• Chataigne
    Cette reine ne se contente pas d'être belle et délicieuse, elle est aussi bienfaisante

    et révèle de formidables valeurs nutritionnelles et atouts santé.


    La châtaigne c'est bon pour le tonus ! Sa valeur énergétique est comparable à celle
    des céréales, soit 180 calories aux 100 g.



    En outre, elle est exceptionnellement riche en sucres lents (glucides) qui présentent l'intérêt de libérer progressivement leur énergie. Elle est donc excellente pour les sportifs et la résistance à l'effort.

    Ses lipides sont constitués pour les 2/3 d'acides gras insaturés qui sont les plus satisfaisants pour la prévention des maladies cardio-vasculaires. 



    De plus, ses modes habituels de préparation (grillée, ou cuite à la vapeur ou à l'eau) ne nécessitent pas l'adjonction de matières grasses !

    Ses protéines, accompagnées par un laitage, donne un équilibre alimentaire parfait

    Une richesse minérale remarquable : la châtaigne est particulièrement
    généreuse en potassium et magnésium (aide à lutter contre le stress et la fatigue).
    Elle apporte également des quantités appréciables de calcium et de fer, ainsi que de
    nombreux oligo-éléments. La châtaigne est donc un élément minéralisant
    d'un intérêt certain.


    Son apport en 
    vitamines E, B, et C représente au moins 10% des apports recommandés quotidiennement à un adulte (pour 100 g de châtaigne fraîche). 


    100 g de châtaignes contiennent autant de vitamines C que 100 g de citron.


    Enfin, la châtaigne est totalement dénuée de gluten et peut être consommée ainsi par les personnes atteints de la maladie coeliaque (intolérance au gluten).

    Source : aprifel
    Vitamines(mg)
    Vitamine C (ac.ascorbique)27.00
    Provitamine A (carotène)0.020
    Vitamine B1 (thiamine)0.200
    Vitamine B2 (riboflavine)0.200
    Vitamine B3 ou PP (nicotinamide)0.900
    Vitamine B5 (ac.panothénique)0.500
    Vitamine B6 (pyridoxine)0.300
    Vitamine B8 (biotine)0.001
    Vitamine B9 ( ac.folique)0.140
    Vitamine E( tocophérols)1.200
      
    Apports énergétiques 
    Kcalories180.0
    Kjoules752.0
     
    Composants(g)
    Glucides38.0
    Protides2.6
    Lipides2.0
    Eau50.8
    Fibres alimentaires5.0
     
    Minéraux(mg)
    Potassium600.000
    Phosphore85.000
    Calcium33.000
    Magnèsium45.000
    Sodium7.000
    Chlore13.000
    Fer1.300
    Cuivre0.250
    Zinc0.200
    Manganèse0.750
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  • Pyramide des aliments

    ANC, AJR, RNJ… Apprenez à déchiffrer les étiquettes

    Apports nutritionnels conseillés, apports journaliers recommandés, Repères nutritionnels journaliers, GDA. pas facile d'y voir clair et de savoir ce qu'il faut manger pour éviter les carences. Surtout quand de nombreux aliments prétendent couvrir une partie de vos besoins. Voici de quoi réellement apporter à votre organisme ce dont il a besoin.

    Notre organisme a besoin de nombreux éléments pour fonctionner : vitamines minéraux, énergie.. La majeure partie est apportée par l'alimentation. Comment connaître exactement les quantités nécessaires ? Il existe des indicateurs : les fameux Apports nutritionnels conseillés (ANC).

    Un repère nécessaire

    Les apports nutritionnels conseillés, ou ANC, sont définis régulièrement par l'Agence Française de sécurité sanitaire des aliments (AFSSA). Les derniers datent de 2001. Ils donnent une valeur pour différents nutriments (calcium, iode, fer, etc.) nécessaires pour les femmes, les hommes, les seniors, les enfants, les ados. 

    A quoi correspondent-ils ? 

    Ce ne sont pas des valeurs exactes mais des repères nutritionnels pour la population, qui indiquent les quantités qu'il est souhaitable d'atteindre pour être absolument sûr de couvrir ses besoins. Un peu comme lorsqu'on vous dit qu'il faut dormir 8 huit heures par jour. C'est vrai en général et permet de situer les besoins, mais dans les cas particuliers, chacun va avoir une durée de sommeil spécifique autour de cette valeur. L'Afssa détermine les valeurs proposées en les situant un peu au-dessus de la moyenne, pour permettre de couvrir les besoins de 97,5 % de la population. Ce qu'il faut retenir : si vous respectez les ANC, aucun risque de carence. Par contre, si vous vos apports sont inférieurs aux 2/3 des ANC, vous risquez des déficits plus ou moins importants.

    Apports journaliers recommandés

    Tout ça c’est bien beau mais sur les produits, vous trouvez plus souvent des Apports journaliers recommandés (AJR) que des ANC. 

    Quelle différence ? 

    Les AJR concernent un nutriment particulier, et la valeur est encore moins précise que les ANC : il s’agit d’une valeur moyenne qui est indépendante de l’âge ou du sexe, et qui est censé convenir aussi bien à une femme enceinte qu’à un senior.  

    Les chiffres sont d’ailleurs légèrement inférieures à celles des ANC en général : plus faciles à atteindre, mais moins adaptés. Mais les AJR ont le mérite de donner une vision concrète des nutriments apportés par un produit. Et donc de voir comment celui-ci s’inscrit dans l’équilibre alimentaire. Si vous respectez les AJR, a priori pas de risque de souffrir de carence. A noter : tous les nutriments n’ont pas à être apportés impérativement toutes les 24 heures. Inutile d’essayer de respecter à la lettre tous les AJR quotidiennement. On  peut rattraper les jours suivants un "déficit", l’équilibre se faisant plus sur la semaine.

    Repères Nutritionnels Journaliers

    Sur certains emballages de produits alimentaires, on trouve des références aux Repères Nutritionnels Journaliers ou RNJ (Guideline Daily Amounts ou GDA en anglais).

    Ces RNJ ont été établis par un groupe de travail de la CIAA (Confédération Européenne des Industriels de l’Alimentaire et de la Boisson), incluant des experts reconnus en nutrition, sur la base des données scientifiques publiées sur les besoins nutritionnels Dans le détail, les emballages indiquent la contribution aux RNJ de l’aliment, en ce qui concerne les apports énergétiques mais aussi les teneurs en sucres, lipides, acides gras saturés et sodium (ou sel). Des nutriments qu’il est essentiel de ne pas consommer en excès ou de manière desequilibrée.. Dans les deux prochaines années, plus de 5000 produits alimentaires verront  figurer ces RNJ.

    Sources: doctissimo
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  • Artichaut




    Artichaut (Cynara scolymus) 
    L’artichaut était à l’origine un chardon sauvage, qui sous l’influence de croisements est devenu la plante que nous connaissons aujourd’hui.
    C’est à partir du XVème siècle que l’artichaut a été vanté par différents auteurs. Les horticulteurs italiens de l'époque de la Renaissance le développèrent et lui permirent un essor sur le reste de l'Europe.
    Ce légume est probablement originaire du bassin méditerranéen, de la région de Carthage (Tunisie).

    ☞    Qualités alimentaires et vertus thérapeutiques :
    -    On reconnaît à l’artichaut la propriété de stimuler l’appétit et d’augmenter la diurèse. Il favorise les fonctions d’élimination (surtout urinaire) et intestinale en raison de sa richesse en fibres.
    -    L’artichaut est riche en vitamines A, B1 et B9 ainsi qu’en inuline, substance énergétique se dédoublant facilement en saccharose et convenant parfaitement aux diabétiques. On y trouve aussi de la tyrosinase, substance précieuse convoyeuse d’oxygène et de la cynarine anti-rhumatismale. Il est riche en potassium (K), phosphore (P), sodium (Na), fer (Fe) et manganèse (Mn).
    -    Les branches crues offrent de nombreuses vertus contre les oedèmes, la rétention d'eau, la cellulite, les lithiases rénales, l'urée.
    -    L’artichaut a la propriété de renforcer la fonction antitoxique du foie et de tonifier la cellule hépatique (grâce à la cynarine qu’il contient). Il purifie le sang, abaisse le taux d’urée et de cholestérine.
    -    Il serait aphrodisiaque et fébrifuge.
    -    C’est un aliment alcalinisant qui rééquilibre les effets acidifiants d’une alimentation trop carnée.
    -    L'artichaut est un élément clé de la cure printanière.

    ☞    États et troubles de santé pouvant bénéficier de l’artichaut :
    -    Diarrhée (il exerce une action désinfectante pouvant stopper le processus diarrhéique).
    -    Constipation dûe à une insuffisance hépatique.
    -    Jaunisse. Crise de foie. C'est un tonique des fonctions hépatiques.
    -    Troubles de la vésicule biliaire, calculs biliaires, migraine digestive.
    -    Rhumatisme. Arthritisme.
    -    Cholestérol sanguin. Hypertension.
    -    Présence d’urée, d’acide urique et de goutte.
    -    Artériosclérose.
    -    Inappétence
    -    Fatigue, asthénie, croissance.
    -    Intoxication intestinale.
    -    Ballonnements. État pléthorique.
    -    Cirrhose, alcoolisme.
    -    Insuffisance rénale. Hydropisie (accumulation pathologique de sérosités dans l'abdomen).
    -    Cystite chronique ou aigüe (utiliser le jus, très diurétique).
    -    Fièvre.
    -    Surmenage, énervement, anxiété
    -    Paludisme : décoction de feuilles.
    -    Diabète d'origine hépatique. Hyperglycémie.
    -    Les bractées crues offrent de nombreuses vertus contre les oedèmes, la rétention d'eau, la cellulite, les lithiases rénales, l'urée.
    -    Pleurésie : décoction de feuilles.
    -    Contre-indication : chez les femmes allaitantes (anti-galactogène).

    ☞    Modes de consommation :
    -    L'artichaut doit être bien lavé. Éventuellement le tremper 10 mn dans de l'eau vinaigrée puis le rincer avant de le préparer
    -    On peut le consommer cru lorsqu’il est jeune et tendre, à condition de le mâcher soigneusement
    -    La feuille de l’artichaut (en décoction) éclaircit le teint, réveille l’appétit, augmente la diurèse et agit comme un laxatif
    -    Cuit, l’artichaut s’oxyde rapidement. Il a perdu beaucoup de ses propriétés et peut donner naissance à des composés toxiques
    -    Il doit être consommé immédiatement, sinon il y a un risque de développement rapide de Bacillus prodigiosus qui laisse apparaître des taches bleu-verdâtre et peut provoquer des crampes d’estomac, des douleurs intestinales et de la diarrhée.
    -    Consommé en grandes quantités, il peut provoquer des ballonnements.
    -    La feuille peut être utilisée comme cataplasme pour calmer  l'urticaire, l'eczéma, certaines formes de prurit infantile.
    -    Certains nutritionnistes recommandent de consommer l'eau de cuisson comme bouillon agrémenté d'un filet de jus de citron.

    ☞    Conservation :
    -    Cru, il se conserve quelques jours au réfrigérateur. Pour prolonger sa conservation, recouper légèrement sa tige, le tremper dans de l'eau sucrée et le recouvrir d'un linge humide.
    -    Éviter de le conserver (même au frais) après cuisson.

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  • Muscade  (Myristica fragrans) 



    Le muscadier qui produit la noix de muscade provient des îles Moluques (Indonésie). Il est surtout cultivé à Java, Bornéo, Sumatra, Madagascar, l'île de Grenade et autres régions tropicales.

    ☞    Qualités alimentaires et vertus thérapeutiques :

    -    Contient de la myristicine, une substance aux effets euphorisants qui procure la gaieté, mais qui à fortes doses provoque des troubles neuro-psychiques graves.
    -    Selon l’école de Salerne (la plus célèbre école de médecine du Moyen-Âge) : Unisa nux prodest, nocet altera, tercia necat («une noix est salutaire, une seconde nuit, une troisième tue»). À consommer avec modération*
    -    Stimulant aromatique des voies digestives.
    -    Antirhumatismal. Antifatigue.
    -    Les Hindous s’en servent comme masticatoire pour provoquer la salivation.
    -    Facilite la digestion des féculents et des matières grasses.
    -    Antiseptique des voies intestinales (neutralise les fermentations, évacue gaz et gargouillis).
    -    Elle contient un corps gras, le "beurre de muscade" qui adoucit les muqueuses. 

    ☞    États et troubles de santé pouvant bénéficier de la muscade :
    -    Flatulence, dyspepsie. Hoquet.
    -    Asthénie physique et intellectuelle.
    -    Palpitations.
    -    Diarrhée chronique.
    -    Calculs rénaux.
    -    Insomnie.
    -    Pneumonie.
    -    Sécheresse des muqueuses.
    -    Douleurs rhumatismales.
    -    Névralgie dentaire : frictionner la région douloureuse avec la muscade râpée et de l’huile de ricin.
    -    Tendance à l'évanouissement.
    -    Selon la tradition ancienne, la noix de muscade purifie tous les sens et confère une bonne intelligence.

    ☞    Utilisations culinaires :

    -    Épice à saveur amère et piquante utilisée pour des plats au goût peu prononcé ou délicat.
    -    Sauce béchamel, ragoût, fondues, coquillages, saucisses, pâtés.
    -    S'associe avec épinards, chou-fleur, navet ; s'ajoute aux omelettes, aux féculents.
    -    Enfin, on l'utilise dans les sauces à poisson, les sauces à viande, les purées de pommes de terre, les quiches, le gratin dauphinois.
    -    S'emploie dans le vin chaud et les boissons revigorantes.
    -    La noix de muscade est indispensable dans le pain d'épices, les biscuits et les gâteaux aux fruits, la tarte aux pommes, la confiserie.
    -    La cosmétique adjoint la muscade aux crèmes, savons, huiles capillaires, parfums...
    -    La muscade s’harmonise bien avec le poivre, le laurier, la girofle et la cannelle.
    -    La noix de muscade fait partie des composants de l'élixir de la joie de Ste Hildegarde.

    ☞    Cueillette / Conservation :

    -    Les fruits du muscadier sont cueillis lorsqu’ils arrivent à maturité et sont entrouverts.
    -    La graine est épluchée puis mise à sécher.

    * Attention, à forte dose, la noix de muscade peut provoquer une intoxication, des céphalées, maux d'estomac et même un effet hallucinatoire (2 noix).- (une demi noix par jour est le maximum à ne pas dépasser).

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  • sesame.gif

    LE SÉSAME
    (Sesamum indicum)


    Historique

    Le sésame est l'une des premières plantes oléagineuses que l'homme ait cultivées. Il est considéré en Inde comme un symbole de l'immortalité. Originaire d'Asie où il était cultivé il y a plus de 3000 ans, le genre Sesamum comprend 36 espèces. Il est surtout cultivé en Inde, en Chine et au Mexique, au Soudan, au Nigéria…
    Il est important de choisir des graines n'ayant pas été décortiquées par des agents chimiques (vérifier qu'elles aient gardé leur germe coloré et non blanchi).

    Qualités alimentaires et vertus thérapeutiques :

    • La graine est d'une extrême richesse : elle renferme 20-22 % de protéines de très haute qualité (les mêmes acides aminés de base que les protéines animales, d'après Lelord, Kordel). 48-52 % de corps gras et une forte proportion de minéraux et d'oligo-éléments précieux : calcium (Ca), phosphore (P), fer (Fe), magnésium (Mg), silice (Si), aluminium (Al), chrome (Cr), nickel (Ni), cuivre (Cu) et en sélénium (Se) ainsi que la quasi-totalité des vitamines du complexe B, E et F.
    • Le sésame est riche en méthionine et en tryptophane ; par contre, il est déficient en lysine.
    • Il est exceptionnellement bien assimilable.
    • Il s'agit d'une source élevée de fibres utiles pour la santé intestinale.
    • C'est un reminéralisant de premier ordre.
    • Le sésame contiendrait du sésamol, un anti-oxydant particulièrement efficace contre les polluants alimentaires et neutralisateur des radicaux libres. Le sésamol stimule le système digestif et certaines glandes endocrines, fluidifie le sang.
    • La graine renferme en abondance un composé phosphoré de haute valeur : la lécithine dont dépend le fonctionnement du cerveau et du système nerveux, des glandes endo-crines, la fonction sexuelle et le métabolisme des graisses dans l'organisme.
    • La graine de sésame est considérée comme émolliente, laxative, tonique et diurétique, pour guérir les troubles urinaires. On lui reconnait des vertus antispasmodiques et anti-infectieuses.
    • Selon la médecine ayur-védique, le sésame augmente l'intelligence.
    • Les futures mamans, les nourrices doivent l'utiliser pour déclencher ou augmenter la lactation et les convalescents pour accélérer leur remise sur pieds, les intellectuels pour une meilleure concentration et les sportifs pour une endurance accrue. Il favorise la détente neuro-musculaire et prévient les anémies.
    • L'huile est un protecteur de la vie moderne stressante.

    États et troubles de santé pouvant bénéficier du sésame :

    • Épuisement caractérisé par une fatigue chronique qu'aucun repos ne soulage
    • Surmenage, état de stress, dépression nerveuse,
    • Pertes de mémoire, difficultés de concentration,
    • Fatigue nerveuse,
    • Sénilité.
    • .Arthrite,
    • Hémorroïdes,
    • Circulation sanguine déficiente,
    • Digestion difficile,
    • Peau pâle et sèche,
    • Pertes vaginales,
    • Stérilité fonctionnelle,
    • Grossesse,
    • Secrétion lactée insuffisante,

    Modes de consommation :

    • La qualité de sésame noir est meilleure selon l'ayur-veda.
    • Le sésame est un complément idéal des céréales qu'il enrichit par sa teneur en huile, son goût particulier.
    • On l'utilise cru ou cuit :
      • en garniture des pains et des gâteaux (en grains).
      • en pâtisserie, confiserie : il sert à la fabrication du halva, friandise proche du nougat.
    • Le tahin (beurre de sésame) accroît l'endurance physique des athlètes. S'il est blanc, il provient de graines décortiquées. Non décortiqué, il convient bien dans les sauces, pâtés végétaux. Décortiqué, il est destiné à la confection de desserts.
    • La purée de sésame est facile à émulsionner même avec de l'eau froide. Elle est bien adaptée à la préparation de délicieuses sauces. Elle peut entrer dans la composition de nombreux desserts.
    • Le gomasio : est un condiment en poudre, constitué de graines de sésame et sel marin légèrement grillés et broyés ensemble. Chaque particule de sel est alors enrobée de la partie huileuse de la graine de sésame. Il peut être ajouté au riz, aux sauces, aux vinaigrettes, aux potages... On l'emploie saupoudré sur les crudités ou les céréales, à raison de 1 cuillerée à soupe par repas. C'est un régal sur une tranche de pain beurré. Il combat l'acidité de l'estomac, désacidifie le sang.
    • L'huile peut servir pour fritures légères, pour les cuissons, dans les pâtisseries, la cuisson asiatique. Elle est considérée comme la "perle de la cuisine macrobiotique".
    • Température critique : 180°C (370°F).
    • Aux Indes, le sésame sert parfois lors de cérémonies funéraires comme offrande aux morts, mais aussi comme symbole d'immortalité et de purification.
    • C'est un aliment qui doit être présent sur notre table.
    • La conservation des graines se fait au réfrigérateur pour éviter le rancissement.

    Utilisations non-alimentaires :

    • Contre la douleur, elle s'utilise en application locale douce.
    • Effets cosmétiques : émolliente et protectrice, elle est indiquée pour les massages.
    • Applications cosmétiques : produits de soins de la peau, préparations solaires, elle calme les irritations cutanées, les coups de soleil, active la cicatrisation des plaies. On la recommande pour tous les soins du corps. Cette huile peut servir de base pour de nombreuses préparations aromatiques, y compris dans les produits anti-âge.
    • L'huile de sésame est utilisée pour la fabrication de savon.
    • Sa grande perméabilité est encore augmentée lorsqu'elle est appliquée chaude comme le veut la médecine ayur-védique. Elle véhicule en profondeur les acides gras essentiels et la vitamine F.

    Contre-indications :

    Certaines personnes développent une allergie au sésame. Se méfier alors des aliments où il entre dans la composition : tahin, gomasio, pains, craquelins, etc… et les salades préparées.

    Gomasio

    À préparer chez soi en quantité réduite pour éviter le rancissement.
    2 tasses de sésame entier passé légèrement au four et broyé (moulin).
    1/2 t. de sel de mer fin.
    Mélanger et conserver à l'abri de l'air et de l'humidité. Saupoudrer sur les aliments (que l'on a omis de saler pendant la cuisson).

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