mettre du gruyère râpé au-dessus de la quiche lorraine avec une noisette de beurre.

    La cuisson
    1. Mettre ensuite la quiche dans le four  préchauffé à 200°ou th 7
    2. Attendre 20 minutes pour que la quiche lorraine soit cuite.
    3. Servir la quiche lorraine avec une bonne salade.

    Les variantes



    1. Remplacer le lait par de la crème fraîche liquide ou épaisse.
    2. Remplacer les lardons par des morceaux d'andouille de vire ou d'ailleurs pour faire une quiche normande.
    3. Remplacer par du jambon basque pour une quiche basque.
    4. Remplacer par du jambon blanc pour une quiche au jambon.
    5. Remplacer par du saucisson à l'ail pour une quiche au saucisson à l'ail
    6. Remplacer par des rillettes de Tours pour une quiche tourangelle
    7. On peut ainsi aller très loin et même faire des quiches aux légumes voir aux poissons
    8. ou crustacés.
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  • Paulo votre Ami sommelier conseil
    Après  les  mots  du  nez,  des yeux  voici  ceux  de  la  bouche  sélectionnés  par  notre  ami  Paulo  notre  sommelier. Ils  sont  beaucoup   plus   nombreux  que  les  précédant  car  ils  ex priment  par  le  détail   le ressentit  de  ces  élixirs  que  nous  nous délectons   de   goûter.  Merci  Paulo.



    Friand 

    Se dit d’un vin frais et fruité.<o:p></o:p>

    Fruitée <o:p></o:p>

    Famille aromatique qui regroupes les odeurs de fruits frais et d’agrumes.<o:p></o:p>

    Gazéifié<o:p></o:p>

    Désigne un vin rendu effervescent en ajoutant du gaz carbonique.<o:p></o:p>

    Généreux <o:p></o:p>

    Se dit d’un vin qui est riche en alcool mais pas fatiguant, contrairement à un vin capiteux.<o:p></o:p>

    Glissant <o:p></o:p>

    Se dit d’un vin souple et agréable, qui est facile à boire et glisse bien dans la bouche. Synonyme de gouleyant et de coulant.<o:p></o:p>

    Gouleyant <o:p></o:p>

    Se dit d’un vin souple et agréable, qui est facile à boire et glisse bien dans la bouche. Synonyme de coulant et de glissant.<o:p></o:p>

    Gras<o:p></o:p>

    Se dit d’un vin qui est souple moelleux et souple. Synonyme d'onctueux.<o:p></o:p>

    Grossier<o:p></o:p>

    Désigne un vin sans qualité.<o:p></o:p>

    Harmonieux<o:p></o:p>

    Qualifie un vin dont les caractères vont au-delà de l’équilibre pour atteindre une sensation très agréable.


    Jeune <o:p></o:p>

    Se dit d’un vin de l'année déjà à son optimum ou un vin qui a passé sa première année mais qui n’a pas encore développé toutes ses qualités.<o:p></o:p>

    Léger <o:p></o:p>

    Qualifie un vin peu coloré et peu corsé, il est donc léger en alcool mais équilibré et agréable.<o:p></o:p>

    Lie <o:p></o:p>

    Désigne le dépôt jaunâtre ou rougeâtre qui se dépose au fond de la cuve ou du tonneau. Elle peut être retirée ou préservée pour enrichir le vin en arômes et conserver un aspect perlant.<o:p></o:p>

    Liquoreux <o:p></o:p>

    Terme qui désigne les blancs les plus doux et dont la teneur en sucre est élevée.<o:p></o:p>

    Long <o:p></o:p>

    Qualifie un vin dont les arômes laissent une sensation agréable en bouche qui persiste après la dégustation. On dit alors du vin qu’il a une bonne longueur<o:p></o:p>

    Lourd <o:p></o:p>

    Qualifie un vin très épais et chargé en alcool.<o:p></o:p>


    Mâche (avoir de la) <o:p></o:p>

    Se dit d’un vin qui a tellement de corps et de chair en bouche qu’il donne l’impression qu’il pourrait être mâché.<o:p></o:p>

    Madérisé <o:p></o:p>

    Qualifie un vin blanc qui a pris une couleur ambrée en vieillissant et en s’oxydant, ainsi qu’un goût qui rappelle celui du madère.<o:p></o:p>

    Maigre <o:p></o:p>

    Qualifie un vin qui est tannique et sans corps.<o:p></o:p>

    Minérale <o:p></o:p>

    Famille aromatique qui regroupe les arômes de terroirs, de silex, de poudre, de mine de crayon, de calcaire…<o:p></o:p>

    Moelleux <o:p></o:p>

    Se dit d’un vin généralement blanc et doux qui se situe entre les vins secs et les vins liquoreux. Un vin moelleux est onctueux et donne une sensation de velours en bouche. On dit aussi d’un vin gras et peu acide qu’il est moelleux.<o:p></o:p>

    Mou <o:p></o:p>

    Se dit d’un vin qui manque un peu d'acidité.<o:p></o:p>

    Moustillant <o:p></o:p>

    Qualifie un vin légèrement effervescent<o:p></o:p>

    Nerveux <o:p></o:p>

    Se dit d’un vin très sec avec une légère pointe d’acidité.<o:p></o:p>

    Net <o:p></o:p>

    Qualifie un vin franc dont les caractères bien définis.<o:p></o:p>

    Neutre <o:p></o:p>

    Qualifie un vin qui n’a pas de personnalité.<o:p></o:p>

    Onctueux <o:p></o:p>

    Qualifie un vin qui se montre agréablement rond, moelleux et gras.<o:p></o:p>

    Ouvert <o:p></o:p>

    Désigne un vin qui est épanoui et prêt à boire.<o:p></o:p>

    Oxydé <o:p></o:p>

    Qualifie un vin dont la couleur et les arômes ont été altérés par l’influence souvent néfaste de l’oxygène.<o:p></o:p>

    Perlant <o:p></o:p>

    Qualifie un vin qui est légèrement pourvu en gaz carbonique et produit des petites bulles. Un vin perlant est moins effervescent qu'un vin pétillant et un vin mousseux.<o:p></o:p>

    Persistance <o:p></o:p>

    Impression positive caractéristique des bons vins ou certains caractères, comme la saveur ou les arômes, sont encore présents en bouche après la dégustation du vin.<o:p></o:p>

    Pétillant <o:p></o:p>

    Se dit d’un vin légèrement effervescent, moins qu’un vin mousseux mais plus qu’un vin perlant.<o:p></o:p>

    Petit <o:p></o:p>

    Qualifie un vin décevant, ou bien un vin aimable et familier.<o:p></o:p>

    Piqué <o:p></o:p>

    Se dit d’un vin qui est atteint d’acescence, une maladie du vin.<o:p></o:p>

    Plat <o:p></o:p>

    Qualifie un vin sans arôme ni acidité.<o:p></o:p>

    Plein <o:p></o:p>

    Qualifie un vin ample qui donne en bouche une sensation de plénitude et qui a les qualités requises pour un bon vin.<o:p></o:p>

    Prêt <o:p></o:p>

    Qualifie un vin dont l'évolution est achevée et qui est prêt à être bu<o:p></o:p>



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    • Temps de préparation : 30 minutes
    • Temps de cuisson : 10 minutes
    • Difficulté : Difficile
    • Budget : Budget moyen
    • Recette pour 4 personnes
    Ingrédients pour la recette de Bricks au chou rouge et au poivron<o:p></o:p>

    • Vinaigrette au gingembre,
    • 4 feuilles de brick,
    • 100 grammes de poivron vert,
    • 400 grammes de chou rouge,
    • 50 grammes d'olives vertes,
    • 100 grammes de raisins secs,
    • 4 oeufs extra-frais,
    • 4 pincées de sel fin de cuisine.
    Préparation de la Recette de  Bricks au chou rouge et au poivron
    1. Placer les raisins secs dans un ramequin.
    2. Le couvrir d'eau tiède,
    3. Laisser gonfler les raisins secs 15 minutes à l’eau tiède.
    4. Les égoutter au moment de s’en servir.
    5. Enlever les feuilles abîmées du chou.
    6. Le laver.
    7. Le rincer au vinaigre.
    8. L’égoutter.
    9. Enlever le coeur dur.
    10. Puis, enlever les grosses côtes.
    11. Les couper en lanières.
    12. Éplucher l'échalote.
    13. La rincer sous l'eau .
    14. La ciseler grossièrement ou la couper en rondelles.
    15. Placer les oeufs dans une casserole.
    16. Les couvrir d'eau.
    17. Les cuire 10 minutes.
    18. Refroidir les oeufs sous l'eau froide glacée.
    19. Les écaler ou les éplucher.
    20. Les couper en rondelles.
    21. Dénoyauter les olives.
    22. Les couper en rondelles.
    23. Ouvrir le poivron.
    24. Le rincer sous l'eau.
    25. Le couper en fines lanières.
    26. Enlever délicatement le papier de protection de la feuille de brick.
    27. Lier la feuille de brick avec une ficelle de cuisine comme pour former des aumônières.
    28. La passer au micro-ondes 1 à 2 minutes à 900W pour la faire durcir. Surveiller à mi cuisson car elles peuvent se colorer très vite.
    29. La sortir du micro-ondes.
    30. Couper la ficelle.
    31. Dans les feuilles de brick, ajouter les olives et les raisins secs.
    32. Puis, y mettre les rondelles d'oeufs durs.
    33. Placer ensuite le poivron et le chou rouge.
    34. Servir la vinaigrette dans des ramequins.





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